mercredi 29 décembre 2021

Rudy Reichstadt dépose plainte contre moi ! Mais qui est ce cloporte ayant l'oreille de Macron ?


Suite à un dépôt de plainte déposé par Rudy Reichstadt contre moi en diffamation publique, dans le cadre d'un commentaire twitter que j'avais déposé à son intention, je vous livre le droit de réponse qui sera communiqué au juge par les services de police instruisant la procédure. Il est aussi mon droit de réponse public que je souhaite faire valoir s'agissant de mon accusateur. 

Pour faire suite à votre courriel, je soussigné être bien l'auteur de la publication mentionnée et dénoncée par M. Reichstadt sur le site internet "Twitter". La page "Sylvain Baron4" est bien celle que j'administre en tant que "directeur de publication".


Je reconnais donc pleinement les faits sauf leur caractère diffamatoire, à l'exception de deux termes ainsi qu'une coquille que je regrette formellement :

  • Avant le terme "parler", il convenait de lire "te" et non "de". Je présente mes excuses immédiates aux amoureux de la langue française quant à cet outrage bien réel à sa grammaire.

  • J'admets que le terme "petit" à titre affectif, est possiblement faux. Je suis moi-même de taille moyenne, et il est possible que la partie s'estimant lésée par mon commentaire, soit en réalité de plus haute stature que moi. Je reconnais ici tout le préjugé de forme à ce terme.

  • Enfin manifestement, l'autre expression affective "en sucre" est aussi impossible à démontrer matériellement. Même si sur le plan moral il n'en a pas les qualités, M. Reichstadt est bel et bien un être humain et non un aliment ordinaire.

Sur tout le reste, et en considérant que les mots dits "grossiers", comme les analogies considérées au gré des rigidités morales des uns et des autres comme "outrancières", notamment lorsqu'elles s'appuient sur l'Histoire, restent des formes de langage qui visent dans un certain cadre littéraire ou du débat politique à provoquer de salutaires réactions, je réfute la diffamation. J'étais sincère. M. Reichstadt peut être aimablement qualifié de personne détestable, probablement même de criminel au sens de l'article 411-5 du Code pénal (j'y reviendrai), où si l'expression de notre colère a besoin de mieux signifier le fond de notre pensée : de « véritable ordure » (et je pèse mes mots). Je préfère pour ma part mêler "le choupinou", c'est à dire l'affectif et le candide à l'accusation brutale avec parfois un tantinet de vulgarité pour obtenir le juste mélange littéraire qui sied. 

J'ajoute que les réseaux sociaux étant "une cour d'école" où tout à un chacun (y compris M. Reichstadt) cherche à discréditer ses opposants par les méthodes les plus déloyales, et que pour ma part, j'ai fais le choix de mêler la vérité de fond de mes écrits et travaux militants à la saine bouffonnerie, je n'ai fais que répondre à une entreprise de sabotage de ma propre image effectuée par le plaignant depuis quelques années.

M. Reichstadt s'est en effet permis, au travers d'une publication qu'il met régulièrement à jour, de me présenter comme étant un "conspirationniste d'extrême droite" et par-dessus le marché, un "antisémite", cela par le procédé le plus douteux et habituel qui soit : A savoir isoler sur des milliers de publications n'ayant strictement pas de liens politiques, intellectuels ou moraux entre elles, quelques écrits tour à tour sérieux ou ironiques sur un sujet intéressant M. Reichstadt explicitement - à savoir toute référence à la judaïté ou Israël - pour laisser à penser que je sois judéophobe ou favorable à toutes formes de terrorisme :

http://www.conspiracywatch.info/sylvain-baron

Dans cette publication, pour laquelle je n'ai jamais été contacté par l'auteur ni sur laquelle je n'ai eu de droit de réponse, il est bien mentionné que suis l'auteur d'un essai sur le droit de résistance à l'oppression, sans pour autant préciser que je m'attarde énormément dans cet ouvrage à dénoncer toutes les formes de financement du terrorisme international en plus d'expliquer les lois relatives aux intelligences avec des puissances étrangères en m'appuyant sur d'autres dossiers. Dans cet essai, nulle phrase ou thématique, ne laisserait à penser que je nourris des opinions morales ou politiques qui soient scandaleuses voire "d'extrême droite". C'est pourtant ce travail qui synthétise toute la réflexion d'ensemble que je défends quotidiennement. Non des monomaniaqueries sur un quelconque complot judéo-maçonnique où toutes autres mystifications de cet acabit dans lesquelles tient à me cloisonner M. Reichstadt. La réalité de mon propos général qui est donc très politique au sens où je manipule le droit, l'histoire, la géopolitique, l'économie et plus encore les grandes questions touchant à la démocratie, est au-travers de sa publication infamante, totalement niée et même sabordée. Le droit de résistance à l'oppression est mon sujet de prédilection, à l'égal de la liberté d'expression, de pouvoir aller et venir librement où ne pas se voir imposer des vaccins ou des bâillons sur la gueule par un régime totalitaire violant délibérément l'article 16 du Code civil avec lequel se torchent d'ailleurs tous nos contre-pouvoirs institutionnels. En particulier le Conseil d'Etat et le Conseil constitutionnel, mais aussi les simples magistrats qui devraient être vent debout dans la période que nous vivons aujourd'hui. Cela n'a rien à voir avec la plainte que vous avez à traiter aujourd'hui, mais que cela soit dit en passant. Le silence des magistrats est COUPABLE !

M. Reichstadt que j'accuse être un agent d'influence (un espion au sens de l'article 411-1 du Code pénal) au service d'Israël, non par antisémitisme, mais bien du fait qu'Israël soit une puissance étrangère qui pratique des ingérences graves, répétées et prouvées sur notre territoire, cela avec le soutien d'agents à ces fins et non par l'opération du Saint-Esprit, et qu'un faisceau d'indices convergents permet pour le moins d'identifier quels sont les intérêts particuliers qui semblent être au centre de ses préoccupations, devrait logiquement amener nos services de renseignement comme la Justice à s'intéresser de près à cet individu. J'aggrave donc mon cas ici, puisque sans justifier plus précisément mes accusations (et je ne compte point le faire), j'accuse M. Reichstadt de commettre ses écrits, propos publics et "missions" auprès du gouvernement, cela au service d'intérêts étrangers et prédateurs ainsi que de pratiquer un travail d'influence consistant à diffamer et amalgamer des personnalités aux idées différentes voire antagonistes par des procédés littéraires fallacieux et sans jamais donner droit de réponse. Cette entreprise qui à tout à voir avec un certain maccarthysme dans la forme et à du « soft power » bien compris sur le fond, vise à nuire de nombreux lanceurs d'alerte, militants pro-actifs sur les questions de souveraineté nationale, de démocratie et de liberté d'expression, cela en les associant à une "complosphère d'extrême droite et antisémite". Voila à quels genre de procédés infamants se livre depuis 2007 M. Reichstadt "dans son coin" comme le mentionne sa fiche Wikipédia, et sur lequel les instances politiques dominantes, aiment à s'appuyer du fait des avantages idéologiques et des liens de connivence voire de conflits d'intérêts qui gravitent autour de cet individu

M. Reichstadt n'a aucune autorité quelconque pour définir qui est "d'extrême droite", "antisémite" ou encore "conspirationniste", il n'en a ni les moyens moraux ou intellectuels pour le prétendre, pas plus que de quelconques qualifications ou diplômes, qui de toute façon, ne sauraient établir de démonstration scientifique sur ce qui relève de la sociologie. J'accuse par ailleurs M. Reichstadt d'être un extrémiste politique et je réitère que la Justice devrait normalement lancer des investigations sur cet individu au vu de sa malveillance et de ses liens politiques étrangement haut-placés pour un "observateur du conspirationnisme" autoproclamé et « indépendant » qui ne faisait qu'alimenter un blog "dans son coin". Je souhaite par ailleurs qu'un expert en psychiatrie, puisse déterminer si le plaignant, ne souffre pas de troubles paranoïdes, lui faisant voir du "conspirationnisme" et de "l'antisémitisme" partout , y compris là où il n'y en a point.

J'exige par ailleurs, puisque M. Reichstadt trouve la possibilité de pouvoir distiller son venin sur les antennes de Radio France, qu'il soit possible pour toutes les personnes ayant été incriminées sur son site à tort ou à raison dans ses publications d'obtenir un droit de réponse public dans l'émission "Instant M", le vendredi matin sur France Inter.

Je me réserve le droit à mon tour de déposer plainte contre M. Reichstadt pour calomnies et diffamation à mon encontre si sa propre plainte est maintenue et je demande au magistrat ayant à déterminer les suites qu'il donne à cette procédure, de bien vouloir considérer mes propres accusations comme sérieuses et justifiant l'ouverture d'une enquête, tout comme je ne retire rien de ma pensée sur le fond comme la forme, au sujet de ce qu'il convient d'appeler "une ordure" dans le langage commun. J'insiste sur l'exact terme que m'inspire la personne de M. Reichstadt.

Je reste disposé à assumer toute la suite des procédures qui en découlera, en notant donc que si M Reichstadt s'est senti heurté par mes propos (il est très sensible comme garçon, comprenez-vous?), c'est sans doute qu'à l'exception des termes « choupinoux » ainsi que mon inqualifiable coquille, tout le reste est effectivement vrai. M Reichstadt est un collabo, et c'est ce genre d'individus qui finissaient fusillés de façon expéditive en 1945, là où les femmes ayant couché avec l'ennemi furent tondues. C'est peut-être désagréable de s'en rappeler, mais autrefois la trahison était un fait parfaitement intelligible et sensible pour la population. Étant bien placé pour préjuger de l'avenir en tant qu'acteur et observateur d'une insurrection populaire en marche, je sais parfaitement sur quoi, nombre de mes camarades et moi-même, n'auront jamais le contrôle lorsque l'oligarchie s'effondrera. Lorsque le peuple se fait justice, il peut se montrer extrêmement cruel... Voila pourquoi j'enseigne le droit, à ma modeste contribution, dans mes propres réseaux militants. A seule fin que celui-ci demeure sur l'essentiel, « le Grand Soir » venu. 

J'invite d'ailleurs M. le Juge à lire mon essai « Révolte ! - Essai sur la légitimité et la planification de l'insurrection populaire en France, Editions Ka' » pour mesurer que les rares « outrances » que je commets sur les réseaux numériques, ne reflètent pas ma réalité intellectuelle et militante générale bien comprise, salie par M. Reichstadt. J'y dénonce par ailleurs de nombreux crimes d’État qui méritent votre attention. Je ne suis donc nullement hostile à vos procédures et à votre jugement, quand bien même à mon détriment. J'espère simplement que vous serez juste, en considérant que nous sommes deux garnements (dont un, le plaignant, est réellement très vilain) qui se chamaillent sur un espace numérique, et qu'il est de bonne guerre pour ma part, que je rappelle au cloporte totalitaire qu'est M. Reichstadt, que ses manœuvres malveillantes et favorables à tous les intérêts prédateurs, soient parfaitement comprises par toute la dissidence politique de ce pays. Il n'y a nulle menace directe ou indirecte dans mon commentaire suscitant son courroux, mais un juste rappel à l'Histoire pour évoquer son rôle contemporain.

Bien cordialement,

Sylvain Baron

dimanche 26 décembre 2021

Le Covid : ce virus doté d'une conscience

Parmi toutes les particularités propres au SARS-CoV-2 et les variants qui ont suivi, il y a une découverte scientifique prodigieuse que personne n'a semble t'il relevé. En effet, contrairement à tous les "organismes" du même genre, le Covid est le seul virus qui soit doté d'une conscience. Explications :

Les virus sont des entités qui interrogent notre conception du vivant. A l'inverse des organismes monocellulaires dont la plupart disposent d'un génome en propre et une capacité à se dupliquer par eux-mêmes, les virus sont d'avantage un réservoir de gènes ne pouvant se "reproduire" que par l'entremise d'une cellule hôte. Ils ne sont donc pas réputés (à l'égal des bactéries du reste) être dotés de conscience et de toutes les facultés qui s'y rapportent (communication, prises de décision, etc...)

Pourtant, peu de temps après le début de l'épidémie (qui n'avait d'ailleurs suscité aucune réaction particulière des autorités françaises dans les premiers temps), Emmanuel Macron a soudain vu dans le Covid "un ennemi invisible, insaisissable" contre lequel nous serions "en guerre".

Beaucoup ont cru que ce langage martial relevait d'artifices marketing dont aime tant abuser le Poudré dans sa communication. Mais il n'en est rien. Car d'autres gens, dont le sérieux ne peut être remis en cause, ont entretenu ces us de langage. Ainsi par exemple, le FIGARO titrait le 10 février un article de la façon suivante : "Le Covid oblige les entreprises à innover pour s'adapter".  Ou encore cet autre article paru sur le site internet de BFM présenté de la façon suivante : 27% des Français ont eu au moins envie de rompre : Le Covid, tueur de couple selon une enquête. Plus récemment encore, c'est Martin Hirsch, directeur (ou liquidateur, c'est selon) de l'APHP, qui expliquait qu'"Omicron est un sniper qui, dès qu'il y a une cible devant lui, la tire."

En fait, si l'on prend le temps d'écouter le "narratif" médiatique, soit les commentaires des journalistes autant que ceux des "experts" et "politiciens" qu'ils invitent, l'évidence nous fait face :

Le gouvernement n'est responsable de rien. C'est le petit Covid qui décide de tout !

Aucun chercheur en virologie n'y a pris garde, mais pour la première fois de l'histoire humaine et scientifique, nous avons la possibilité de prendre contact avec un virus, connaître sa pensée, ses injonctions et désirs. Tous les autres virus n'ont rien d'autre à se reprocher que leur strict pouvoir infectieux lorsqu'ils en ont un sur l'Homme. Mais le petit Covid est pour sa part tout à fait conscient d'exister et des actes qu'il commet. Mieux encore, il décide des mesures politiques à prendre contre lui-même !

Le confinement, le ciblage politique ignoble des enfants, la différence de lucidité entre les membres d'un même couple, tout cela a effectivement contribué à démolir de nombreuses cellules familiales. Certains malpensants rappellent que si le gouvernement et les médias n'en avaient pas fait autant sur le Covid, sans doute que les effets sur les structures familiales auraient été bien moindres. Mais ces derniers ne comprennent pas : le gouvernement ne décide de rien, c'est le Covid qui a imposé des mesures visant à démolir le socle de la famille en France. Au sein d'une famille unie, même un "complotiste" peut trouver refuge, paix et amour. Mais si on démolit cette dernière...

De même que les entreprises se sont effectivement adaptées aux contraintes que lui a imposé le petit Covid. Ce n'est pas rien dans une économie de flux que d'enrayer le modèle sur lequel nous avons été projetés arbitrairement, du jour au lendemain. De même qu'interdire l'accès à des établissements ; imposer des logiques de "jauge" ; restreindre la liberté d'aller et venir librement ; subventionner avec les impôts des Français la fermeture administrative d'un certain nombre d'entreprises : tout cela a nécessairement un impact qu'il faut bien gérer. Là encore, les antivaxx complotisto-égoïstes feront preuve de mauvaise foi pour signifier que toutes ces décisions sont strictement politiques et que le Covid n'y est donc pour rien.

Pourtant, lorsque c'est Martin Hirsch, personnalité ô combien experte en son domaine (même s'il reste un enculé notoire comme les autres) décrète qu'"Omicron est un sniper qui, dès qu'il a une cible devant lui, tire", deux solutions se présentent :

Soit Martin Hirsh est bon à enfermer chez les fous, soit le petit Covid est réellement un salopard qui, en toute conscience, attaque les braves gens avec la ferme intention de les zigouiller. 

Je ne me permettrais pas de douter de l'intelligence, de la bienveillance et du savoir accumulé par nos éminences politiques et scientifiques. J'en viens même à comprendre pourquoi les réunions ministérielles autour de la lutte contre le Covid relèvent du secret-défense. Si "l'ennemi", aussi microscopique soit-il, est fermement résolu à terrasser la nation toute entière, dans ce cas, la logique de "guerre" peut se comprendre, de même que les responsabilités qu'on attribue à ce brave petit Covid dans toutes les décisions qui ont largement altéré le bien-être de la population, ses libertés civiles et politiques comme sa santé économique. Cependant, je réclame qu'une entrevue soit organisée par nos médias avec le petit Covid, afin qu'il nous explique les raisons de sa malveillance, ainsi que la perception qu'il a de sa propre existence. 

Il reste toutefois possible que j'eusse très mal interprété ces abus de langage permanents et, dans ce cas, il va de soi qu'un très grand nombre de responsables politiques, de journalistes et "experts" de toutes sortes, doivent être jetés en prison. Car ils ont (en toute conscience) menti à la population et mis toute leur influence à disposition du politique, dans le seul but de démolir nos libertés fondamentales. De telles personnes ne peuvent nullement rester libres d'aller et venir alors qu'elles portent le fardeau des suicides ; des morts que l'on a pas soigné (ou mal soigné) ; des gens décédés du fait des effets secondaires liés à des "vaccins" n'ayant par ailleurs nullement reçu leur autorisation de mise sur le marché définitive ; des entreprises qui ont coulé avec la cohorte de chômeurs supplémentaires que cela suppose ; sans même évoquer ceux qui ont tout simplement été interdits d'exercer leur métier du fait des décisions politiques violant expressément l'article 1132-1 du Code du travail, ou de façon plus générale, l'article 16 du Code civil.

Dans l'attente, et estimant être plutôt bien renseigné sur les différentes formes que peut revêtir une tyrannie, je signale à toutes fins utiles à nos autorités constituées comme au peuple tout entier, que la France est désormais devenu un régime totalitaire. C'est la pire forme de tyrannie qui soit, puisque le totalitarisme est une ingérence permanente dans la vie des gens jusqu'à modifier leurs propres comportements. C'est aussi le type de régime le plus brutal lorsqu'il s'agit d'écraser toute opposition politique. Que ce soit par les violences policières, la judiciarisation des opinions contestataires ou carrément l'interdiction de pouvoir vivre et travailler normalement pour les opposants à ce régime.

Cela aura peut-être échappé à un grand nombre d'observateurs, mais les premiers qui ont douté d'une quelconque volonté du gouvernement d'œuvrer au profit de la santé publique, n'étaient nullement des "antivaxx" ou même des gens spécifiquement intéressés aux questions de santé. Les premiers à s'être mobilisés étaient tout simplement ces gens qui, depuis longtemps, observaient attentivement les décisions politiques, les conflits d'intérêts entre le personnel politique et le monde de la finance et se battaient pour restaurer leurs droits sociaux et démocratiques. La dernière mesure imaginée par le gouvernement (pardon, par le méchant petit Covid), étant celle d'interdire à toute personne non vaccinée de pouvoir travailler et donc de dégager un revenu de subsistance, la mesure vise donc en particulier les opposants à la Macronie, et non pas seulement ceux qui sont hostiles au désormais "pass vaccinal". Car ce sont les mêmes pour quiconque a bien saisi l'enjeu.

Si cette opposition ne peut plus travailler et toucher un salaire, il va de soi que sa capacité de mobilisation en sera fortement altérée. On peut imaginer d'ailleurs que la prochaine mesure sera de supprimer les droits au chômage de tout renégat qui refuserait la sacro-sainte piqure. Bref, ces mesures ne sont nullement le propre d'une démocratie, mais bien celles d'une dictature aboutie. Et je n'ai pas évoqué ici la propagande médiatique qui ferait rougir de honte un certain Goebbels. 

Dans l'attente, je me prépare déjà à ne plus pouvoir disposer du droit de travailler comme beaucoup de "complotistes antivaxx et égoïstes". Qui me protège et se soucie de mes droits ? Plus personne. Le petit Covid a dû tous les liquider dans son projet machiavélique de conquête du monde. Les journalistes, les magistrats, l'armée, la police, les médecins, TOUS ont abdiqué, voire consentit à ce glissement totalitaire, à part quelques exceptions que l'on censure où l'on diffame déjà pour s'assurer de leur incapacité à influer sur l'opinion publique loyalement.

Je suppose que le petit Covid n'a pas fini d'étendre sa tyrannie contre nous. Il semble si déterminé à nous nuire si j'en crois nos éminences politico-médiatiques et même médicales. Comment supposer que les véritables responsables de chaos totalitaire soient Macron, Castex, Véran et bien d'autres puisque nos "journalistes" comme nos autorités constituées (à commencer par le Conseil d'Etat), n'agissent nullement en contre-pouvoir face à la Macronie ? Si l'exécutif n'est responsable de rien, il fallait bien en trouver un coupable. D'où "l'ennemi invisible et insaisissable" que l'on présente continuellement comme le responsable de toutes nos atteintes à nos droits. C'est rudement pratique, en tout cas pour Macron, mais je doute tout de même que cette présentation marketing du petit Covid comme étant le responsable de nos souffrances, puisse éternellement trouver un écho satisfaisant. Pour le moins, j'espère que les nouvelles mesures discriminantes et attentatoires à nos libertés qui touchent même les "vaccinés" (pour rire puisque ça ne marche pas), déboucheront sur un renversement très violent de notre oligarchie. J'aurais même plaisir à voir le sang couler chez certains encravatés. La violence insurrectionnelle étant désormais totalement légitime. La seule chose que l'on attend, c'est l'étincelle...

Quelqu'un aurait-il un briquet ?




samedi 18 décembre 2021

Romain Nadal ou l'itinéraire d'un traître ordinaire

La lettre qui suit devait être initialement remise au magistrat qui a eu prononcé une peine de 400 € d'amende contre moi le 16 décembre dernier, pour des faits d'outrage à personne dépositaire de l'autorité publique. Faits que je reconnais pleinement. Le juge en question a refusé de se saisir de la lettre que je lui tendais, mais je tiens à ce que M. Nadal n'en voit pas pour autant son honneur rétabli par simple décision de justice. Un traître est un traître, et l'ambassadeur français au Vénézuela agit bien en félon. C'est ce que nous allons voir dans les lignes suivantes :

Monsieur le Juge,

Je souhaite vous faire parvenir dans l'affaire qui m'oppose à M. Romain Nadal, mes propres considérations, en espérant que, sans qu'elles remettent en cause la condamnation à laquelle je m'expose, elles puissent vous permettre de mieux appréhender les causes du litige qui m'oppose à cet individu. Il convient auparavant de nous intéresser un peu à ce qui passe au Venezuela, car il me serait impossible de circonstancier mes explications sans cela.


Le 23 janvier 2019, M. Juan Guaido s’auto-proclamme Président de la République bolivarienne du Venezuela, amorçant ainsi une tentative de putsch institutionnel. Il est alors Président de l'Assemblée nationale dans son pays. Cette tentative de putsch sera manquée. D'énormes manifestations de soutien au gouvernement s'organisent pour empêcher cette prise de pouvoir, largement soutenue par les USA, dont nous connaissons les propensions à s'ingérer dans les affaires intérieures des nations au gré de leurs intérêts, voire leur déclarer des guerres illégales.

Bien que cette tentative de putsch, avec le soutien d'une puissance étrangère, puisse être apparentée à un crime de trahison ; pour ne pas avoir à supporter des pressions étasuniennes plus prégnantes, les autorités vénézuéliennes n'engageront aucune poursuite contre Juan Guaido.

Quelques mois plus tôt, le 12 septembre 2019, le putschiste à la solde des intérêts américains, Juan Guaido, apparaissait sur un cliché en compagnie de Jhon Jairo Durán Contreras, alias « el Costeño » ou « el Menor », et d'Albeiro Lobo Quintero, alias « el Brother ». Tous deux sont des narcotrafiquants actuellement emprisonnés pour leurs crimes en Colombie. Ils sont affiliés au groupe paramilitaire Los Rastrojos.

Juan Guaido s'était rendu en Colombie avec le soutien de ce groupement criminel pour y aller chercher dit-il, de l'aide humanitaire, sachant que le Venezuela subit des embargos et une guerre monétaire de la part des USA afin de déstabiliser son économie et in fine son gouvernement.

Le procureur général du Venezuela Tarek William Saab a fait savoir que le gouvernement de Colombie, avec lequel Caracas entretient des relations exécrables, était au courant de ces liens entre Juan Guaido et "Los Rastrojos". Juan Guaido démentira pour sa part toute relation avec les cartels de drogue, même s'il ne trouve aucun problème à se faire assister de ces derniers pour passer la frontière entre le Venezuela et la Colombie discrètement.

En août 2019, Juan Guaidó avait chargé Juan José Rendón, un homme politique avec lequel il est en amitié, de constituer un « comité stratégique » afin de proposer différents scénarios permettant le renversement de Nicolas Maduro du pouvoir. M. Rendon, qui réside actuellement aux Etats-Unis d'Amérique, reconnaîtra plus tard que ce comité avait pris contact avec de nombreux groupes au sujet de la destitution par la force du président Maduro. Notamment, Jordan Goudreau, fondateur et propriétaire de Silvercorp USA qui proposait la capture et l'extraction de Maduro du Venezuela, le tout pour 212,9 millions de dollars. Rendón a signé un accord de représentation à Washington, DC au nom du gouvernement Guaidó avec Silvercorp le 16 octobre 2019. Un montant de 1,5 million de dollars américains a ensuite été exigé par Silvercorp afin de lancer « l'opération Résolution », le plan visant à supprimer Maduro, installer Guaidó en tant que président du Venezuela. Cependant, les représentants de Guaidó ont finalement rejeté la proposition de Goudreau. Ce qui n'empêcha pourtant pas Silvercorp d'exécuter un raid qui sera déjoué à Macuto Bay.

Après ce raid raté, l'équipe de Guaido a d'abord déclaré qu'elle n'avait « aucune relation avec aucune entreprise du secteur de la sécurité et de la défense », mais Rendón a admis plus tard qu'un « accord exploratoire » avec Silvercorp avait été signé visant à capturer des membres du gouvernement de Maduro.
Le 8 mai 2020, le procureur général vénézuélien Tarek William Saab a demandé l'extradition de Rendón des États-Unis, ainsi que le fondateur de Silvercorp USA Jordan Goudreau et le législateur vénézuélien en exil Sergio Vergara, pour la « conception, le financement et l'exécution » du plan de renversement. Il n'est donc nullement une thèse complotiste que de considérer que M. Guaido dispose du soutien des USA pour déstabiliser son propre pays.

C'est ici que M. Nadal, qui a déposé plainte contre moi, apparaît :

Le 14 février 2020 : M. Nadal accueille le putschiste Juan Guaido à l'aéroport de Caracas. Celui-ci revenant d'une tournée internationale l'ayant amené à cherché du soutien en Colombie, aux Etats-Unis et au Portugal en vue de déstabiliser les institutions de son propre pays, faute de disposer de suffisamment de soutien populaire en sa propre patrie à ces fins.

Romain Nadal accueillant Rafael Guaido 
à l'aéroport de Caracasle 12 février 2020

Le 5 mai de la même année, le gouvernement vénézuélien accuse M. Romain Nadal d'avoir utilisé les locaux de l'ambassade de France, pour accorder un refuge à Juan Guaido. Quand bien même un démenti sera publié par l'intéressé ainsi que par le Quai d'Orsay, ils ne fournissent nullement la preuve que cela n'est jamais advenu. D'autant qu'au vu des bonnes relations affichées par M. Nadal envers le putschiste, il n'y pas de raison de douter que les autorités vénézuéliennes viendraient à créer artificiellement une crise entre la France et leur pays sans que leurs services de renseignement n'aient d'informations valables à faire valoir. C'est littéralement parole contre parole, et j'ai autrement plus confiance aux accusations du gouvernement vénézuélien qu'au démenti de nos propres autorités qui n'ont aucun scrupule à mentir au peuple français en fonction des intérêts qu'ils souhaitent promouvoir.

Vu l'article 14 du préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 : « La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public international. Elle n'entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple ».

Vu l'article 2 de la Charte des nations unies (et particulièrement ses alinéas 4 et 7) :

(4)Les Membres de l'Organisation s'abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l'emploi de la force, soit contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts des Nations Unies.

(7)Aucune disposition de la présente Charte n'autorise les Nations Unies à intervenir dans des affaires qui relèvent essentiellement de la compétence nationale d'un État ni n'oblige les Membres à soumettre des affaires de ce genre à une procédure de règlement aux termes de la présente Charte.

Vu l'article 41 des conventions de Vienne sur les relations diplomatiques : « Sans préjudice de leurs privilèges et immunités, toutes les personnes qui bénéficient de ces privilèges et immunités ont le devoir de respecter les lois et règlements de l’État accréditaire. Elles ont également le devoir de ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de cet État ».

Mr Romain Nadal semble ignorer que le droit international public impose le principe de non ingérence dans les affaires intérieures d'un État tiers. Son comportement a ainsi altéré très sérieusement les relations entre le Venezuela et la France, au mépris de nos intérêts fondamentaux, de la promotion de la paix et de la bonne entente entre les nations. Par ailleurs, son alignement diplomatique aux considérations étasuniennes s'agissant du Venezuela, laisse à penser que M. Nadal, n'agit pas pour le compte de la France, mais bien au profit d'une puissance étrangère.

En tant que citoyen français, je refuse d'accorder toute légitimité ou autorité à quiconque se permet de créer des tensions inutiles entre la France et un État tiers, s'agissant des affaires intérieures de ce pays qui ne nous concernent pas. Ma colère était donc parfaitement sincère, légitime et toujours actuelle contre M. Nadal, qui a mon sens, peut être qualifié de traître au sens de l'article 411-5 du Code pénal, et devrait être pour le moins démis de ses fonctions.

Si bien entendu, la colère ne peut justifier quelques noms d'oiseaux envoyés à un tel félon, je reconnais ici ne rien regretter de mes actes, et admettre que conformément au droit, je sois donc passible d'une peine que votre Cour aura à définir à mon encontre. J'admets donc que les lois s'imposent à tous, à commencer par moi-même. Mais je relève que s'agissant d'un réel traître actuellement en poste à l'ambassade de France au Venezuela, les lois qui circonscrivent les relations internationales n'ont aucune prise sur ce dernier. « Selon que vous soyez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », dit la fable de La Fontaine. M. Nadal bénéficiant de toutes les immunités ainsi que le soutien d'un gouvernement français tout aussi traître à la patrie, il va de soi que l'égalité des Français face à la Loi n'est désormais plus qu'un mythe, et certainement pas une réalité objective et avérée. En l'absence d'autorité de contrôle ou d'une Justice indépendante et résolue à faire respecter nos engagements internationaux sur le principe de non ingérence dans les affaires intérieures des nations (on se rappelle le silence de cette dernière face aux crimes d'agression et de financement du terrorisme commis en Libye et en Syrie par messieurs Sarkozy, Hollande et Macron), il serait parfaitement hypocrite de s'étonner des crispations qui en découlent de la part de simples Français, soucieux de préserver le respect strict de l'auto-détermination des peuples, principe aujourd'hui nié pour le notre-propre puisque notre souveraineté a été déléguée à l'Union européenne sur tous les aspects stratégiques. De fait, je réaffirme ouvertement considérer que M. Nadal mérite sur le plan moral (à défaut des considérations légales) toutes les insultes d'un peuple qu'il méprise ouvertement, à savoir le notre.

Je précise n'avoir été qu'à peine soulagé dans ma rage en lui écrivant ce courriel, j'en conviens ordurier, et que je ne pourrais l'être pleinement que lorsque cet individu perdra toute accréditation à un poste d'ambassadeur ; sera légitimement traîné dans la boue par des journalistes aujourd'hui bien complaisants avec le pouvoir ; et qu'un gouvernement de transition en France, réhabilitera la peine d'indignité nationale pour s'assurer que les forfaitures commises par des hauts fonctionnaires et politiciens contre nos intérêts nationaux, soient dûment châtiées à leur tour. Je ne reconnais aucune qualité à cet individu pour représenter la France dans un quelconque pays. Je lui reconnais uniquement le statut d'agent étranger manœuvrant contre la France, en particulier contre ses bonnes relations avec des nations tierces. J'accepterais la peine que votre Cour jugera légitime à mon égard. Mais il est entendu que moralement, vous n'obtiendrez jamais le moins remord ou regret de ma part, quant aux faits qui me sont reprochés. Sauf si je devais apprendre que la Justice à la lumière des ingérences que M. Nadal a commises au Venezuela en violation de nos intérêts nationaux et du droit international, devait engager à son tour des poursuites contre lui, ou que le quai d'Orsay venait à prendre des mesures disciplinaires permettant son exclusion du corps diplomatique de la France. Ce qui évidemment n'adviendra jamais, au vu de la faiblesse de nos institutions.

Tant que des traîtres seront en poste à des niveaux élevés de notre appareil d’État, il me sera impossible de ne pas exulter en quelques occasions tout mon désespoir et ma colère associée, contre ces fripouilles qui jouissent de toutes les immunités. Ce n'est pas nécessairement la façon la plus intelligente que d'exprimer sa colère par des propos orduriers, mais je ne prétends pas être un homme intelligent. Juste un homme légitimement en colère, car aucun traître de ce pays (et M. Nadal en est assurément un) n'est inquiété précisément par la Justice.

Dans l'espoir que cette lettre permettra aux honorables magistrats qui auront à me juger de mieux comprendre ce qui a été le préalable aux faits qui me sont reprochés, veuillez recevoir Madame, Monsieur, l'assurance de ma considération.


Sylvain Baron