Ainsi, pour en revenir au message reçu concernant une coordination militante qui tente de prendre forme au-travers d'un agenda commun des collectifs "Gilets Jaunes" parisiens, vous pouvez découvrir l'envers du décor. L'enjeu : que mon nom disparaisse de toutes les façons possibles, que je sois invisibilisé (au profit de QUI ?) même lorsque, objectivement, il ne se trouve aucun autre "déclarant" disponible au sein du collectif VIGIMEDIAS pour se coltiner une procédure administrative plutôt fastidieuse et sans aucun objet avec la communication publique du dit événement. Proposition avait été faite en réunion aux animateurs des autres collectifs concernés de se joindre à la déclaration de telle façon à "minimiser" ma visibilité si ennuyeuse pour quelques crétins. Mais personne ne souhaita s'ajouter à la déclaration administrative. Donc, j'assume de le faire en mon seul nom afin de garantir que notre prochain rassemblement devant les médias puisse se dérouler sans difficulté.
mardi 31 octobre 2023
Grande haine et petites perfidies
Ainsi, pour en revenir au message reçu concernant une coordination militante qui tente de prendre forme au-travers d'un agenda commun des collectifs "Gilets Jaunes" parisiens, vous pouvez découvrir l'envers du décor. L'enjeu : que mon nom disparaisse de toutes les façons possibles, que je sois invisibilisé (au profit de QUI ?) même lorsque, objectivement, il ne se trouve aucun autre "déclarant" disponible au sein du collectif VIGIMEDIAS pour se coltiner une procédure administrative plutôt fastidieuse et sans aucun objet avec la communication publique du dit événement. Proposition avait été faite en réunion aux animateurs des autres collectifs concernés de se joindre à la déclaration de telle façon à "minimiser" ma visibilité si ennuyeuse pour quelques crétins. Mais personne ne souhaita s'ajouter à la déclaration administrative. Donc, j'assume de le faire en mon seul nom afin de garantir que notre prochain rassemblement devant les médias puisse se dérouler sans difficulté.
dimanche 10 septembre 2023
La bataille judiciaire des Décrocheurs est en cours grâce à Frédéric Matthieu
Bonjour à tous,
dimanche 18 juin 2023
Accord de cessez-le-feu en Ukraine en 16 points
Dans cet exercice, les Français (dont je me réserve la sélection des négociateurs souhaitant m'assister), défendent à la fois nos intérêts nationaux mais aussi et surtout la logique d'amener les deux principaux belligérants à une ébauche de plan de paix qui soit, du point de vue de chacun, honorable. Aucun des belligérants n'en sera satisfait (tout comme de nombreux Français), mais l'objectif étant de partir d'une proposition que l'on puisse modifier à l'envie, à savoir : abroger, modifier ou ajouter des articles. Il y a naturellement des considérations pratiques et humanitaires dans ce plan (celles sur lesquelles il n'y aura normalement pas trop de difficultés à concilier chacune des parties) et certains points clés, notamment les articles 6, 9 et 15 du présent accord, qui portent sur les revendications politiques les plus essentielles des Russes et Ukrainiens : La Russie exige que l'OTAN cesse de lui "braquer un flingue sur la tempe" à ses frontières ; l'Ukraine veut récupérer ses territoires perdus. Sachant les sacrifices consentis par l'une et l'autre partie, à priori, la Russie ne sera pas encline à rétrocéder des territoires et villes désormais sous son contrôle. De son côté, M. Zelenski joue presque littéralement sa vie (pas seulement sur le plan politique) dans l'objectif de reconquérir les territoires perdus. Lorsqu'il avait été élu, il avait promis de régler pacifiquement le conflit déjà pré-existant dans le Donbass. Or, c'est bien sous son mandat que les événements se sont aggravés. Par ailleurs, la Garde Nationale ukrainienne est littéralement devenue le bastion des bandéristes qui n'auront aucun problème à évincer M. Zelenski s'il devait adopter une attitude trop conciliante avec la Russie. Rappelons qu'à la suite des événements d'Euromaïdan, un climat de défiance s'est installé à l'encontre des nationalistes ukrainiens de l'ouest du pays qui se sont emparés du pouvoir avec le plein soutien des Etats-Unis d'Amérique, en 2014. Le Donbass a souffert durant 8 années des exactions de milices bandéristes en plus des bombardements de l'armée ukrainienne dans l'indifférence générale. Le massacre de la maison des syndicats d'Odessa du 2 mai 2014 a d'ailleurs été l'un des tournants de cette radicalisation, pas seulement dans le Donbass, mais aussi dans tout l'espace russophone du pays et notamment ce que les Russes appellent eux-mêmes "la Novorossiya". L'est et l'ouest du pays, sociologiquement, culturellement et jusque dans la langue maternelle des populations, ont toujours eu des empreintes électorales antagonistes. Les populations culturellement et historiquement russes en Ukraine, ne peuvent supporter que des néo-nazis contre lesquels leurs aïeux ont lutté, aient la main mise sur leur pays et se permettent de remettre en cause l'apprentissage de leur langue natale à l'école, son usage commun dans les institutions du pays en plus de mener des raids punitifs contre les autonomistes qui marquent leur scission avec une telle Ukraine.
Rappelons que M. Ihor Kolomoïsky, célèbre oligarque ukraino-israélo-chypriote a financé et équipé les bataillons néonazis de Pravy Sektor qui venaient liquider froidement des centaines d'Ukrainiens du Donbass. M. Bernard Henri Levy ne remarqua jamais les drapeaux rouges et noirs des néonazis ukrainiens autour de lui sur la place Maïdan, pas plus que les commentateurs et experts de plateaux de télévision français, n'y font attention sur certaines images que certains soldats ukrainiens partagent sur Télégram. De même que la presse ukrainienne relate ouvertement les faits d'armes ou les pertes de bataillons issus de ces groupuscules néo-nazis, comme celui de Svoboda (toujours dans la Garde Nationale comme celui d'Azov) ou encore le 7ème bataillon de volontaires se faisant appeler "Arey" qui s'est illustré récemment dans la contre-offensive ukrainienne, près du village de Neskuchne dans la région de Zaporijia
Reprise de Neskuchne par les bandéristes du bataillon Arey |
Les termes de l’accord ici présentés, ont été négociés par des citoyens russes, ukrainiens et français, en première instance. Tous les négociateurs déclarent ne disposer d’aucun pouvoir officiel à revendiquer, n’être sous l’influence ou mandatés par aucun de leur gouvernement respectif, et n’agir que dans le seul soucis de rétablir la paix entre les deux États en conflit et assurer plus largement la sécurité en Europe, en tenant compte du contexte géopolitique général et des revendications portées par chacune des parties.
Les discussions se seront déroulées loyalement, dans le respect et sans volonté d’humiliation de l’un ou l’autre des États belligérants, avec la recherche permanente du compromis politique acceptable permettant de dresser les grandes lignes d’un ultérieur traité de paix, cela en laissant le soin aux États concernés, de régler directement les détails qu’il nous semblait inutiles de préempter à ce stade.
Cet accord, une fois conclu, sera présenté aux médias et instances officielles de chacun des pays concernés, afin d’en faire sa promotion, et aider nos dirigeants politiques respectifs à faire preuve de responsabilité en faveur de la paix.
Article premier
La République Fédérale de Russie, la République d’Ukraine, la République de Louansk, la République de Donetsk ; sous l’égide de la République française et de tous les États souhaitant se porter garants de la paix, de la sécurité des personnes et de la stabilité du continent européen, ici résolus à agir dans l’intérêt de chacune des parties, acceptent les termes de l’accord définis dans les articles suivants.
Article 2
Les États ukrainien, russe ainsi que les républiques de Louansk et Donetsk conviennent d’un cessez-le-feu immédiat pour une période indéfinie.
Article 3
Une bande de territoire de 5 km de chaque côté de la ligne de front est démilitarisée en hommes et matériels. Seuls des soldats et civils désarmés, assistés d’observateurs et opérateurs internationaux garantissant leur stricte neutralité, participant à l’évacuation des corps, au déminage et à la dépollution du site, peuvent y circuler.
Les États ukrainien et russe garantissent le libre accès à tous les secouristes, démineurs, observateurs internationaux, et permettent aux populations civiles demeurant sur la ligne de front d’accéder à cette bande de terre.
Article 4
Les États parties, conviennent de libérer tous les prisonniers de guerre, qu’ils soient des combattants réguliers ou non, agents de renseignement ou saboteurs ayant contribué à soutenir l’effort de guerre de chacun des belligérants.
Sauf s’agissant des crimes de guerre avérés commis par des combattants de l’une ou l’autre des parties exigeant une réponse pénale individualisée, toutes les charges retenues contre des soldats et agents russes ou ukrainiens ayant contribué à l’effort de guerre, sont abandonnées.
Article 5
L’accord ici, sans préjuger de négociations ultérieures sur ce point, ne porte pas sur le statut de la Crimée.
Article 6
Les régions ukrainiennes, hors Crimée, actuellement sous le contrôle de l’État russe restent sous son administration pour une période d’au moins 20 années et ne pouvant excéder 50 années.
L’État russe, à l’issue de cette période restant à définir, s’engage à restituer les territoires concernés à l’État ukrainien dès lors qu’un Pacte de sécurité européen et russo-ukrainien aura été ratifié par les parlements nationaux concernés afin de tarir tout prétexte futur au renouvellement de ce conflit.
Article 7
L’État russe s’engage à sécuriser, dépolluer et œuvrer directement à la reconstruction de l’ensemble des dommages de guerre sur les régions qu’il occupe.
L’État ukrainien, prend à sa charge la sécurisation, la dépollution et la reconstruction des dommages de guerre sur les territoires étant encore sous sa propre administration.
Article 8
L’État russe s’engage à rembourser financièrement ou en nature les frais de reconstruction étant à la charge de l’État ukrainien sur son propre territoire. Aucune compensation supplémentaire autre que les frais de reconstruction et d'indemnisation des victimes de guerre n’est réclamée par l’État ukrainien.
La durée et la périodicité des versements relatifs aux réparations de guerre dus à l’État ukrainien, sont définis dans un accord financier entre les deux parties.
Article 9
L’État ukrainien reconnaît, par sa position géographique et le contexte géopolitique à l’origine du conflit, que son absolue neutralité est nécessaire pour asseoir sa position de puissance assurant un pont culturel, commercial et politique entre les Etats-membres de l’OTAN et la Russie tout en garantissant sa propre sécurité et celle de l’Europe.
L’Ukraine renonce par conséquent à toute velléité d’intégrer l’Union européenne et l’OTAN afin de garantir cette neutralité effective.
La Russie et les Etats-membres de l’OTAN garantissent à l’État ukrainien des accords privilégiés assurant sa sécurité, son développement économique ainsi que la reconnaissance de son statut d’État-pivot pour la sécurité européenne.
Article 10
L’État ukrainien s’engage à garantir aux minorités russophones, hongroises, tatares ou polonaises, l’enseignement, la préservation et le respect des langues parlées par les populations de son propre territoire.
Toutes les lois et politiques discriminant les citoyens ukrainiens ou portant atteinte au pluralisme des opinions politiques sont abrogées.
Article 11
L’État russe garantit aux populations d’identité et de langue ukrainienne résidant sur les territoires étant sous son administration, les mêmes droits que pour les populations russophones, que ce soit en matière d’enseignement de la langue ukrainienne, de sécurité et de stricte égalité civique face à la loi.
Article 12
Les États russes et ukrainiens, assurent la libre circulation des populations de chaque côté de la ligne de front afin de ne pas nuire aux liens familiaux, sociaux et économiques préexistants avant le début du conflit.
Article 13
L’État ukrainien garantit l’accès aux ressources hydriques permettant l’approvisionnement en eau douce des populations et desservant les infrastructures industrielles et énergétiques situées sur les territoires administrés par la Russie.
La Russie garantit l’accès au réseau électrique étant sous son contrôle et établit des accords privilégiés concernant l’approvisionnement en hydrocarbures et en gaz naturel avec l’Ukraine
Article 14
La Russie garantit le libre accès aux ports étant sous son administration, aux marchandises et matières premières ukrainiennes dédiées à l’exportation.
Article 15
La France, résolue à faire admettre à la communauté européenne l’importance d’une politique de sécurité mutuelle propre à notre continent, poursuit tous ses efforts diplomatiques afin que l’ensemble des Etats-membres du Conseil de l’Europe ainsi que la Russie et la Biélorussie, contractent un traité de sécurité mutuelle comportant des garanties excluant toute présence de troupes et matériels en provenance des Etats-Unis d’Amérique sur le territoire européen ainsi que le rétablissement complet des échanges économiques et financiers entre l’Ouest de l’Europe, la Russie et la Biélorussie.
L’État ukrainien, conscient que l’établissement d’un tel accord de sécurité mutuelle, à dimension européenne, ne peut que faciliter l’aboutissement d’un traité de paix avec la Russie lui permettant de recouvrer son intégrité territoriale selon les termes de l’article 6 du présent accord, assiste dans leurs efforts diplomatiques la France et tous les Etats européens soucieux d’établir une paix durable sur le continent afin d’aboutir à cette solution.
Article 16
Toutes les parties signataires de cet accord, préalable à un cessez-le-feu, s’engagent à ne jamais compromettre la paix par des manœuvres et attitudes hostiles à l’un des Etats engagés dans l’accord ci-présent.
vendredi 9 juin 2023
La page blanche
jeudi 8 juin 2023
Le procès de l'Union européenne approche !
mardi 6 juin 2023
Puisque personne ne parle d’un plan de paix…