jeudi 8 juin 2023

Le procès de l'Union européenne approche !

Le 3 juillet prochain, se déroulera au tribunal judiciaire d’Epinal, rien de moins que le procès de l’Union européenne et, plus encore, des traîtres qui promeuvent l’idéologie à l’origine de son institution. Et pour cela, je vous appelle immédiatement à soutenir le décrocheur dont nous allons parler ci-après, en cliquant sur le lien ici afin d’y verser votre obole, même symbolique. Cela en vue de régler les honoraires de l’avocat qui assurera sa défense. N’oubliez jamais que les petits ruisseaux sont la source des grands fleuves.

Frédéric Mathieu est un habitant du département des Vosges. Ancien de l'armée française, sapeur-pompier aujourd’hui, il sera soumis au jugement d’un tribunal pour avoir gravement porté atteinte au symbole de la trahison de Lisbonne, cela en décrochant une bannière étoilée de son support afin que seul le drapeau tricolore reste apparent. Frédéric n’a évidemment rien d’un délinquant ou d’un criminel, son acte relève d’avantage de ses convictions politiques.

Bien entendu, personne n’imagine décrocher un drapeau européen dans un objectif de revente de ce dernier. D’abord les exaltés de l’Union européenne représentent un marché de niche extrêmement réduit. Plus embourgeoisé que sans-dent dans sa classe sociale, le faible coût au prix du neuf d’une étoffe en nylon de quelques dizaines de centimètres carré, n’inspire nullement le besoin pour l’européïste patenté de s’approvisionner sur le marché noir du torchon européen. D’ailleurs, vous conviendrez qu’il se trouve peu d’européïstes pour pavoiser le fronton de leur maison du symbole de leur nouvelle URSS. Pour quelle raison selon vous ? Quand on prône avec des trémolos dans la voix les sacro-saintes valeurs de l’Union européenne mais que l’on se garde bien de prévenir son voisinage de ses propres convictions, n’y a-t-il pas comme une retenue qui ne pourrait s’expliquer que par la honte ?

N’est-il pas, en effet, un positionnement honteux que de militer pour l’abolition de la souveraineté et l’indépendance nationale de son propre peuple ? Dans le droit comme dans la morale populaire, n’est-ce pas cela que l’on qualifie de trahison ?

Oui, l’européïste est un traître honteux qui préfère imposer son idéologie par l’entremise des grands médias et d’un législateur faisant fi du consentement populaire à la démolition de notre propre pays, plutôt que de s’en gargariser ostensiblement depuis le fronton de sa propre maison. Pourquoi se fâcher avec un voisinage cultivant, sans le dire, une douteuse préférence nationale alors qu’il est bien plus simple et, en apparence légal et démocratique, que d’imposer à la collectivité publique de d’assurer le financement du fanion européïste ainsi que son pavoisement sur les frontons des écoles et mairies ? Ainsi, ce salaud de gueux qui avait voté contre le traité constitutionnel européen en 2005 et qui voterait bien volontiers en faveur de la démolition des institutions de Bruxelles si on le consultait par référendum à ce sujet, saura que son opinion n’a nullement le droit de cité, quand bien même elle est majoritaire.

Les opinions particulières, minoritaires et profondément hostiles à la souveraineté nationale des européïstes doivent être légalisées et martelées sur le champs médiatico-politique. Toute opposition, quand bien même majoritaire, se devra d’être qualifiée de « complotiste », « démagogique » voire « d’extrême droite » afin que l’effet salissant soit total.

Aussi, lorsque des résistants décrochaient la croix gammée de l’espace public durant l’occupation allemande ou, qu’ailleurs, d’autres décrochaient le drapeau soviétique symbolisant le mépris de la Liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, ce ne fut qu’à la restauration de l’indépendance nationale de leur propre pays, que l’on cessa de qualifier ces gens de voleurs ou même de terroristes avant de reconnaître, enfin, la valeur de leur geste hautement patriotique.

Si d’ailleurs, l’on se faire une idée de ce qui peut-être fait ou non s’agissant du respect du drapeau national, on apprendra que le 27 juillet 2005, le Conseil d’État édictait que : le principe de neutralité des services publics s’oppose à ce que soient apposés sur les édifices publics des signes symbolisant la revendication d’opinions politiques, religieuses ou philosophiques particulières.

Cette décision du Conseil d’État, reprend au final les valeurs de neutralité républicaine du service public qu’une circulaire datant du 27 Octobre 1970 rappelait sur le même sujet. Elle était rédigée comme suit :

« les exhibitions sur la voie publique d’insignes ou d’emblèmes associés aux couleurs nationales, sont d’une manière générale, de nature à compromettre la sûreté et la tranquillité publique ; elles peuvent donc être interdites et que : [...] L’éventualité de l’exhibition ou l’utilisation, sur la voie publique, de l’emblème national, associé à des emblèmes ou insignes présentant un caractère politique ou religieux soit lors de cortèges, défilés et rassemblements, soit lors de quêtes, dans des conditions de nature à entraîner de la part d’une catégorie de citoyens, des réactions créatrices de troubles de l’ordre public, doit conduire les Maires à refuser d’autoriser ou à interdire la quête ou manifestation envisagée »

Par ailleurs, la France n’a nullement reconnu l’emblème européen que ce soit dans notre Constitution, mais aussi dans le traité de Lisbonne lui-même, puisque l’article 52 des déclarations annexées au traité sur le fonctionnement de l’Union européenne portant reconnaissance aux symboles de l’institution (le drapeau européen, la journée du 9 mai, l’euro et l’hymne européen) n’a pas été ratifié par la France.

Aussi, actons que les macronistes n’ignorent nullement la volonté générale du peuple français quant à se désincarcérer des institutions de l’UE. Ainsi, le 20 janvier 2018, Emmanuel Macron, révélait à la BBC « qu’en cas de vote pour ou contre la sortie de l'Union européenne, la France aurait "probablement, dans un contexte similaire", voté pour la sortie, comme l'a fait la Grande-Bretagne en juin 2016

Est-ce qu’Emmanuel Macron en a tiré la conclusion démocratique qui s’imposait, à savoir, consulter le peuple par référendum sur la sortie de l’Union européenne et de l’euro ?

Non, depuis que les banquiers et journalistes l’ont catapulté Président de la République, il ne cesse de vouloir défaire les reliquats de notre indépendance nationale pour les confier tour à tour à Bruxelles, Berlin ou Washington. Depuis l’ère Giscard D’estaing, que ce soit dans la haute fonction publique, le gouvernement ou le parlement, la France est gouvernée par des traîtres. De véritable collabos qui, avec une hargne incommensurable, défont par la politique des petits pas, la souveraineté de la nation sur l’autel de l’UE et l’OTAN.

Les élites intellectuelles et politiques, favorables à la cause du peuple et à sa souveraineté, sont au mieux diffamées par l’ensemble du microcosme médiatique français, au pire littéralement censurées. On nous impose le fanion européen jusque sur les frontons des écoles non sans y adjoindre une violente propagande européïste distillée par les enseignants eux-mêmes à des gamins qui n’ont nullement l’âge de produire un raisonnement critique sur les atteintes à leur souveraineté.

Aussi, rien d’étonnant à ce que des traîtres se prétendant députés de la nation, aient déposé récemment une proposition de loi visant à rendre obligatoire le pavoisement du drapeau européen sur les frontons des mairies. Ces gens là méprisent la démocratie et plus encore la souveraineté de la nation. Dans la République des copains, il ne sera jamais question de consulter le peuple ou du moins de se soumettre à sa volonté générale. Lorsqu’il s’agit de nous imposer le symbole de leur idéologie aussi extrémiste que minoritaire, les européïstes que l’on retrouve, bien sur, chez les caniches de la Macronie, mais aussi chez EELV, LR, Centre/Modem ou au PS, pactisent bien volontiers contre le droit à l’auto-détermination du peuple français.

La Résistance, pour nous, doit en conséquence s’articuler sur un vaste plan de reconquête nationale. Reconquête des médias collabos en les assiégeant littéralement. Reconquête de la Justice par l’institution de tribunaux populaires ouvrant les procès que la Justice régulière se refuse à organiser contre les puissants. Reconquête de la monnaie en rebaptisant FRANCS nos billets de banque avec un simple stylo, voire un coup de tampon. Reconquête du seul symbole de notre unité, de notre souveraineté et de notre indépendance nationale en décrochant les symboles européïstes qui le souillent en étant pavoisés aux côtés du drapeau tricolore, ainsi que leur restitution aux mairies, au parlement, à l’Elysée ou encore au gouvernement. La Révolution est une œuvre qui se se conduit tout azimuts avec des objectifs précis, calculés pour nuire gravement à l’adversaire, que ce soit dans son moral, sa communication et plus encore sa légitimité à nous gouverner. Un gouvernement se renverse aussi par la politique des petits pas, et l’un d’entre-eux consiste à décrocher les drapeaux européens de leur support et les restituer aux traîtres qui promeuvent l’UE contre la souveraineté du peuple français.

Un autre consiste à soutenir les Décrocheurs lorsqu’ils font face à la Justice et leur donner les moyens d’invoquer leurs arguments depuis le tribunal d’instance jusqu’à la cour de cassation s’il le faut, et même en passant par la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui reconnaît dans les interprétations de ses propres juristes que « la liberté d’expression » protégée par l’article 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme ne se limite pas à des mots, écrits ou prononcés, mais s’étend aux tableaux, images et actions visant à exprimer une idée ou à présenter une information. Les juristes de l’Union européenne ont en effet une grille de lecture très anglo-saxonne sur le respect de la liberté d’expression et les formes qu’elle peut revêtir. Ainsi, ils se sont peut-être appuyés sur un arrêt rendu le 21 Juin 1989 par la Cour Suprême des USA dans l'affaire Texas V.

Johnson. Selon a plus haute autorité judiciaire des États-Unis : les lois condamnant la profanation du drapeau, alors en vigueur dans les 48 États, sont incompatibles avec le premier amendement et à la Constitution fédérale interdisant au Congrès de limiter la Liberté d'expression.

A l’inverse des Américains, la plupart des Français considèrent que porter atteinte au drapeau national, en toutes façons, y compris en lui associant des emblèmes symbolisant une idéologie ou croyance particulière, demeure un délit de lèse-nation ne pouvant rester impuni. En revanche, que l’on questionne le peuple sur ses sentiments lorsqu’un drapeau européen est décroché de son support ? Croyez-vous que la majorité des Français s’étant exprimé contre l’Union européenne en 2005 se désole ou, bien au contraire, se réjouisse de toute atteinte faite à une institution qui abolit leur souveraineté et méprise même leurs choix référendaires ? Soyons plus hardis encore dans l’interrogation : Si demain nous apprenions que les bâtiments de la Commission européenne et de la BCE se seraient effondrés dans la nuit, cela même avec quelques pertes humaines à déplorer, croyez-vous que les Français pleureraient la disparition des institutions totalitaires de l’Union européenne ou que nombreux célébreraient la nouvelle comme une libération nationale ?

Le fait de décrocher un symbole de son support est une façon de communiquer une opinion. Une opinion faisant valoir avec toute sa radicalité, l’hostilité que l’on porte au symbole ici attaqué. L’Union européenne tient à se donner les apparences d’un État pour subvertir la souveraineté même du peuple français à ses propres institutions, il est du droit et même du devoir des Français que de résister et repousser l’ennemi de toutes les façons possibles. Décrocher son étendard de l’espace public n’est qu’une forme d’expression qui se veut à la fois hautement symbolique, pratique et pacifique. Décrocher un torchon européïste, c’est rappeler aux traîtres à la patrie qui faisant propagande en faveur de l’Union européenne, que nous ne laisserons pas ces néovichystes nous soumettre à nouveau à toute forme de suzeraineté étrangère. Décrocher un torchon étoilé, c’est assurément revendiquer le droit du peuple français à conserver son auto-détermination politique.

Contrairement aux exaltés de la bannière étoilée, nous ne sommes ni les larbins de Bruxelles, pas plus que de Berlin ou Washington. C’est bien la ligne juridique que les Décrocheurs ont tout intérêt à défendre. Nous pourrions invoquer le droit de résistance à l’oppression, insister sur le caractère illicite du drapeau européen ou encore faire reconnaître par l’absurde que décrocher un drapeau européen ne peut nullement être qualifié de « vol » sauf à vouloir faire preuve d’une mauvaise foi ostensible pour le magistrat ayant à examiner le fonds du dossier. C’est pourtant la Liberté d’expression que nous comptons invoquer au même titre que décrocher un portrait de l’usurpateur élyséen dans une mairie, signifie en substance faire valoir son rejet clair et ostensible du traître au pouvoir. C’est un message non verbalisé et qui, pourtant, ne manque pas de clarté. Par «l’effacement » de l’image du despote ou du symbole de son idéologie qu’il nous impose, ce qui est qualifié parfois d’outrage, souvent de vol et quelques fois de « recel » sont des accusations manifestement disproportionnées du procureur de la République, bien ennuyé de devoir faire face à l’humeur de la population sur les choix et personnalités politiques qui sont imposés au peuple par une petite poignée d’intérêts industriels, financiers et journalistiques conjuguant leurs efforts contre la souveraineté du peuple.

Pour toutes ces raisons, il est essentiel de soutenir les activistes qui se battent contre Emmanuel Macron, le gouvernement et l’ensemble des acteurs qui veulent maintenir la France enfermée dans l’Union européenne. Vous pouvez décrocher des drapeaux européens de leur support est les restituer à tout politicien que vous souhaiterez. Vous pouvez aussi permettre à nos camarades tout aussi fauchés que la plupart d’entre nous, en les aidant à régler leurs frais d’avocat pour qu’ils ne se concentrent que sur leurs arguments à invoquer au tribunal.

Frédéric a eu le courage de faire ce que de très nombreux dissidents (pourtant très hostiles à l’Union européenne) se refusent de faire eux-mêmes. Nous avons le devoir de porter assistance à nos camarades ouvrant le chemin pour nous. Aussi, je vous encourage à verser un don, même symbolique de votre point de vue, sur la cagnotte dont le lien suit cette publication.



1 commentaire:

  1. Bonjour, je ne vous vois plus sur twitter... il y a eu censure ?

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