mercredi 1 octobre 2025

L'ennemi de l'intérieur

L'article 20 du Pacte International relatif aux droits civils et politiques de l'ONU interdit la propagande de guerre. Ce qui ne semble pas gêner aux entournures nos journalistes comme nos politiciens. Pour citer Jacques Baud, le journalisme est à l'égal du mercenariat : soit la seule profession où l'on vit du sang des autres. Mais il semble que nos dirigeants politiques soient aussi concernés par cette définition. Cela alors que leurs responsabilités est de préserver la Paix au sein de notre territoire et de trouver les ressorts visant à rétablir celle-ci, par la diplomatie, à l'extérieur de nos frontières.

Malheureusement, depuis l'ère Sarkozy jusqu'à nos jours, nous sommes sous le joug d'une poignée d'oligarques qui sont fermement décidés à démolir le pays dans toutes ses composantes : son intégrité territoriale ; son patrimoine économique, industriel et agricole ainsi que l'unicité, l'indépendance et la souveraineté de la nation. La majorité des Français l'ont bien compris sans percevoir les raisons de cet acharnement à vouloir démolir la France. La pointe émergée de l'iceberg quant à cette idéologie de haine pour la patrie semble, à priori, reposer sur une médiocrité intellectuelle incommensurable, le carriérisme et la corruption. Mais en sous-jacent, il y a bien un projet politique : celui de constituer l'Union européenne en Etat sur la défaisance des pays qui y sont enfermés. Pour cela, il faut un ennemi commun. Alimenter les peurs, mentir autant que nécessaire sur la réalité d'un péril qui n'existe pas, détruire les économies des nations et présenter l'Union européenne comme la seule entité capable de nous fédérer, résister à cet ennemi et rétablir les économies moribondes. Avec pour concession ultime d'abandonner les derniers pans de souveraineté des nations que sont les domaines régaliens (à savoir la diplomatie, la justice, la police et surtout la défense nationale). D'où cette lubie de "défense européenne" dont on nous parle régulièrement et à laquelle même notre Etat-major militaire (corrompu par son carriérisme) appelle de ses vœux. Aujourd'hui, Emmanuel Macron ne cache plus son désir de céder notre dernier sanctuaire national qu'est la dissuasion nucléaire en "partageant" celle-ci avec l'Allemagne et les autres Etats-membres de l'UE. Personne ne s'en offusque ni dans nos médias ni au sein même de la Grande Muette.

Jamais la France n'a été ainsi dirigée par autant de traîtres pathologiques à tous les échelons de ses institutions. Pas même du temps du régime de Vichy où l'on peut concéder qu'à cette époque, la France était alors sous occupation militaire de l'Allemagne ce qui contraignait les forces politiques d'hier à devoir accepter des concessions que l'on se refuserait ordinairement en temps de paix. Mais sommes nous sous le joug d'une occupation militaire aujourd'hui ? Nullement ! Ce qui signifie bel et bien que ces intelligences avec l'Allemagne et les eurocrates de Bruxelles ne sont nullement le fait d'une contrainte extérieure qui pèse sur les choix politiques de nos dirigeants mais bel et bien une volonté qui leur est propre. Ils TRAHISSENT par choix. Les pires traître restant les généraux qui, pour avancer dans la carrière, trahissent à leur tour leur serment de protéger les Français et de garantir l'indépendance de la patrie. Ces gens méritent la prison à perpétuité. Car ils se torchent avec la dernière vertu que l'on associe généralement à la condition de soldat : l'honneur. Ils n'en ont aucun. Même les prostituées de bas étage ont plus de dignité que ces gens-là. 

J'ai longtemps prêché (et je continuerai jusqu'au bout) le principe d'une révolution non violente et légaliste sur les formes. Mais face à autant de trahisons, je ne suis pas dupe de ce qui adviendra plus certainement. Cela se terminera dans un bain de sang. Et je m'étonne d'ailleurs que nos généraux, haut fonctionnaires, journalistes et politiciens coalisés dans cette basse besogne de démolition de la patrie, agissent avec autant de légèreté et d'ostensibilité contre nos intérêts nationaux. Comme s'ils pensaient qu'ils ne risquaient rien. Que l'apathie apparente des gueux ne dissimulait pas un volcan prêt à exploser. Comme s'ils étaient assurés de pouvoir survivre à la colère qui gronde partout en France. Ces gens ne sont pas seulement des fous et des traîtres à la patrie : ils sont totalement hors-sol. Ils se pensent immunisés contre le désir de vengeance par le sang, des Français. Ils se sont laissés convaincre, à force de propagande médiatique, que nous acceptons leur détermination à nous détruire. Rien n'est plus faux et je leur adresse une mise en garde : vous paierez très cher vos trahisons ! Vous serez pendus aux platanes qui bordent les avenues parisiennes, vos beaux costumes et uniformes seront déchirés par les couteaux et vos dépouilles seront jetées à la Seine ! 

La Russie n'est pas et n'a jamais été notre ennemie. Elle est un partenaire commercial objectif sachant que la France ne produit ni gaz ni pétrole et que nous avons besoin d'une diversité d'approvisionnement sur ces matières premières. Ses frontières sont bien éloignées des nôtres et nous parlerions allemands si ce pays n'avait pas sacrifié par deux fois, des millions de ses citoyens au cours du siècle dernier dans une guerre contre un ennemi commun (et toujours actuel). La guerre en Ukraine est bel et bien une responsabilité liée à des manœuvres américaines contre la Russie. Nos dirigeants ont décidé de poursuivre cette guerre avec le sang des Ukrainiens et l'argent du contribuable français afin de faire avancer leur projet de constitution d'un grand Etat européen. N'importe quel géopolitologue sérieux que l'on confronterait à ces quelques harpies "pro-Ukraine" dans nos médias, démonterait les mensonges qui sont véhiculés chaque jour par leur propagande. Car il y a des FAITS, des dates, des événements et des noms que l'on puisse communiquer pour expliquer les origines de ce conflit et combien de fois nous aurions pu l'empêcher ou le faire cesser rapidement. Et c'est la raison même pour laquelle les géopolitologues et personnalités politiques les plus éclairés sont censurés. Nous n'entendrons que des "pro-Ukraine" dans nos médias, en réalité des va-t-en-guerre qui méritent d'être jetés dans une tranchée près de la ligne de front afin d'embrasser les obus et les drones qui nourrissent les angoisses de mort de soldats ukrainiens.

L'ennemi de la France n'est pas et n'a jamais été la Russie. L'ennemi est intérieur. Macron est l'ennemi du peuple. Nos généraux sont nos ennemis. Nos journalistes sont nos ennemis et les hauts fonctionnaires et diplomates français sont aussi les ennemis de la France. Les seuls adversaires extérieurs de la France restent l'Allemagne, le Royaume-Uni, les USA, Israël et peut-être l'Algérie pour d'autres raisons d'ici quelques années. Je souhaite toujours que nous renversions les fous qui sont au pouvoir, qu'ils soient jugés pour crimes de haute trahison et que l'on envoie ces salauds casser du caillou sur les îles Kerguelen où nous ouvririons un bagne spécialement dédiés à ces gens. Mais encore une fois, je ne me fais aucune illusion : La vengeance du peuple ne sera pas judiciaire. Elle sera sanglante et je ne verserai aucune larme de crocodile lorsque cela adviendra. A bons entendeurs.

Si vous considérez qu'il soit salutaire de renverser les va-t-en-guerre sans violence mais en nous montrant stratèges, rejoignez nous le 8 novembre prochain, à partir de 9 h, devant les locaux de Radio France.


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