dimanche 26 janvier 2020

Tant que les Gilets Jaunes se laisseront troller par les Talibantifas...

Je n'ai cessé de le dénoncer (comme beaucoup d'autres), mais malheureusement, la majorité des GJ ne sait pas quel groupuscule ultra violent et idéologisé, se démène pour pourrir leurs cortèges et rassemblements. Je parle bien entendu de nos chers amis les "Talibantifas", qui préfèrent pour leur part s'autoproclamer "antifascistes", alors qu'ils sont bien évidemment le contraire de ce qu'ils prétendent être. Rappelons que le fascisme est moins une idéologie politique, qu'une façon d'imposer ses opinions en usant de violence, d'intimidations et de calomnies contre son opposition. 

Les prétendus et auto-proclamés "antifascistes" français sont à ce titre bel et bien des fachos, et nous allons illustrer ce point de vue par le témoignage de Léopold Jimmy, journaliste pour le média Ligne de Conduite (LDC news), qui nous fait en outre quelques révélations sur Gaspard Glantz (Taranis News) qui méritent d'être entendues.


Léopold Jimmy, relate ainsi les agressions qu'il a régulièrement subit en couvrant les manifestations des Gilets Jaunes. A plusieurs reprises, une horde ensauvagée de plusieurs dizaines de débiles mentaux (les fameux "antifas") s'en s'ont pris à lui. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que les fachos dont nous parlons, ne craignent pas de tuer puisqu'ils ils usent volontiers de barres de fer et autres armes contondantes pour cogner un homme seul. Parmi les abrutis notoires en question, l'un est bien connu de la Justice, à savoir Antonin Bernanos. Ce fier défenseur des "minorités", n'a cependant aucun problème pour assumer le grand écart intellectuel entre ses convictions affichées et les propos xénophobes dont il use volontiers dans ses accès de violences. Ainsi Jimmy (d'origine asiatique) est qualifié de "chintoke" lorsque Bernanos lui fait part de ses menaces, et nous pouvons entendre le même abruti qualifier de "sales pédés", des Gilets Jaunes qu'il repère comme étant des militants d'extrême droite.

Il est intéressant de relever dans le témoignage de Jimmy, un fait qui est dénoncé par les victimes habituelles des milices de fachos qui viennent pourrir les cortèges des Gilets Jaunes : chaque fois que ces derniers commettent leurs méfaits (violences, dégradations de biens publics et privés, etc), les fonctionnaires de police présents ne reçoivent aucun ordre d'interpellation. Or, les CRS et gendarmes mobiles n'ont pas le droit d'agir de leur propre initiative. Il leur faut nécessairement un ordre de leur hiérarchie. Elle-même dépendante des consignes données par le Préfet (lui-même bon larbin du Ministre de l'Intérieur),  qui ne trouve jamais rien à redire à ces violences tant contre des manifestants pacifiques, que des policiers eux-mêmes. En fait, bien en amont, tout est fait pour faciliter la vie à ces milices d'idiots utiles du gouvernement. Je cite ici le témoignage d'Alexandre Langlois, Secrétaire National du syndicat VIGI, et lui-même fonctionnaire de police travaillant au renseignement territorial :
Alexandre Langlois : "Tout est mis en place pour que les manifestations dégénèrent. Côté renseignement, on constate depuis une dizaine d’années une double évolution, avec des manifestants beaucoup plus pacifiques qu’avant, mais des casseurs toujours plus violents, organisés de manière quasi paramilitaire. Certains de ces groupes sont identifiés avant qu’ils intègrent les manifestations. Mais aucune consigne n’est donnée pour les interpeller en amont.

[...] Prenons l’exemple du 9 avril. En fin de journée, nous savons qu’un groupe de casseurs dangereux vient d’arriver gare du Nord pour aller perturber Nuit debout, à République. Une compagnie de CRS se trouve sur leur passage, prête à intervenir. Mais l’ordre leur est donné par la préfecture de se pousser dans une rue adjacente ! Les collègues leur signalent l’imminence de l’arrivée du groupe de casseurs. Mais ordre leur est confirmé de les laisser gagner place de la République, avec les conséquences que l’on connaît ! Par contre, quand il s’est agi d’aller protéger le domicile privé de Manuel Valls, ce soir-là, cette fois les ordres ont été clairs"
La presse, largement acquise à la cause de ces fachos notoires, se refuse constamment à dénoncer leurs violences et à les qualifier pour ce qu'ils sont : des FACHOS. Bien au contraire, elle reprend sans sourciller le terme "antifasciste" par lequel ils s’autoproclament sans relever les incohérences sémantiques et de comportements qui s'y adjoignent, lorsqu'elle ne prend pas directement parti pour ces cinglés. Ici, quelques titres de presse en hyper lien pour vous en convaincre au sujet d'Antonin Bernanos :


"Figure médiatique de l’antifascisme, Antonin Bernanos plaide pour sortir de prison" (Journal "La Croix du 12 Août 2019)

"Antonin Bernanos, militant antifasciste, remis en liberté sous caution" (Journal "Ouest France" du 25 Octobre 2019)

 "Le militant antifasciste Antonin Bernanos remis en liberté sous caution" (Journal "Le Parisien" du 25 Octobre 2019)

 "Depuis sa cellule, le militant antifasciste Antonin Bernanos se dit victime d’acharnement judiciaire" (Journal "Le Monde" du 8 Octobre 2019)

"Après six mois de détention, le militant antifasciste Antonin Bernanos ne retournera pas en prison" (Journal "Les Inrockuptibles" du 25 Octobre 2019)

 "Antonin Bernanos, le combat d’un détenu placé à «l’isolement médiatique»" (Journal "Libération" du 1er Août 2019)

 Plus étonnante, est la publication issue du site "GJ magazine" titrée de la façon suivante :

"Réaction d’Antonin Bernanos suite à sa libération"

Édité par un certain Viktor Mykolovych, ce site qui parait-il, se veut être un portail de dépêches intéressant au premier chef les Gilets Jaunes, relate le sujet de la libération du facho dont il est question, de la façon suivante :
"Le militant anti-fasciste était incarcéré depuis 6 mois après une plainte d’un membre de l’ultra-droite. Engagé dans le mouvement des gilets jaunes comme ces comparses nationalistes, ce dernier est interdit de manifestations !

Il est connu pour une lettre envoyée de sa prison en soutien aux gj et pour dénoncer la répression policière…"
L'éditeur du site vit à Genève, mais serait d'origine ukrainienne. Il est impossible de trouver de plus amples informations à son sujet. Ce dernier ne semble pas au courant que le pseudo "anti-fasciste" qu'il mentionne, passe le plus clair de son temps à traquer avec ses réels comparses talibantifas, les "nationalistes" qui oseraient vouloir jouir de leur droit de manifester eux-aussi.

Dans une autre publication, Viktor Mykolovych, appelle les Gilets Jaunes à accepter de s'organiser (mais horizontalement, ce qui revient à s'interdire toute organisation réelle), réclamer des financements, et il se réfère pour cela à l'insurrection qui sévit à Hong-Kong pour le plus grand plaisir des financiers locaux et ceux de la City, mais aussi des intérêts étasuniens, ou encore au mouvement "Extinction Rebellion" dont on soupçonne son financement discret de Georges Soros, et dont on sait qu'il est subventionné de manière beaucoup plus assumée par d'autres généreux donateurs...

Étonnement, Viktor Mykolovych appelle à ne rien céder "aux sirènes de la récupération. Ne cherchons pas à faire grossir nos rangs avec des syndicats, politiques (et même associations) qui ont tout loupé depuis de trop nombreuses années"

Chacun sait que je ne porte pas en mon cœur la corruption des syndicats (sans que je remette en cause les nobles aspirations d'une grande partie de "la base"), mais je trouve assez étrange que le lien paypal, ait pour objet : "Caisse de Grève et de Solidarité pour les Gilets Jaunes"


Bref, je m'interroge beaucoup sur ce fameux Viktor Mykolovich, car si ses origines ukrainiennes, ne disent rien de ses réseaux, les mouvements auxquels il se réfère, ne sont pas sans connexion avec un vieillard immensément riche, qui ne cache pas son soutien à toutes les révolutions colorées et en particulier, à toutes les mouvances ouvertement hostiles à l'auto-détermination des peuples. Georges Soros soutient par ailleurs, l'un des organismes toujours prompt à faire campagne contre une "extrême droite" mystifiée en France, qui reçoit donc les subsides de l'Open Society : la Ligue des Droits de l'Homme. Dans cette organisation, nous pouvons trouver Arié Alimi, l'avocat de... Antonin Bernanos !

Ce dernier est à l'image de son client : il est capable de faire le grand écart entre ses convictions humanistes affichées et ses déclarations. Ainsi, avait-il pris position contre les campagnes de boycott portant sur les produits fabriqués dans des colonies israéliennes. Campagnes pourtant elles-mêmes soutenues par des intellectuels juifs ou israéliens :


D'un côté, au sein de la Ligue des Droits de l'Homme, il se veut véhément contre l'extrême droite en France - et n'hésite pas à défendre des talibantifas, qui paraît-il sont en lutte contre cette mouvance - mais s'agissant de l'extrême droite israélienne qui promeut l'expulsion de palestiniens de leurs domiciles et les bombarde sur la Bande de Gaza, il se montre beaucoup plus protecteur.

En réalité, comme beaucoup de gens dans nos réseaux, si je reste convaincu que l'écrasante majorité des idiots utiles s'auto-proclamant "antifas", est largement constituée de jeunes bobos crétinisés au plus haut point et endoctrinés par des abrutis à peine plus charismatiques, je soupçonne néanmoins que leurs influenceurs ont des connexions avec l'extrême droite israélienne (notamment la "Ligue de Défense Juive") et des financeurs que l'on peut trouver certes dans la "Sorosphère", mais pas seulement... Israël ou Soros ne sont pas les seules entités à considérer comme utile la fragmentation de la Société française pour affaiblir notre puissance et notre rayonnement international. 

Si "l'ultra-gauche" bénéficie de tant de complaisance médiatique, de soutiens politiques et juridiques en France, c'est précisément parce qu'elle hait la France et veut la défaire. Je pourrais d'ailleurs conclure à ce titre par les propres mots d'Antonin Bernanos lorsqu'il évoque le financement de la caution qui a conduit à sa libération, il la doit "grâce à la solidarité des camarades de France et d’ailleurs" 

Dans l'attente, des militants Gilets Jaunes continuent de se faire ratonner dans les cortèges du fait qu'ils soient reconnus pour leurs opinions politiques contestées par les fachos anti-France dont il est question, et les confrontations avec la Police demeurent. Bien sûr, sans même que les talibantifas ne viennent provoquer cette dernière par des insultes et jets de projectiles, les violences policières restent la logique de répression de Macron contre son opposition politique populaire. Mais est-il nécessaire que les Gilets Jaunes accordent une quelconque bienveillance à des abrutis notoires qui roulent pour des intérêts prédateurs tout en restant les idiots utiles du Gouvernement ?





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