Monsieur le Secrétaire
général,
Mesdames et Messieurs
les Ministres,
Mesdames et Messieurs
les Ambassadeurs,
La France vient
aujourd'hui même d'informer les autorités Palestiniennes de sa
proposition d'accorder sa protection militaire et humanitaire à
l'ensemble de la population de la Bande de Gaza, jusqu'à ce que les
frontières de l’État de Palestine et d'Israël soient clairement
sanctuarisées. Proposition qui a été acceptée pour une durée
limitée de trois mois, et dont le maintien sera soumis à référendum
aux habitants de la Bande de Gaza. Les limites et exclusions de
cette protection militaire seront négociées avec les autorités
Palestiniennes.
Dans le même temps, nous avons informé les autorités Israéliennes que si d'ici le 19 mai 2016 à minuit, nous n'obtenions pas des accords clairs sur les propositions qui vont être édictées ici, la France n'hésitera pas à déployer ses navires et aéronefs pour secourir les enfants de Gaza. La France considérera alors toute action hostile contre ses soldats et matériels, ainsi que sur les populations de la bande de Gaza, comme une déclaration de guerre de la part d'Israël avec toutes les conséquences que cela implique.
Voici les huit
conditions de paix que la France a adressé aux autorités
Israéliennes :
- Fin immédiate et définitive de tous les bombardements et intrusions terrestres, maritimes et aériennes des forces armées Israéliennes sur la Bande de Gaza.
- Reconnaissance du traité négocié entre les Autorités Palestiniennes et les diplomates Français, portant sur les régimes de protection garantis par la France aux personnes résidant dans la Bande de Gaza.
- Le respect absolu du non usage de la force entre les différentes parties impliquées dans le processus en cours.
- Qu'aucune entrave ne soit faite au pont maritime et aérien permettant à la France de débarquer hommes, matériels et produits de première nécessité aux habitants de Gaza.
- L'arrêt de toutes entreprises de colonisation israélienne des terres ou bâtiments exploités par des Palestiniens.
- La fin immédiate de l'occupation du plateau du Golan.
- Le démarrage d'un cycle de discussion permettant de déboucher soit sur la création de deux États aux frontières pérennes, permettant de relier la Cis-Jordannie à la Bande de Gaza ; soit la création d'un grand État Palestinien laïc et pluri-confessionnel, dont la Constitution future permettra à tout habitant de l'actuel État d'Israël ainsi que les actuels habitants de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie, de pouvoir prétendre à des fonctions politiques ou économiques sans discrimination basées sur des critères ethniques, religieux ou politiques dans l'ensemble de cet Etat de Palestine réunifiée.
- Ce cycle de discussion devra prévoir la possibilité de faire de Jérusalem, une ville-Etat indépendante, libre, multiconfessionnelle, et dégagée de tout régime de sujétion à l'égard des deux ou seul grand État(s) à créer.
Comme vous le savez,
après des années de mise sous tutelle de l'Union européenne et de
l'OTAN, le peuple Français a fait saisine de son légitime droit de
résistance à l'oppression, et a collectivement destitué le précédent président de la République et de nombreux autres traîtres à la patrie qui siégeaient
au gouvernement et dans d'autres institutions de la République
française.
Il n'est plus tolérable pour le peuple français de voir circuler sur internet des photos d'enfants horriblement mutilés par les armes de guerre du régime ultra-sioniste actuellement au pouvoir en Israël. La France considère que le gouvernement d'Israël est clairement déterminé à éclabousser le Moyen-Orient du sang des innocents pour servir son idéologie typiquement impérialiste. Par ailleurs, la France considère que le soutien infaillible qu'Israël reçoit de la part des Etats-Unis d'Amérique, ainsi que le silence complice de trop nombreux pays européens sur la tragédie vécue par le peuple Palestinien, met en péril toute possibilité de paix et de progrès social et démocratique dans l'ensemble de la péninsule Arabique.
Aujourd'hui, j'ai la douloureuse mission d'engager la France dans une confrontation tout à fait délicate avec un pays disposant de l'arme nucléaire, au seul motif de vouloir sauver des vies non françaises à Gaza.
J'invite l'ensemble de la communauté internationale à nous faire part de son soutien avant l'expiration de l'ultimatum, car il est plus que probable qu'un gouvernement aux méthodes barbares ne comprenne pas immédiatement le grave discrédit dont il souffre et les contraintes militaires que cela suppose, au moment où la sixième puissance militaire mondiale se déplace jusqu'à ses frontières terrestres et maritimes avec le soutien militaire ou diplomatique de la majorité des pays faisant parti du mouvement des non alignés.
Mesdames et messieurs, permettez moi d'en venir maintenant aux orientations diplomatiques plus générales de la France à l'égard du reste du monde pour bien comprendre sur la base de quelles valeurs, notre nation se mobilise aujourd'hui pour défendre la cause palestinienne.
Dans le
cadre du mandat impératif confié par référendum au gouvernement provisoire
de la France, mes collègues et moi-même, sommes missionnés pour rétablir l'indépendance de la France et sa voix dans le concert des nations. Ce qui signifie
pour commencer notre sortie unilatérale de l'OTAN et de l'Union
européenne, ainsi que notre rupture avec des institutions telles que
le FMI et l'OMC. La France ne s'interdit pas à ce stade de se
retirer d'autres institutions internationales qui ne se réformeraient
pas profondément, tout comme elle s'autorise à rejoindre des coopérations internationales qui lui paraîtraient plus
désintéressées, efficientes et respectueuses de l'auto-détermination des
peuples.
Nos relations avec le
Moyen-Orient vont aussi très fortement changer puisque nous mettons
fin à la reconnaissance du Conseil National Syrien, que la France
considère comme une entité illégitime pour mener des discussions
inter-États, et gérer au mieux les intérêts du peuple Syrien.
Par ailleurs, sans que la France puisse offrir à ce jour des réparations aux peuples concernés, nous tenons à faire part de notre immense désolation de n'avoir pu empêcher des
traîtres au sein de nos propres institutions, encourager la
déstabilisation de la Côte d'Ivoire, de la Libye, de la Syrie et de
l'Ukraine, cela dans le but de servir des intérêts autres que les nôtres.
Aujourd'hui même, les responsables Français ayant permis que le sang et les larmes coulent dans chacun de ces pays, sont traqués et remis à la Justice
avec la ferme intention que leurs crimes ne restent pas impunis.
La France, tient aussi à
rappeler au peuple américain, que la situation géopolitique
mondiale autant que son propre déclin social et démocratique, provient
uniquement de l'asservissement qu'il consent lui-même à ses propres
élites politiques, financières et militaires. Un trop grand nombre de représentants politiques américains, œuvrent à
déstabiliser le Monde, et à abolir depuis plus de trente ans les
régulations économiques et garde-fous démocratiques existants aux
États-Unis d'Amérique. Il appartient donc au peuple américain de
prendre sa destinée en main, et de ne plus laisser ses citoyens les
plus dangereux pour le Monde, de continuer à sévir au sein de ses
propres institutions politiques, industrielles, militaires et
financières.
La France continuera de
maintenir des discussions diplomatiques et commerciales avec les
émissaires des États-Unis d'Amérique, mais se rapprochera très
clairement des intellectuels et femmes et hommes d’État
américains, qui sembleront proposer avec le plus de convictions, un
renouveau démocratique et social pour les Etats-Unis, et une
volonté d'apaisement, de respect du principe d'auto-détermination
des peuples et de non ingérence s'agissant de leurs considérations
internationales.
Il est temps que le Monde puisse parler à des représentants institutionnels américains, qui sachent se montrer humbles s'agissant de la minuscule place qu'occupe leur pays dans l'Histoire des civilisations. On ne peut avec moins de 300 années d'existence sur fond de génocide culturel et humain des premières nations américaines, se montrer arrogant avec des civilisations parfois multi-millénaires dans les relations internationales.
Quand la France s'adresse à l'Iran, elle sait qu'elle s'entretient avec la vielle civilisation perse et qu'elle lui doit respect et humilité. De même que lorsqu'elle s'adresse au vieux Royaume d'Angleterre, elle n'oublie pas qu'elle parle certes à une vielle rivale, mais aussi au pays de Thomas Hobbes et John Locke. Lorsque la France parle à la Russie, elle se rappelle avec émotion qu'en 1905, on chantait la Marseillaise dans les rues de Sébastopol. Lorsque la France s'adresse à la Chine et au Japon, elle sait qu'elle parle à de très anciens Empires, et s'abstient de toute arrogance pour au contraire témoigner de son respect quant aux raffinements culturels et politiques de leurs peuples respectifs. En vérité, qu'importe les Nations avec qui la France continuera de discuter de projets à mettre en œuvre pour faire reculer la pauvreté, les déprédations écologiques, et les ingérences militaires et financières dans les affaires des peuples ; il sera toujours demandé à nos diplomates de traiter avec respect et bienveillance nos partenaires internationaux. Nous n'en attendons pas moins à notre égard de nos partenaires, car il en ira des progrès à obtenir dans chaque dossier où la France sera impliquée.
Nos prédécesseurs ont semble-t-il oublié le respect qui est dû à toutes les nations. Salissant l'honneur et l'indépendance de la France, ils n'hésitaient pas à commettre les plus viles et meurtrières ingérences au nom des droits de l'homme. De même qu'ils se refusaient à dialoguer avec respect, voire dialoguer tout court, avec des pays soumis à certaines critiques internationales quant à leurs considérations très particulières des droits civils et politiques dus à leur propre peuple. Pourtant, il y a un proverbe très populaire en France qui invite chacun à "balayer devant sa porte avant de s'occuper de celle des autres". Et s'il est très commun d'entendre un Français de la rue user de cette maxime, il se trouvait à l'inverse toujours un politicien ou un journaliste français pour donner des leçons de démocratie et de paix au monde entier, sans même constater que nous étions nous-mêmes sous le joug d'une tyrannie. Aussi, ces dérives n'auront plus court sous mon mandat, en tout cas s'agissant de notre corps diplomatique. Le temps des petites et grandes hypocrisies est révolu. J'ajoute que la France, bien qu'elle tienne à redevenir un phare pour le monde s'agissant de la promotion de la démocratie et du progrès social, ne se cachera plus sous de fallacieux prétextes idéologiques pour accorder les égards qui sont dus à l'ensemble des nations. Les relations internationales resteront à jamais des rapport de force où chacun défend en premier lieu ses intérêts. Mais ce n'est certainement pas en donnant des leçons de respect des droits fondamentaux, que l'on fait avancer ces derniers partout dans le monde.
Nos prédécesseurs ont semble-t-il oublié le respect qui est dû à toutes les nations. Salissant l'honneur et l'indépendance de la France, ils n'hésitaient pas à commettre les plus viles et meurtrières ingérences au nom des droits de l'homme. De même qu'ils se refusaient à dialoguer avec respect, voire dialoguer tout court, avec des pays soumis à certaines critiques internationales quant à leurs considérations très particulières des droits civils et politiques dus à leur propre peuple. Pourtant, il y a un proverbe très populaire en France qui invite chacun à "balayer devant sa porte avant de s'occuper de celle des autres". Et s'il est très commun d'entendre un Français de la rue user de cette maxime, il se trouvait à l'inverse toujours un politicien ou un journaliste français pour donner des leçons de démocratie et de paix au monde entier, sans même constater que nous étions nous-mêmes sous le joug d'une tyrannie. Aussi, ces dérives n'auront plus court sous mon mandat, en tout cas s'agissant de notre corps diplomatique. Le temps des petites et grandes hypocrisies est révolu. J'ajoute que la France, bien qu'elle tienne à redevenir un phare pour le monde s'agissant de la promotion de la démocratie et du progrès social, ne se cachera plus sous de fallacieux prétextes idéologiques pour accorder les égards qui sont dus à l'ensemble des nations. Les relations internationales resteront à jamais des rapport de force où chacun défend en premier lieu ses intérêts. Mais ce n'est certainement pas en donnant des leçons de respect des droits fondamentaux, que l'on fait avancer ces derniers partout dans le monde.
A ce titre, la France souhaite établir un dialogue avec la Corée du Nord, non par ce qu'elle accorderait aux autorités politiques de ce pays un crédit quelconque dans leur propension à répandre la démocratie, mais parce que refuser tout dialogue, c'est en soi ne laisser aucune chance de faire progresser ces débats dans les instances décisionnaires de ce pays. De plus, nous considérons qu'il n'appartient qu'aux peuples de décider de leur propre sort. Un certain Etienne de la Boétie l'expliquait déjà au XVIème siècle de notre ère. Le droit de résistance à l'oppression n'est pas qu'une vue de l'esprit en France, c'est un droit constitutionnel qui se prend de fait, quand un peuple las de sa servitude, souhaite renverser son establishment politique ou repousser le despote ayant envahi par la force son territoire. J'espère que les événements récents dans mon pays et ma présence ici, à la tribune de l'Assemblée Générale des Nations-Unies, témoigneront de la réalité pragmatique de ce point de droit qui devrait d'ailleurs être garanti dans le Pacte International relatif aux droits civils et politiques de l'ONU. Les peuples disposent d'eux mêmes et par voie de conséquence, sont donc responsables de leur propre droit à l'insurrection, ainsi que les limites et exclusions qu'elles supposent en fonction de l'intensité de l'oppression subie. Mais les peuples sont aussi responsables de leur inaction ! Or, dans les relations internationales, la question de la légitimité politique d'un chef d'Etat tient à son autorité de fait sur les institutions de son pays, qu'importe si cette autorité découle d'un mode d'investiture restant étranger à nos considérations sur la démocratie. Si les forces Armées d'un pays répondent de cette autorité, c'est que celle-ci est la seule avec laquelle nous puissions discuter pour formaliser un traité, une convention ou un contrat commercial important.
A ce titre, la France considère que l'absence ou la limitation des échanges diplomatiques avec des autorités politiques d'un pays, qu'elles que soient leur part de légitimité démocratique au regard du droit international en vigueur, n'est pas de nature à favoriser les concessions et initiatives pouvant permettre de faire progresser la démocratie ainsi que de paix dans le Monde. La France proclame ainsi que la sagesse et le courage des peuples sont l'unique source pacifique de leurs propres changements politiques intérieurs ; et que tant qu'il y aura des tyrannies maintenues par le consentements des peuples eux-mêmes, la sagesse internationale consistera à obtenir des avancées d'un État mis à l'index des nations, par le dialogue maintenu constant et non un silence criminel eu égard aux nécessités alimentaires, sanitaires et sociales qui ne peuvent souffrir d'un immobilisme fondé sur un aléas moral.
La France, pour ceux qui en douteraient encore, ne compte pas remplacer une oligarchie de traîtres et de mafieux ayant sévi dans ses propres institutions, par une tyrannie nouvelle qui se rétracterait dans le repli nationaliste exacerbé. Le mandat de notre gouvernement n'est que de six mois, et nous avons déjà introduit de nombreuses modifications constitutionnelles telles que le principe de révocabilité des élus au moyen du Référendum d'Initiative Populaire. L'ensemble des assainissements produits dans nos institutions et dans notre constitution, font que la France ne se sera jamais plus ouverte sur le monde qu'à partir d'aujourd'hui. Elle ne laissera cependant plus des puissances étrangères s'ingérer dans ses affaires intérieures, afin que les gages de neutralité, d'indépendance et de souveraineté de notre nation, soit considérés comme des limites intangibles dans les négociations de tout traité ou accord international dans lesquels nous serions impliqués.
Si ce n'est le choix assumé de la France de bousculer les équilibres géopolitiques du Moyen-Orient en prenant fait et cause pour les souffrances subies par les habitants de Gaza, et de contribuer de toute sa puissance militaire, diplomatique et économique pour y mettre un terme, cela avec l'accord des autorités Palestiniennes ; la France s'interdira désormais par voie constitutionnelle et pénale, l'utilisation de ses forces armées contre toute nation n'ayant jamais agressé directement ou indirectement notre propre nation.
L'usage de nos forces armées se fera désormais uniquement dans le cadre de corridors humanitaires à garantir pour des réfugiés, de notre assistance pour répondre de calamités naturelles ou alimentaires partout dans le monde, et bien entendu, dans la défense de l'intégrité territoriale de notre pays. Lorsque notre assistance militaire sera réclamée par des peuples en souffrance, cela devra l'être par des représentants de ces populations que l'on pourra estimer sérieux, soutenus, laïcs, démocrates, et enclins aux négociations politiques, plutôt qu'enclins à la barbarie et au despotisme.
Dans tout autres cas, ce sont les discussions tenues par la France avec les représentants légaux de tous les États-Membres de l'ONU qui permettront à nos gouvernements futurs d'équilibrer ou trancher nos points de vue. La France ne consentira à assister de ses forces armées une nation, qu'à la seule condition qu'un mandat international voté par la majorité des États-Membres de l'ONU autorise une intervention militaire pour rétablir le droit à la sûreté des civils, cela avec l'accord des autorités politiques du pays concerné. La France s'interdit désormais constitutionnellement de tirer un bénéfice matériel ou immatériel d'une intervention militaire dans un Etat tiers. Notre nation ne pourra jamais exiger de contreparties, ni imposer des contrats commerciaux à une nation ayant bénéficié de notre assistance militaire. Celle-ci ne peut être fondée que sur de réels enjeux humanitaires lorsque des vies civiles sont directement menacées par des luttes entre armées régulières de différentes nations, ou en soutien à l'armée régulière d'un pays contre des factions terroristes et reconnues comme telles, par la majorité des Etats Membres de l'ONU.
Mesdames, Messieurs, comme vous le voyez, notre peuple s'engage désormais sur une vision totalement nouvelle quant au rôle qu'il doit tenir dans le concert des nations. Nous sommes prêts à beaucoup de sacrifices et nous sommes résolus à les prendre, car il s'agit maintenant de donner une impulsion forte vers le chemin de la paix et de l'amitié entre les peuples.
Le peuple Souverain de France, conscient de la communauté historique et politique qu'il forme, rappelle ici au moyen de ma propre voix, son attachement au respect de l'auto-détermination des peuples. Il a ainsi donné mandat à son Gouvernement provisoire d'entreprendre des négociations avec les pays d'Afrique dont la monnaie est le FRANC C.F.A, d'achever leur réelle décolonisation, cela en rendant aux peuples concernés le droit de battre librement monnaie, d'en décider le cours, la valeur ainsi que le nom. Durant les discussions techniques qui auront lieu à ces fins, il sera proposé des aides de la France très importantes pour bâtir les infrastructures nécessaires aux pays Africains faisant partie de l'espace francophone. Ces infrastructures viseront à dynamiser leurs économies respectives et endiguer la pauvreté ainsi que les vulnérabilités sociales et écologiques qui contraignent leurs populations.
A ce titre, la France compte accorder son plein soutien matériel et financier à des projets comme Transaqua, la Grande Muraille Verte, ainsi que la construction de centrales hydro-électriques, routes, voies ferrées, écoles et hôpitaux, en plus de promouvoir les micro-crédits nécessaires aux personnes souhaitant s'installer en tant qu'exploitants agricoles, artisans ou commerçants dans leurs pays respectifs. Les fonds octroyés par la France proviendront essentiellement des économies produites sur sur notre désengagement financier et politique du FMI, de l'OTAN, l'UE et l'OMC, ainsi que des régimes d'épargne solidaires ouverts à souscription en France
La France appelle dès
aujourd'hui la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil, l'Afrique du Sud
et l'ensemble des pays qui le souhaiteront, à soutenir et s'associer
à notre démarche s'agissant de l'assistance à porter aux
populations de la Bande de Gaza, et convie Israël et les États-Unis
d'Amérique à faire preuve de retenue et même de sage abandon
de leurs velléités proprement impérialistes sur le reste du monde. L'initiative aujourd'hui bilatérale entre l’État de
Palestine et la République Française quant à défendre autant le
droit du peuple Palestinien à disposer de lui-même que le droit à l'auto-détermination de tous les peuples, appelle nécessairement à
beaucoup de courage politique dans chacun de nos pays. Nous espérons le soutien plein et entier de l'écrasante majorité de vos nations dans
les jours qui viennent, afin que de nouveaux équilibres mondiaux en
découlent, cela au profit de la paix et de la démocratie.
Je vous remercie de votre
attention
Marie-France Moulin
Toujours excellent Sylvain.
RépondreSupprimerBon-soutien civique contre ces criminels impunis, Surement des Judas ces RATS !!!;
RépondreSupprimerSont cryogéniement bien propre sur-eux mais sont des rebus de la vrai vie et ignare de ce que vit les Peuples quotidiennement par leurs conneries anti-Nation, Où est l'O.N.U et faisant quoi concrètement pour le bien de la planète à travers nos PAYS ???