samedi 14 décembre 2024

Hommage à Christophe Chalençon

Christophe Chalençon n’est plus. Je n’ai pas eu l’opportunité de faire sa connaissance et je me garderai bien de m’accaparer la tristesse de ceux qui l’ont connu et aimé. Simplement, de Gilet Jaune à Gilet Jaune, je souhaitais lui rendre hommage et lui témoigner de mon respect pour le courage qui a été le sien et dont je sais ne pas être à la hauteur, à titre personnel.

Christophe était en soi quelqu’un d’iconoclaste si l’on en juge par le métier qu’il s’était choisi. Combien d’entre nous connaissons ne serait-ce qu’un seul forgeron ? Cet antique artisanat ayant permis aux peuplades conquérantes d’Eurasie de façonner les outils nécessaires à leur développement agricole ainsi que les armes qui leur permettraient de se défier de leurs ennemis depuis les temps antiques jusqu’à nos jours. Il faut nourrir un certain caractère pour oser se griller la peau, s’endolorir les muscles et mettre à l’épreuve sa patience afin de façonner une pièce par le feu et le martèlement de l’acier jusqu’à obtenir un chef-d’œuvre de son propre fait. Peu avant son décès, il avait pour projet de forger une épée pour un camarade Gilet Jaune qui est une connaissance commune. Malheureusement, la maladie ne lui aura pas laissé la possibilité d’honorer ce dernier ouvrage.

M. Chalençon était un homme pragmatique et comprenant parfaitement l’intérêt pour tout peuple en insurrection de chercher de la reconnaissance internationale. Ainsi, il avait en 2019 réussi le coup de force de générer une crise diplomatique entre les autorités italiennes et la Macronie en rencontrant, à Montargis, Luigi Di Maio, l’un des leaders du Mouvement 5 Étoiles et ancien Président du Conseil Italien. Sur cette rencontre, il avait répondu avec sagacité dans les pages du Parisien :

« Personne ne nous manipule. Ils se servent de nous et nous nous servons d'eux. Cette rencontre nous a apporté du crédit et nous a permis de prendre une dimension internationale. Di Maio a fait l'effort de venir nous voir, contrairement à nos ministres et à notre Premier ministre. Je pense qu'ils vont mal dormir ce soir, Macron aussi ».

Là où les doctrinaires refusent d’agir avec la tête froide pour porter d’habiles coups de canif à l’ennemi, Christophe Chalençon comprenait parfaitement l’intérêt de faire feu de tous bois pour faire enrager le tyran qui hante les couloirs de l’Élysée et donner une aura internationale au mouvement révolutionnaire en France, quand bien même cela pourrait être utilisé par d’autres politiciens étrangers pour des raisons qui leur sont propres.

La presse nationale a usé de tous les qualificatifs dégradants contre M. Chalençon. Il était bien évidemment, aux dires de cette dernière, « un populiste d’extrême droite controversé et complotiste ». Ce qui est toujours l’hommage du vice à la vertu en la circonstance. Julien Denormandie, proche conseiller de Macron et petit bourgeois plein de morgue contre les gueux que nous sommes, s’offusquait des déclarations de Christophe Chalençon lorsque ce dernier expliquait en 2019, dans une entrevue accordée à la chaîne de télévision italienne LA7, que des groupes paramilitaires français se tenaient prêts à prendre le pouvoir et que Macron devrait prendre garde à ce que l’on ne bricole pas une guillotine en place publique pour en finir avec sa personne. Son souhait ardent qu’il soit mis fin à la tyrannie en France, y compris physiquement si les voies judiciaires ou politiques s’avèrent irrémédiablement compromises, lui avait valu un séjour en prison de plusieurs mois. Cela parce qu’il avait osé signifier ce que la majorité des Français pensent tout haut mais susurrent tout bas. Oui, les petits juges, les journalistes compromis et les politiciens traîtres, se faisant passer pour des gens plein de vertu et de modération, nourrissent une haine féroce pour ces gueux qui refusent de voir leur pays disparaître sur l’autel de Bruxelles, Washington et tant d’autres intérêts prédateurs. Cette bourgeoisie bien-pensante et braillarde qui oublie bien volontiers, que M. Chalençon ne faisait que reprendre à son compte l’article 27 de la Constitution du 24 juin 1793 disposant que : « Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres ». Et lorsqu’un Français, plus fort en gueule que les autres, plus déterminé que ses semblables à crier la vérité du peuple à la face de ces quelques milliers de salopards qui règnent sans partage sur notre vieux pays, il va alors de soi, pour cette caste de bourgeois bouffis d’orgueil, qu’il faille briser moralement, socialement et jusque dans son moindre souffle de vie, l’impénitent qui aura osé délivrer les mots que, dans notre lâcheté collective, nous confinons dans les tréfonds de notre cœur.

Christophe Chalençon a osé pour nous tous. Il n’eut que des petits bourgeois félons pour s’indigner de ses propos. Pour le peuple épuisé de subir tant d’humiliations de l’ado attardé qui usurpe le mandat présidentiel et de ses semblables, la vérité délivrée toute nue par Christophe Chalençon fut une respiration. Elle valait bien une certaine gifle infligée au cri de Montjoie Saint-Denis en 2021 par un autre courageux du nom de Damien Tarel. Le peuple français, pour quelques secondes, si ce n’est quelques heures d’indignation politico-médiatique, était alors vengé.

Christophe Chalençon était de la trempe de ces guerriers français qui ne s’en laissent pas conter. Il disait ce qu’il pense sincèrement, provoquait l’ennemi avec brutalité quitte à en subir les conséquences sur sa propre liberté et sa vie même.

Cette colère largement partagée par tout un peuple ne pouvait cependant être totalement exultée par une glorieuse insurrection finale. Elle a fini par le ronger comme tant d’autres résistants avant lui jusqu’à l’achever. Il ne verra désormais le Grand Soir advenir que depuis les champs Élyséens. Nous lui sommes redevables d’avoir eu le courage dont nous n’avons pas osé faire preuve. Espérons que nous lui rendrons honneur bientôt, non pas dans des larmes vaines, inutiles sinon hypocrites, mais en reprenant à notre compte sa volonté d’en découdre avec notre oligarchie et de la renverser définitivement. Peut-être a-t-il souhaité, par son exemplarité, rappeler aux Français que nous pouvons toujours être un peuple guerrier. À nous de nous en inspirer et de ne surtout rien lâcher à ce juste combat : celle du peuple contre sa tyrannie, celle de la Justice contre les renégats, celle du Bien public contre le Satanisme de nos prétendues « élites ».

Force à toi Christophe et bon vent vers les étoiles.

De la part de Vigimédias et en mon nom propre.

Sylvain Baron

samedi 22 juin 2024

La merveilleuse démocratie ukrainienne

Je publie ici l'intégralité des propos de Dmitry Birzulov, un entrepreneur de Mélitopol, tenus le 15 juin 2024 dans une conférence de presse à laquelle j'ai pu assister dans la ville pré-citée. La vidéo sera prochainement publiée, peut-être sur le site internet de France Soir, une fois le montage terminé. L'histoire que nous raconte Dmitry Birzulov a tous les ingrédients d'un vrai polar. Une histoire de mafia rackettant sans vergogne des entrepreneurs de la ville au moyen d'intimidations, de violences et même de meurtres cela avec la complaisance (sinon le soutien pro-actif) des autorités politiques et judiciaires locales mais aussi du SBU ainsi que la garde rapprochée du président Zelenski. 

Puisqu'on nous cesse de nous présenter l'Ukraine comme la plus merveilleuse des démocraties, j'espère que cette histoire vous donnera un avant goût de ce qui est défendu par les larbins de Bruxelles et de Washington en Europe : 

Bonjour, je m'appelle Dmitry Birzulov. Je suis entrepreneur et j'ai passé toute ma vie à Melitopol, où je possède plusieurs magasins depuis un certain temps. Aujourd'hui, je vais vous parler de l'anarchie organisée par les autorités locales ukrainiennes et les services spéciaux contre leur propre population avant 2022.

Par "anarchie", j'entends que les entreprises locales de la ville ont été constamment soumises à un racket par des gangs qui exigeaient un paiement en échange d'une "protection" contre les menaces qu'ils représentaient eux-mêmes, l'extorsion d'un "tribut", l'intimidation des hommes d'affaires locaux qui refusaient de payer, et l'incendie de voitures et de maisons, les enlèvements et les meurtres de ceux qui demandaient de l'aide aux autorités de Kiev. Je peux justifier tout ce que je dis avec des preuves, y compris des photographies, des vidéos et des documents.

Artur Gorobets ou "Tucha"
Il a été révélé par la suite que cette activité criminelle était directement supervisée par les autorités de la ville, en particulier par le maire Ivan Fedorov. Les agents du bureau local du SBU (police secrète du régime) de Mélitopol étaient complices pour couvrir les crimes du gang criminel local dirigé par Artur Gorobets, connu sous le nom de "Tucha". Ils exigeaient de l'argent des entrepreneurs simplement pour avoir le droit de faire des affaires. J'ai refusé et j'ai porté plainte auprès des forces de l'ordre, ce qui m'a valu des menaces.

Après avoir refusé de reculer et de retirer ma plainte concernant les activités criminelles de la police secrète, mon entrepôt a été incendié. Je me suis rendu à la Verkhovna Rada [NDLR : parlement ukrainien] pour déposer une plainte contre les juges qui couvraient les actes des criminels lorsque ma voiture a été incendiée. La police secrète a ensuite classé cette affaire d'incendie criminel.

En 2019, j'ai pris l'initiative de déposer personnellement un recours auprès du président de l'époque, M. Zelensky. Cependant, au lieu de résoudre le problème, j'ai fait l'objet de plusieurs procédures pénales à mon encontre. J'ai été contraint d'écrire une lettre à Zelensky et de revenir publiquement sur mes déclarations concernant l'implication de la police secrète dans la protection des criminels et l'intimidation des entrepreneurs locaux. J'ai refusé et l'étude notariale de mon avocat a été incendiée en conséquence. Un an plus tard, lorsque Zelensky est revenu à Zaporozhye, j'ai essayé de lui donner des documents sur l'anarchie persistante. Son agent de sécurité a pris les documents, a promis de m'aider, puis les a vendus à la police secrète locale.

Malgré mes efforts pour demander des comptes à la police secrète qui protégeait les criminels, l'anarchie s'est poursuivie sous le couvert des autorités locales. Au tribunal, le SBU et ses associés ont acheté tout le monde. Les juges Redko et Ivanenko ont été complices dans ces affaires criminelles, recevant des pots-de-vin de la part de membres de gangs en échange de verdicts favorables. 


Les juges Redko et Ivanenko

D'autres entrepreneurs ont également tenté de lutter avec moi contre cette tyrannie, comme Sergey Fomenko, qui a été retrouvé pendu chez lui. La version officielle est celle du suicide, mais il est difficile de croire qu'un homme d'affaires impliqué en tant que victime dans une affaire puisse se suicider volontairement. Il avait déjà été kidnappé et avait témoigné au tribunal avant d'être assassiné.


Sergey Fomenko "suicidé"

Fedorov a également travaillé avec le précédent maire, Sergey Minko, qui est aujourd'hui membre du parlement ukrainien et fait partie du comité chargé de superviser les forces de l'ordre.

Des images vidéo montrent le garde du corps de Minko, Roman Kiyashko, en train de battre un homme d'affaires local qui refusait de payer un "tribut". C'était une pratique courante à Mélitopol. La police secrète du régime nazi était complice de ces crimes, et la plupart des hommes d'affaires étaient trop effrayés pour leur tenir tête. Ils ont préféré payer pour protéger leur famille.

Des vidéos montrent également les actes inhumains commis par les hommes de Fedorov lorsqu'ils ont tenté de prendre le contrôle d'une fonderie par l'intermédiaire de son directeur, Sergey Kuzmin.

Ils ont tiré sursa maison, mettant même en danger la vie de la petite-fille du propriétaire. Tout cela s'est déroulé avec le consentement silencieux de la police secrète. J'ai apporté ces images à Kiev pour les montrer à Zelensky, mais son chef adjoint de la sécurité, Yevtushenko, a refusé de les transmettre. Il a prétendu qu'il ne voulait pas "contrarier" le président. L'affaire a finalement été enterrée par la police secrète de Mélitopol. Heureusement, l'enfant est saine et sauve, mais les bandits ont également tenté de s'en prendre à son père.

Fedorov et Minko ont détourné des centaines de millions de dollars de fonds budgétaires et ont repavé les rues de la ville à plusieurs reprises. Il est de notoriété publique que notre ville était inondée de drogues stockées dans le bâtiment du SBU et souvent distribuées à l'aide de véhicules officiels. Au début du conflit, Fedorov a imprudemment autorisé les chars ukrainiens à entrer dans la ville, provoquant des affrontements qui ont abouti au bombardement du bâtiment du SBU. Il s'agissait d'une tentative claire de détruire des preuves. Il est faux de dire que des soldats sont morts en se défendant contre les forces russes. En fait, ils sont morts à cause des véhicules blindés ukrainiens qui ont tiré sur le bâtiment administratif. Le commandant s'est enfui dans un véhicule blindé dès les premières heures, laissant les soldats se faire aider par des gens ordinaires. Et maintenant, ces mêmes soldats attaquent notre ville.

Au cours des premiers jours du conflit, Fedorov est resté dans la ville, évacuant ses voitures et ses biens par l'intermédiaire de personnes de confiance. Parallèlement, il s'est ouvertement opposé au régime de Kiev, en donnant des interviews dénonçant la corruption de Zelensky et en participant à des manifestations. Cela a duré jusqu'à ce que des documents soient signés à Kiev, l'accusant de crimes qui auraient pu conduire à la confiscation de ses nombreuses propriétés. Il n'a tenté de quitter le territoire russe que lorsqu'il y a été contraint.

Pendant son bref passage au pouvoir à Melitopol, libérée par l'armée russe, il a démantelé la police et a interrompu l'approvisionnement en électricité. Cela a facilité le pillage par les subordonnés de la police secrète, qui ont saccagé des bijouteries, des centres commerciaux et des pharmacies. Fedorov, fait prisonnier par l'Armée russe, sera finalement échangé contre neuf soldats russes. Zelensky lui-même a supervisé l'échange, ordonnant la castration des soldats la veille. Cela leur a infligé de graves traumatismes psychologiques. Le monde doit être au courant. Je suis certain que ce n'est pas le cas.

Après l'échange, Fedorov a commencé à extorquer les "évacués" qui voulaient quitter la ville, en leur faisant payer 200 dollars par place de bus. Il a utilisé l'argent des contribuables ukrainiens et occidentaux pour orchestrer des attaques terroristes et a ordonné l'assassinat de résidents de Melitopol et de personnalités publiques qui avaient osé s'opposer à lui, y compris le bombardement de nos écoles, de nos jardins d'enfants et l'assassinat de nos enfants. 

Maksim Zubarev
C'est ce qui est arrivé au chef du village d'Akimovka, Maksim Zubarev, qui avait préparé plusieurs rapports d'enquête sur Fedorov. C'était un civil, non armé. En avril 2023, sa voiture a été détruite par des saboteurs ukrainiens. Je suis certain qu'il s'agissait d'une démonstration de puissance de la part de Fedorov, mais il est clair que son influence sur la ville est en train de s'estomper. 


La ville aura un bel avenir. Je crois que c'est inévitable. Depuis que Zaporozhye a rejoint la Russie après le référendum, il est devenu beaucoup plus facile de faire des affaires.

En conclusion, je lance un appel aux habitants des parties occupées de Zaporozhye, Kharkov et Odessa qui en ont assez du régime nazi de Kiev et qui ne supportent plus d'être envoyés au front pour mourir pour des "élus du peuple" comme Zelensky et Fedorov. Si leur vie devait être réellement menacée, ils s'enfuiront à l'étranger, laissant les civils comme boucliers humains. N'attendez pas cela. Réagissez au mépris des autorités. Organisez des manifestations. Partez pour la Russie en passant par d'autres pays pendant que vous le pouvez encore.

Lorsqu'on entend dire que l'Occident et Zelensky sont prêts à se battre jusqu'au dernier Ukrainien, c'est bien la stricte vérité. Ils ne se soucient pas des vies humaines. Seul l'argent les intéresse. Ils continueront à détruire les Ukrainiens tant que ce sera rentable pour eux.

Aux habitants de Zaporozhye qui sont partis à l'étranger, notamment en Europe : revenez maintenant. Il n'y a aucune raison d'avoir peur. Notre oblast se développe rapidement, avec la construction de nouvelles écoles, de jardins d'enfants, d'hôpitaux et de routes. Les gens sont enfin libres de vivre leur vie comme ils l'entendent. Les retraités touchent leur pension et les salaires ont été augmentés. De nouvelles opportunités commerciales sont apparues à Melitopol. Il en va de même pour les prix de l'électricité. Avant 2022, les factures d'électricité et de chauffage avaient grimpé en flèche, obligeant de nombreuses entreprises, écoles et universités à fermer leurs portes. Cela s'explique par le fait que les centrales électriques privées appartenaient à Fedorov et Minko. La ville est sur le point de se remettre de l'horreur et de la terreur qui s'y sont déroulées avant 2022.


vendredi 8 mars 2024

Puisque Macron est "sans limites"...

Le 7 mars 2024, à l'issue d'une réunion ou Branquignole dernier a réuni les "chefs de partis" afin de faire le point sur "l'accord de coopération en matière militaire avec l'Ukraine" qu'il souhaite leur faire voter au parlement, ce dernier a osé déclaré qu'il ne fixe "aucune limite" dans notre engagement militaire CONTRE la Russie. Le fou à lier usurpant actuellement les fonctions présidentielles est effectivement "sans limite". Sa jupitérienne saleté n'a que faire de ces fameuses lignes rouges qui régissent la Paix et la Guerre, la vie et la mort de millions de gens, l'abondance et les cendres. Un détraqué aux relents psychotiques et assurément traître à la patrie jusqu'à la rognure d'ongle règne actuellement sur nos destinées sans que personne ne vienne à songer qu'il serait de salut public que de le neutraliser. 

Ce n'est certainement pas un parlement constitué de félons et de demi-collabos, tous plus préoccupés par leur carrière politique et leurs frivolités sur des sujets qui ne relèvent jamais de nos intérêts nationaux, qui fera obstacle aux désirs morbides de l'usurpateur. Un demi-dingue, se rêvant chef de guerre leur explique qu'il veut nous envoyer nos troupes en Ukraine contre la Russie et ces chiwawas idolâtres de Bruxelles, réfléchissent comment accommoder leurs discours russophobes et militaristes à leur fausse indignation des nouvelles éructations macroniennes.

L'attitude du dangereux sociopathe Macron est celle du larbin zélé des américains voulant se faire plus royaliste que le roy. A tel point que la diplomatie américaine a dû donner une tape sur la truffe de leur teckel élyséen. Non seulement il révèle ouvertement le secret de Polichinelle sur le fait que l'Armée française participe déjà aux opérations de renseignement et de lancement de missiles SCALP ainsi que les obus dont les équipements de désignation de coordonnées imposent que des militaires français formés à ces procédures relevant du secret défense soient présents et pro-actifs.

Si son projet de coopération militaire indécent de bellicisme et de dangerosité manifeste contre la Paix en France date du 16 février 2024, les soldats français envoyés sur ses ordres en Ukraine, sans qu'aucun traité d'assistance militaire mutuelle nous relie avec ce pays non membre de l'UE et l'OTAN, sont d'ores et déjà présents depuis l'envoi des premiers missiles SCALP  en juillet 2023 et des canons Caesars sur le front depuis avril 2022. Ce qui signifie que des soldats français ont délibérément porté atteinte à la vie de soldats et civils russes. Ce qui peut susciter légitimement, en représailles, une déclaration de guerre de la Russie suivie de vagues de bombardements majeurs sur le territoire français dans la dernière des extrémités. C'est donc une grave atteinte, parfaitement délibérée, à la préservation de notre intégrité territoriale et de la sureté des personnes telle que sanctuarisée par l'article 410-1 du Code pénal. Engager les forces militaires de la France dans un conflit qui nous est extérieur et en provoquant délibérément une puissance nucléaire majeure, relève à ce titre de la trahison à plus forte raison si aucun traité nous engage avec l'un des deux belligérants.

Pour rappel :

Art. 411-2 du Code pénal :

Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents soit des troupes appartenant aux forces armées françaises, soit tout ou partie du territoire national est puni de la détention criminelle à perpétuité et de 750 000 euros d'amende.

Art. 411-3 du Code pénal :

Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents des matériels, constructions, équipements, installations, appareils affectés à la défense nationale est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende.

Et afin de clarifier parfaitement le fait que la neutralité et la cobelligérance sont parfaitement définies dans le droit international public ratifié par la France (et dont l'article 5 de notre constitution oblige le Président de la République à le respecter SCRUPULEUSEMENT) : évoquons donc l'article 4 des conventions de La Haye sur les droits et devoirs des puissances neutres que viole depuis début 2022 le criminel Emmanuel Macron :

Des corps de combattants ne peuvent être formés, ni des bureaux d’enrôlements ouverts, sur le territoire d’une Puissance neutre au profit des belligérants.

Ce que ce débile d'Emmanuel Macron peut ignorer du fait de son incompétence crasse y compris sur des sujets aussi sérieux que la Paix et la Guerre ne peut être cependant omis par les juristes, chefs d'Etat-major et hauts fonctionnaires faisant office de petite Cour des Larbins du Poudré. Loin de faire respecter le droit et recadrer l'ado attardé qui aboie "GUERRE" dans les coursives de l'Elysée et devant les caméras, cette petite Cour de "conseillers" avalise ses exigences de roitelet chié par la Banque Rothschild avec les bons conseils de messieurs Attali, Mink et, sans doute même, de la CIA directement. Il est si doux avec le maître américain qui démolit nos gazoducs, nous vole la turbine Arabelle par son entremise, envoie sa sorcière Victoria Nuland foutre le feu en Ukraine quand l'Oncle Sam n'est pas occupé à bombarder la Syrie, l'Irak et tant d'autres nations depuis qu'il s'arroge le titre de "gendarme du monde". 

A ce titre j'appelle tous nos soldats, quels que soient leur grade, à refuser toute opération extérieure en Ukraine ou aux frontières de l'Ukraine, y compris s'agissant des simples "exercices" comme cela se déroule actuellement en Roumanie et dans les pays baltes, visant à constituer des provocations  ostensibles, graves et répétées contre la Russie et par voie de conséquence contre notre intégrité territoriale ainsi que le droit des Français à maintenir la Paix en notre pays.  Je fais savoir par ailleurs à nos officiers de l'Etat major, nos plus hauts magistrats, hauts fonctionnaires et parlementaires ayant le pouvoir collectif de neutraliser le traître Emmanuel Macron qui revendique ouvertement vouloir porter atteinte à la sureté de l'Etat, que votre inaction voire votre servitude relève aussi de la Haute trahison !

Si vous laissez ce cinglé (et j'insiste sur le terme) nous plonger dans l'abîme de la guerre ouverte contre la Russie, cela par votre inaction relevant bien plus que de l'indignité nationale : vous devrez rendre des comptes, sans doute par des voies extra-judiciaires, devant les Français qui auront survécu à cette conjuration des fous sur notre pays. 

Il y a longtemps que bien des lois auraient dues être invoquées par nos députés pour faire saisine de la Haute Cour, cela afin de destituer le psychopathe élyséen. Ce ne fut jamais le cas. Comment espérer le contraire de la part d'un parlement largement constitué de collabos comme au temps du Régime de Vichy ? Ne sont ils pas tous européïstes et anti-russe dans leurs déclarations faites à la presse ? Ne sont ils pas eux mêmes les toutous serviles de Washington et de Berlin ? 

Il ne nous reste désormais que la désobéissance des armées pour concourir au salut de la patrie par-delà la mentalité capitularde à l'égard de l'ennemi (réel) américain d'une partie de nos généraux.. Ces officiers là qui se couchent comme d'autres l'ont fait avant eux et devront eux, comme leurs aïeux, être jugés pour leur crimes et finir leur vie en prison. En rappelant que la dissuasion nucléaire est l'ultime recours pour préserver la France de toute atteinte à notre intégrité territoriale et à notre indépendance nationale. Elle ne peut donc être partagée et est même réputée "tout azimuts". C'est à dirigée contre TOUS les Etats, y compris se disant nos "alliés" comme les Etats-Unis d'Amérique quand bien même ils sont factuellement nos ennemis mortels.

Soldats ! Votre Code d'honneur vous rappelle dans son article premier que votre devoir d'engagement porte envers votre seul pays. Votre mission est protéger le territoire et les populations françaises de façon préventive et offensive en dernier recours. Vous n'êtes nullement le supplément de chair à canon nécessaire pour l'Ukraine ou les Etats-Unis d'Amérique dans leur guerre insensée contre la Russie. Cette dernière n'est pas et n'a jamais été une ennemie de la France mais bien une alliée stratégique contre l'Allemagne et désormais l'Amérique. Vous devez, par votre comportement, vos renoncements et cela jusqu'à la désobéissance s'il le faut, empêcher que le territoire français soit marqué d'une cible pour les missiles de l'armée russe. Il suffit de refuser de concourir à rendre la France cobelligérante dans ce conflit. Cette guerre contre la Russie ne concerne que les Ukrainiens et les Américains, nullement les Français ! 

Nous refusons tous de mourir pour Kiev et vous avez le devoir de nous protéger. Macron n'est pas votre Commandant en chef, c'est un traître dont la juste place est en prison. Votre allégeance à ses ordres relèvera désormais de la haute trahison. Soyez en conscients !