Ils sont moins d'une
centaine à détenir les plus puissantes holdings du Monde. Cela à
travers des part et plus encore des places dans les conseils
d'administration de chacune de ces holdings, elles-même détenant
d'autres parts et sièges dans les conseils d'administration dans
d'autres holdings. Ce sont les vrais décideurs. Ils sont immensément
riches, ils possèdent plus de la moitié des capitaux circulant sur
Terre.
Les êtres humains sont
sous leur tutelle, et pour éviter qu'ils se révoltent, ils veillent
à ce que les pays qui sont sous leur coupe (notamment en occident)
aient les apparences de la Démocratie. Ils possèdent les plus
grands médias et décident des entités politiques qui peuvent être
exposées à la population ou non. Ils veillent à ce que les entités
qui leur soient plus défavorables soient purement et simplement
censurées. Au mieux on les diabolisera. C'est bien simple, toute
entité politique qui se veut régulatrice et globalement attachée à
la liberté des peuples à disposer d'eux mêmes, n'ont pas le droit
de cité.
Ils ont par le passé
influencé les guerres les plus atroces tout comme aujourd'hui. Ils
se sont rendus responsables de toutes les crises financières, et
plus grave encore, d'une crise sociale et écologique qui ne cesse
d'être entretenue depuis des décennies. Ils ont le pouvoir et la
richesse, de puissants groupes de lobbying pour influencer les lois,
mais ils restent insatiables. Le fait de tout avoir et de ne jamais
être rassasiés de tout ce pouvoir et cet argent confine à la
folie.
Les maîtres de ce Monde
sont réellement fous. Fous à enfermer. Ils n'ont aucune empathie et
sont totalement déconnectés de l'immense majorité des populations
des pays où ils sévissent. Les morts violentes sous leurs bombes,
la famine, les maladies qu'ils entretiennent ne génèrent
strictement aucune compassion de leur part. Bien au contraire, cela
fait marcher leurs business. Cela permet de rehausser le cours des
actions des holdings qu'ils administrent. Cela leur arrache des
sinistres sourires de satisfaction. Pour donner le change, ils se
feront mécènes d'associations ou fondations qu'ils auront eux-mêmes
créé pour « lutter » contre les causes de leurs
méfaits. Ces fondations prêchant par exemple la défense de la
Démocratie seront bien souvent des outils pour fomenter des guerres
civiles. Le cynisme chez ces fous est incommensurable.
Les peuples,
soigneusement abrutis de propagande médiatique et d'une instruction
scolaire et universitaire validant pour acquis les briques du système
qu'ils ont construit, sont totalement apathiques. Pour peu qu'un
individu que la conscience du problème de fond rend exalté et plein
d'espoir à l'idée de changer le Monde, il rencontrera l'hostilité
de ses concitoyens qui le verront comme un ennemi qui ose déranger
leur tranquillité. La reprise du pouvoir par l'insurrection est
présentée comme une idée aussi utopique que dangereuse. Les
peuples se dépolitisent, cherchent le réconfort dans les artifices
des drogues, des télévisions abrutissantes, dans l'achat compulsif
de vêtements fabriqués par des esclaves en Asie ou encore dans les
spectacles sportifs. La réflexion politique, économique, sociale et
démocratique est considérée comme profondément ennuyeuse. Elle
n'enthousiasme pas. Ne nourrit aucune volonté de changement, quand
bien même ils arrive que les idées des dissidents au « Système »
puissent être considérées comme intelligentes par les zombies qui
tolèrent encore de les écouter. Mais c'est bien la seule limite
qu'ils donnent à leur intérêt pour la politique. Contribuer à une
Révolution pour y parvenir est un concept insaisissable pour eux.
Ces derniers iront sagement voter à l'abattoir si toutefois ils
votent encore.
Les dissidents
minoritaires jouent quant à eux les funambules avec leur esprit.
Sous leur fil, un abîme de frustration prêt à les engloutir
jusqu'à ce qu'ils finissent leur chute dans un océan de folie. Au
mieux, ils pourraient se rattraper sur une corniche de désillusion
et y rester le reste de leur vie durant. L'équilibre fragile leur
faisant progresser pas à pas sur le fil qui court vers un horizon
qui sans cesse s'éloigne, tient en trois mots : conscience,
colère et espoir.
En France, ils sont
quelques milliers et sont la seule armée du Peuple. Une armée
surveillée de très près par des services plus officiels et aux
ordres des employés des fous que les médias ont érigé en
dirigeants politiques. Cette armée ne dispose d'aucun fusil, aucun
canon. Elle marche de façon désordonnée vers son ennemi qui lui
impose sa violence médiatique et physique lorsqu'il devient
nécessaire d'utiliser les compagnies républicaines de sécurité ou
des des milices politiques pour entraver sa progression.
Cette armée toute en
guenille n'a aucun mécène pour financer sa seule arme : la
presse alternative. Car cette armée voudrait grossir ses rangs en
éveillant les consciences des zombies pour les sortir de leur
apathie. Elle n'y parvient qu'au goutte à goutte lorsque les fous
contre-attaquent par des campagnes d'abrutissement toujours plus
élevées. On supprime l'histoire des Nations dans les programmes
scolaires et on en invente une totalement nouvelle qui soit plus
accommodante. Tout sentiment d'appartenance à une communauté
nationale est un danger très sérieux pour les fous. L'Histoire doit
à ce titre être manipulée, voir censurée. Car elle contient dans
son écrin, le joyaux le plus précieux des Nations : son
identité. L'identité nationale construit le désir d'unicité
populaire. La volonté d'un avenir commun qui ne soit pas sous le
joug des fous.
Dans cette lente
destruction du principe de nationalité, les fous ne se contentent
pas seulement de l'histoire. Il est nécessaire de construire de
nouveaux mythes pour remplacer les anciens. Il faut les ériger en
religion avec l'aide des médias et des politiciens. En Europe, les
fous construisent ainsi tambour battant le mythe de l'Union
Européenne à grands renforts de drapeaux sur les façades des
bâtiments publics et même des écoles de nos pays. Le nom de la
devise que se doivent de partager tant de peuples différents,
contribue à placer un peu d'Union Européenne dans chaque poche des
zombies dont le compte en banque n'est pas vide de ses chiffres
au-delà du dix de chaque mois. L'euro est ainsi le plus formidable
outil de propagande politique des fous. Un outil d'asservissement des
peuples à leur cause et tout est bon pour le faire survivre. A
commencer par l'appauvrissement toujours plus brutal des peuples pour
faire survivre une monnaie qui structurellement, ne pouvait profiter
qu'aux classes les plus aisées, mais certainement pas à l'écrasante
majorité des petites gens.
Les fous ont aussi leur
propre langue, et cela nous donne un indice sur les origines de leur
secte. Ils ne parlent qu'en anglais et imposent peu à peu cette
langue dans tout le système économique et universitaire de chaque
Nation. Lorsque même les langues des Nations sont attaquées, ce
sont les derniers remparts des identités nationales que les fous
cherchent à effriter. Mais ce sont des remparts excessivement
solides et c'est bien ce qui doit donner de l'espoir aux dissidents,
en plus de leur connaissance de l'histoire de leur propre pays. Car
les fous ont parfois perdu des batailles dans l'histoire. Il ne faut
surtout pas croire que les quelques centaines de chiens de garde
politiques et médiatiques des fous ne puissent pas être enfermés
dans des cages pour qu'ils aboient loin des préoccupations
populaires. Ils ne représentent rien face à des millions de gens,
et l'armée du peuple doit absolument maintenir sa conscience élevée
à ce sujet.
L'armée du peuple doit
cependant envisager sans tabou qu'un jour, si les fous devaient
lancer une trop grande offensive pour abolir définitivement les
Nations, qu'il faudra bien abandonner le terrain de la transmission
d'un peu de leur conscience à un peuple apathique, pour se diriger
directement vers le front avec leur sueur et leur sang pour rendre
aux peuples la maîtrise de leur destinée. La première ligne de
front étant les médias, c'est cette dernière qu'il faudra briser
physiquement. Les chiens de gardes politiques enverront sans nul
doute leurs milices officielles pour tuer nos soldats qui auront pris
d'assaut ces médias, tenir sous séquestre les pseudo-journalistes
afin de diffuser massivement les informations qu'ils possèdent.
C'est donc au prix du sang qu'il faudra envisager la possibilité
d'un éveil populaire réellement puissant. Mais chaque jour, nos
soldats funambules voient le front se rapprocher à mesure que
l'horizon de l'indépendance des Nations s'éloigne. Il est désormais
essentiel que la question se pose, c'est une question de vie ou de
mort pour les peuples que nous cherchons à protéger...
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