Durant de nombreuses années, j'ai contribué, avec tant d'autres, à une résistance active contre l'oligarchie tout en ne me départissant jamais d'une logique de pacifisme et de légalisme dans les modes d'action que je proposais. Parce tout était encore possible par les voies que je suggérais alors, notamment dans l'essai que j'ai rédigé sur cette doctrine de travail. Mais aujourd'hui, outre le fait que ces voies pacifiques sont désormais entravées par le gouvernement et ses sbires œuvrant au sein même de la préfecture de Paris, j'ai perdu toutes mes illusions. Je ne suis que colère à l'état pur et mes désirs d'action sont autrement plus violents (pour ne pas dire meurtriers) qu'ils ne l'ont jamais été. La violence révolutionnaire à l'égard des tenants de la propagande et du régime lui-même, est plus que légitime.
Je prends ici toutes mes précautions : ma volonté de liquider froidement les journalistes qui cancanent avec indolence sur la pertinence du totalitarisme en cours ; d'occire des parlementaires, membres du gouvernement et hauts-fonctionnaires qui implémentent couche après couche cette tyrannie en France ; de tabasser jusqu'au sang tous ceux qui, de près ou de loin, soutiennent tout cela : je ne l'assumerai pas.
Si l'un de ces fieffés salauds devait être lynché par quiconque, je m'en réjouirais pleinement - cela, je ne m'en cache pas - mais de près ou de loin, je n'y aurais pas contribué. Par lâcheté sans doute mais plus encore parce que je ne tiens pas à ce que les despotes encravatés, puissent être qualifiés de "martyres" lorsqu'ils sont en réalité des bourreaux méritant les pires châtiments populaires.
Je tiens ici à rappeler l'un des premiers textes "modernes" (et toujours en vigueur dans le pays dont il est issu) portant sur le droit de résistance à l'oppression :
"La prudence enseigne [...] que les gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des causes légères et passagères, et l'expérience de tous les temps a montré, en effet, que les hommes sont plus disposés à tolérer des maux supportables qu'à se faire justice à eux-mêmes en abolissant les formes auxquelles ils sont accoutumés. Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future".
Voila ici toute la philosophie du droit de résistance (sous-entendu par la violence) que l'on retrouve dans le préambule de la Déclaration d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique. Et nous y sommes ! Le mandat de Macron comme de ses prédécesseurs est usurpé si l'on considère que les intérêts financiers et la propagande médiatique qui ont assuré son accession au pouvoir, rendent caduques la légitimité de son mandat. Et je n'ai que faire de la mauvaise foi de ceux qui considèrent que la censure et/ou la diabolisation des opposants est sans effet sur la logique du vote "en conscience" des Français. De même que les abus de notre gouvernement sont permanents, répétés et suffisamment graves, cela sans qu'aucun contre-pouvoir judiciaire, administratif, militaire ou médiatique ne vienne entraver l'inoculation du despotisme le plus absolu dans notre pays.
Quant à l'apathie populaire voire la bêtise crasse de la majorité qui monnaye sa tranquillité contre ses libertés les plus fondamentales, je n'en ai cure non plus. N'oublions pas que durant la dernière guerre, on vota les pleins pouvoirs à Pétain dans le désintérêt (quand ce ne fut pas l'émulation) de la majorité du peuple. La majorité est moutonnière, cela a toujours été et cela sera toujours. Quoi que nous fassions. Ceux qui rejoignaient la France libre étaient au mieux conspués quand ils n'étaient pas dénoncés par des petites gens toujours promptes à soutenir les pires ordures qui soient. Cela pour se donner le sentiment de faire partie du camps des "gagnants" là où ils n'ont jamais été que des perdants et même les êtres les plus insignifiants qui soient.
Je n'ai pas la prétention de pouvoir offrir des solutions intermédiaires aujourd'hui et même mon essai sur le droit de résistance qui préconisait tant de voies pratiques, pacifiques et légales m'apparaît désormais obsolète. Si le niveau de santé mentale de la population était ce qu'il devrait être, des politiciens seraient actuellement en train de pourrir au bout d'une corde sous les platanes parisiens. Des journalistes de propagande se terreraient chez eux ou fuiraient à l'étranger pour échapper aux représailles de masses littéralement enragées et que plus rien ne pourrait contrôler.
Notre immunité collective concernant nos droits et libertés à sauvegarder est depuis longtemps réduite à peau de chagrin. Et nul vaccin ne peut enrayer cela. A part terroriser nous-mêmes ceux qui terrorisent la population. Mais qui tient réellement à franchir un tel pas ?
Pour ma propre part, il est certain que face à l'absence de solutions politiques et militantes qui soient réellement offensives sans que la mort ou la prison n'en soit l'issue personnelle de tout un chacun, je reste sur le retrait. Je ne me suis jamais autant senti démuni et impuissant. Pour la Macronie et tous les collabos qui soutiennent la tyrannie à visage sanitaire du moment, tout va pour le mieux et il n'y a aucune raison que la dégradation ne se poursuive pas. Bientôt la vaccination obligatoire et les camps de réadaptation mentale pour les récalcitrants. On radie déjà de l'ordre des médecins ceux qui ont encore quelques notions éthiques en tête. On emprisonne déjà à domicile ou dans des camps (justement) des Français qui ont été exposés (ou non) au Covid. Nos libertés d'aller et venir, de travailler ou de nous rassembler sont clairement abolies avec le plein consentement de ces petits roquets de juges administratifs qui méritent tout autant de subir le courroux du peuple. Nos policiers et gendarmes, bien que non soumis aux dispositifs qui s'imposent à nombre de corps professionnels, sont chargés de réprimer quiconque n'obéit pas. Quand leurs enfants sont bâillonnés dans les salles de classe où vaccinés sous la contrainte, cela n'éveille même pas en eux leur sentiment d'alarme. D'ailleurs, tel parent qui refuse que son enfant subisse des atteintes à son intégrité physique et psychique par l'Etat, peut être accusé de "maltraitance" et voir sa progéniture lui-être enlevée par des décisions judiciaires iniques.
Alors quelle sera la suite ?
Pour ma propre part, il est certain que face à l'absence de solutions politiques et militantes qui soient réellement offensives sans que la mort ou la prison n'en soit l'issue personnelle de tout un chacun, je reste sur le retrait. Je ne me suis jamais autant senti démuni et impuissant. Pour la Macronie et tous les collabos qui soutiennent la tyrannie à visage sanitaire du moment, tout va pour le mieux et il n'y a aucune raison que la dégradation ne se poursuive pas. Bientôt la vaccination obligatoire et les camps de réadaptation mentale pour les récalcitrants. On radie déjà de l'ordre des médecins ceux qui ont encore quelques notions éthiques en tête. On emprisonne déjà à domicile ou dans des camps (justement) des Français qui ont été exposés (ou non) au Covid. Nos libertés d'aller et venir, de travailler ou de nous rassembler sont clairement abolies avec le plein consentement de ces petits roquets de juges administratifs qui méritent tout autant de subir le courroux du peuple. Nos policiers et gendarmes, bien que non soumis aux dispositifs qui s'imposent à nombre de corps professionnels, sont chargés de réprimer quiconque n'obéit pas. Quand leurs enfants sont bâillonnés dans les salles de classe où vaccinés sous la contrainte, cela n'éveille même pas en eux leur sentiment d'alarme. D'ailleurs, tel parent qui refuse que son enfant subisse des atteintes à son intégrité physique et psychique par l'Etat, peut être accusé de "maltraitance" et voir sa progéniture lui-être enlevée par des décisions judiciaires iniques.
Le Réel n'existe plus désormais. Seul le "narratif" médiatique dispose de nos consciences. Oui, des personnes malades ou âgées meurent de telle ou telle infection respiratoire dont le Covid peut faire partie, mais on a déjà oublié que cela a toujours été le cas. Il n'y a rien d'extraordinaire, il n'y aucun péril épidémiologique particulier à faire valoir, juste la normalité des choses qui, soudain, est prétexte à toutes les mesures liberticides. Je trouve parfaitement sain et normal que des vieux meurent. De même que je trouve tout à fait logique que des maladies diverses et variées puissent malheureusement nous faire passer de vie à trépas. La mort a toujours fait partie du contrat et je ne donne aucune légitimité à un quelconque "scientifique" de bas-étage quant à soutenir l'abolition de nos libertés pour ne même pas empêcher cette normalité de se poursuivre. Les grands bûchers pour incinérer des cadavres dégueulant des morgues n'ont jamais été allumés, et pour cause : absolument rien ne le justifie. Les gens jeunes et en bonne santé ne crèvent pas du Covid à quelques exceptions statistiques près, ce qui signifie l'absence de dangerosité pour la nation du pathogène en question. La bonne santé de la population pourtant criante, visible et quotidienne doit être tue. Le fait que les vaccins que l'on nous préconise n'empêchent nullement les personnes inoculées de contracter le virus ne remet même pas en question la validité de ces produits, au-delà de tous les conflits d'intérêt qui entourent leur commercialisation. Est-ce que le taux de létalité diffère entre des personnes vaccinées et non vaccinées à âge et état de santé similaire ? Absolument pas ! Mais non, faites-vous vacciner bande de fils de pute ! Vous n'êtes pas solidaires des vieux si vous refusez de le faire ! Vous êtes des crasseux intellectuels, des égoïstes, des gens qui ne comprenez rien à "la raison scientifique" voire des complotistes si vous refusez la sacro-sainte piquouze !
Ce discours permanent visant à faire d'une minorité intègre avec sa lucidité et ses droits, ne vise pas autre chose qu'à nous transformer en parias et marginaux qu'il serait bon d'incarcérer chez les fous. On prépare le terrain des consciences pour faire accepter ce qui adviendra. L'effet cliquet. Répéter les mêmes discours de haine et discriminants contre les opposants au totalitarisme de ce début de siècle, jusqu'à ce que cette ingénierie sociale ait produit ses effets : personne ne souhaite être un paria. Et puis si désormais on les emprisonne, après tout, qui s'en souciera ? Chacun aura pris soin de se soumettre, de se faire "vacciner", d'obéir, de consentir, de faire d'un mensonge une vérité indiscutable sauf ces quelques crétins qui refusaient obstinément une si maigre concession avec leur corps et leur raison froide. Si le gouvernement les enferme, c'est bien de leur faute ! Ils n'avaient qu'à obéir !
Une telle violence médiatico-politique appelle nécessairement à une violence populaire inouïe en réaction. Cela est sain d'être en colère et même d'avoir des envies de meurtre contre les ordures qui nous tyrannisent. Etre apathique et servile est en revanche la marque d'une réelle aliénation psychique. Et la majorité du peuple est à ce titre clairement aliénée. Je le dis, le répète et le martèle : la violence révolutionnaire est tout à fait légitime et même nécessaire. Il en va de notre Salut collectif. Et lorsque les digues tomberont, je ne verrais pas moi-même l'intérêt de maintenir mes propres inhibitions. Je ferais partie de ces masses criardes et n'ayant plus que la rage au cœur, qui iront déloger de leurs belles demeures tous ces collabos pour le moment assez sereins pour se montrer arrogants encore et toujours, et sans nul doute que moi-aussi je participerais à leur lynchage sans aucune retenue.
Une telle violence médiatico-politique appelle nécessairement à une violence populaire inouïe en réaction. Cela est sain d'être en colère et même d'avoir des envies de meurtre contre les ordures qui nous tyrannisent. Etre apathique et servile est en revanche la marque d'une réelle aliénation psychique. Et la majorité du peuple est à ce titre clairement aliénée. Je le dis, le répète et le martèle : la violence révolutionnaire est tout à fait légitime et même nécessaire. Il en va de notre Salut collectif. Et lorsque les digues tomberont, je ne verrais pas moi-même l'intérêt de maintenir mes propres inhibitions. Je ferais partie de ces masses criardes et n'ayant plus que la rage au cœur, qui iront déloger de leurs belles demeures tous ces collabos pour le moment assez sereins pour se montrer arrogants encore et toujours, et sans nul doute que moi-aussi je participerais à leur lynchage sans aucune retenue.
Dans l'attente, je ronge mon frein comme nous tous. Mais que les choses soient claires pour les grandes oreilles de la nation : un adage dit qu'à "vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes". J'accuse très clairement l'écrasante majorité des personnes qui, au sein de nos institutions régaliennes (armée, justice et police), aurait pu depuis longtemps éviter que des gens aussi doux et pacifiques que je ne l'étais se "radicalisent", d'avoir failli à leur mission de sauvegarde de l'Etat et de nos libertés. Par votre servilité, votre carriérisme, votre manque d'intégrité personnelle, votre je-m'en-foutisme permanent et votre désintérêt profond du bien public, vous avez laissé de véritables criminels disposer des rênes du pouvoir et abolir toutes ces foutues "valeurs de la République" qui assuraient notre cohésion et l'état de droit en France. Ceux qui périront dans les violences insurrectionnelles de demain seront lynchés par votre faute. Non celle des révolutionnaires qui furent patients et jusqu'au bout déterminés à éviter les écueils les plus sanglants.
Si un pacifiste tel que moi a désormais le goût du sang dans les lèvres, qu'en est-il de ceux qui n'ont jamais prétendu au pacifisme dans leurs modes d'action ?
Voila où j'en suis, voila où nous en sommes et voila ou nous nous dirigeons...
Voila où j'en suis, voila où nous en sommes et voila ou nous nous dirigeons...
A bons entendeurs !