lundi 6 janvier 2020

Toujours pas de stratégie et de bon sens politique pour les Gilets Jaunes

L'avantage dont on dispose lorsque l'on est un penseur et activiste indépendant, c'est que l'on peut se permettre d'irriter le plus grand nombre, sans que cela puisse mettre en déroute son intégrité et la stratégie que l'on défend depuis plusieurs années. Sans doute parce que l'on se refuse justement à donner du crédit à la bêtise et aux menues corruptions qui existent aussi dans les réseaux militants, quitte à ne pas être suivi dans la bataille par un grand nombre de personnes.

Voila donc plus d'une année que les Gilets Jaunes sont engagés dans la lutte contre le Régime Macronien, qu'indéniablement, ils seraient ravis de pouvoir faire tomber. Cela sans toutefois en trouver les moyens juridiques et opérationnels nécessaires. Il faut dire aussi que les Gilets Jaunes sont pour grande partie des gens qui ne jouissaient pas d'une éducation politique ou militante profonde, mais de simples Français qui à l'aune d'un énième redressement de la fiscalité sur le pétrole, se sont soulevés parce que le ras-le-bol couvait depuis déjà bien longtemps.

En soi, les toutes premières revendications était la marque d'une sous-éducation politique. Car s'il y'a bien une matière première qu'il convient de fiscaliser fortement, c'est précisément le pétrole. La France n'en produit pas ou du moins très peu, elle est totalement dépendante des importations de cette matière première en voie d'épuisement et à la source de nombreux conflits dans le Monde, et la meilleure façon d'inciter les industriels et consommateurs à chercher des palliatifs au pétrole, c'est une fiscalité forte sur ce dernier. C'est bien évidemment insuffisant, et je n'évoquerais pas ici les investissements industriels à fournir, la réglementation à changer sur nombre de paramètres pouvant réduire notre consommation globale de carburant, ou encore la reprise de contrôle de notre souveraineté pour mettre un terme au libre échange imposé par les traités européens (entre autres), qui aurait une influence indéniable sur nos importations de cette matière première. Je n'évoque pas non plus ici, où sont les économies fiscales ou le redressement des revenus que l'on peut garantir aux ménages pour supporter une fiscalité plus forte sur le pétrole, et de façon plus générale, un changement de paradigme concernant, le gaspillage des matières premières et de l'énergie que nous faisons. Cela exigerait bien plus qu'une publication sur blog, mais un essai politique plus complet sur la "Décroissance".

Je préfère donc rester sur mon terrain d'activiste, et en venir à ce qui me préoccupe, à savoir le peu de mémoire qu'ont certains Gilets Jaunes, et notamment parmi les plus médiatisés, lorsqu'il s'agit de considérer les alliances politiques sur lesquelles prendre appui pour mener à bien une révolution. Le 9 Novembre 2018, voici ce que déclarait le Secrétaire National de la CGT à propos des Gilets Jaunes :

Or "les Gilets Jaunes" est un mouvement transpartisan. Pour la première fois depuis des années, les considérations idéologiques et électorales des Français, se devaient d'être reléguées au second plan, de telle façon à garantir notre unité dans un effort de Résistance. Sur les Ronds-Points - et c'est encore le cas aujourd'hui - des Français de toutes convictions politiques se rassemblaient en respectant leurs divergences d'opinions sur leurs attaches partisanes ou non. 

Unité que tentent de démolir des poignées de gauchistes, qu'ils œuvrent dans des syndicats, des partis ou dans des associations militantes informelles. Les slogans, banderoles et méthodes violentes et ségrégationnistes des talibantifas sont désormais le lot commun des manifestations dans les centre-villes. Les Gilets Jaunes qui ne disposent pas pour une majorité d'entre-eux d'une expérience militante et politique suffisamment ancienne pour comprendre à quel type de milices ils ont affaire, laissent ces idiots utiles du Régime macronien, venir pourrir leurs cortèges. Pire encore : là où les syndicats sont appelés à la rescousse par le Gouvernement pour négocier le poids de nos chaînes et détourner la colère des Gilets Jaunes vers des revendications qui ne sont pas les leurs, des Jérôme Rodriguez, Maxime Nicole, Eric Drouet, et consort, leur tendent la main. Cela au nom de la fameuse "convergence des luttes", alors qu'il n'y en a aucune.

Quand on veut négocier avec le gouvernement pour mettre un terme à l'une des réformes que ce dernier envisage, on ne dénonce donc pas la légitimité de ce gouvernement à être au pouvoir. Bien au contraire, discuter avec ce dernier et l'appeler à abandonner sa réforme, c'est le reconnaître dans sa position. Ce qui est normalement inacceptable pour cette majorité populaire qui veut la tête de Macron et de son gouvernement, et certainement pas le légitimer sans ses fonctions.

Certains candides diront qu'oublier provisoirement la haine des fachos qui sévissent dans les syndicats, formations de gauche ou associations informelles contre "l'extrême droite", peut  servir à plus d'unité, densifier les mobilisations contre le gouvernement, et obtenir ainsi un succès politique à l'issue. Rien n'est plus faux et la preuve étant que depuis les mois et semaines où cette "convergence des luttes" est promue par des narcissiques corrompus et totalement vides de bon sens politique, Macron continue d'usurper le mandat présidentiel, et se permet même de poursuivre ses provocations. En clair, il n'est pas inquiet du tout, et il ne se trouve aucune "figure médiatique" pour s'interroger à ce sujet. En outre, si "la convergence des luttes", c'est exclure de nos rangs les gens qui pensent mal ou votent mal du point de vue des syndicalistes collabos, gauchistes et talibantifas de tous poils, alors de quelle unité parlons-nous, si ce n'est celle des gauchistes et de leurs idiots utiles ?

Il faut comprendre que l'idéologie gauchiste est précisément anti-France et totalement nihiliste. Elle suppose le refus de s'organiser, de se donner des référents pour interagir avec les institutions, elle est hostile à la Liberté d'expression et à la démocratie en général. Par dessus-tout, elle tient absolument à ce que la France, son Histoire, sa singularité culturelle et ses frontières, soit dissoute. C'est à ce titre qu'elle se réclame de "l'anarchie", mais elle cause surtout du tort à cette philosophie politique qui respecte profondément la diversité d'opinions et n'est pas nécessairement nihiliste. Qui souhaite converger avec de tels séditieux ? Ça n'est pas mon cas pour le moins, car je suis cohérent. Je me bats pour mon pays, pour mon peuple, et non en faveur des intérêts qui lui sont le plus hostiles. Qu'ils viennent de l'extérieur ou de l'intérieur. 

La difficulté étant que l'ultra gauche comme du reste, notre oligarchie au pouvoir, a trouvé un moyen astucieux de veiller à ce que notre peuple se refuse à défendre ses intérêts propres : il suffit d'accuser tout quidam ayant un peu de bon sens patriotique, d'être "d'extrême droite". Les gens en général sont très soucieux de leur image sociale. Ils ne supportent pas l'idée d'être salis. Pourtant, l'essentiel de notre population n'est en rien d'extrême droite. On peut même signifier le très haut degré de tolérance des Français, puisque même après plus de quarante années de dérégulation migratoire et de métamorphose progressive de notre population, les violences contre des personnes issues de l'immigration, sont extrêmement rares. A l'inverse, les violences subies par des Français "de souche" de la part de personnes issues de l'immigration, sont quotidiennes et très souvent meurtrières. Un peuple ou une communauté qui aspire à exister, ne peut tolérer de subir une immigration dont les conséquences remettent en cause sa propre survie, et pour le moins la sécurité de ses membres.

Cela ne signifie pas que l'extrême droite n'existe pas en France, bien au contraire. Mais cette mouvance peut être définie assez aisément par quelques critères idéologiques récurrents : le racisme, la haine des pauvres (qualifiés "d'assistés"), le rejet clair de l’État social notamment permis par l'impôt que l'on redistribue. L'extrême droite n'est en rien patriotique en France. Toujours prompte à collaborer avec les intérêts les plus prédateurs, elle soutient notre asservissement à l'U.E et l'euro au nom d'une identité blanche et paraît-il catholique dans ses traditions (ce qui est faux si l'on s'intéresse réellement à la civilisation européenne et de quelles valeurs se réclame l'UE), elle se félicite des guerres livrées contre des populations arabes au Moyen-Orient par pur racisme, et considère que notre amitié avec les U.S.A ou Israël va de soi, puisque ces États sont les premiers à commettre des crimes constants contre les nations arabes. Or, Les U.S.A comme Israël sont des États qui ne cessent de s'ingérer dans les affaires intérieures de la France et visent clairement à affaiblir notre pays. Ce sont des ennemis très clairs de la France, et c'est là qu'un minimum d'éducation géopolitique, distingue les idéologues d'extrême droite (qui comme les gauchistes, ne répondent que du pathos et de la bêtise la plus crasse), des patriotes véritables. D'autant que ces derniers sont favorables à l’État social et ne cultivent aucune haine particulière vis-à-vis des étrangers.

Ce n'est donc pas parce que les Français souhaiteraient (et c'est d'ailleurs le cas), réguler très fortement l'immigration et même raccompagner des clandestins à la frontière qu'ils seraient "d'extrême droite". Et leur attachement à la patrie n'est en rien un marqueur de cette idéologie, mais au contraire un marqueur d'une sensibilité sociale très forte. Rappelons que la Souveraineté Nationale est un concept originellement défendue par ce que nous appelons improprement et par commodité "la gauche"

Pour autant, les Français restent très sensibles aux accusations de l'ultra gauche et sont en train de se laisser mourir en cédant à ce genre d'artifices incriminatoires. C'est pourtant totalement idiot et je m'en explique : on ne sait jamais vraiment lorsque ce que l'on dit ou fait, peut être nuisible pour l'ennemi, sauf lorsque ce dernier vous reconnaît et vous attaque. C'est ce qu'il s'est passé pour moi à partir de 2013. A l'époque, j'avais commencé à me faire connaître en décrochant des drapeaux européens des bâtiments et places publiques. De premières publications sur la toile ont alors fleuri sur mon compte de la part des réseaux "antifas". Évidemment, j'y étais décris comme un fascisant d'extrême droite et le but était de me discréditer pour quiconque entamerait des recherches sur ma propre personne. L'ultra gauche ne s'attaque jamais aux idées (elle n'en a pas les moyens intellectuels) mais uniquement aux messagers. Attaques auxquelles je n'ai jamais répondu par une réaction défensive, parce que ce serait finalement faire le jeu de ces imbéciles. Mais la réalité objective étant que ces accusations en "extrême droite", sont sans conséquence dans ma vie sociale, et même s'agissant des soutiens que je peux recevoir de personnes qui peuvent être portées par des idéaux anarchistes, socialistes, communistes, écolos ou autres. Les gens qui me connaissent réellement, que ce soit dans mon cercle familial ou mes proches, savent que je n'ai strictement rien à voir avec le Croquemitaine que les talibantifas aiment décrire lorsqu'ils évoquent mon nom, et la majorité des gens qui s'intéressent à la philosophie politique, préfèrent encore juger mes actes, mes écrits et mes discours pour se faire leur propre opinion. Et de fait, ces accusations en "extrême droite", ne convainquent que des personnes fortement idéologisées, mais certainement pas la majorité des gens qui ne répondent d'aucun sectarisme politique. Voila pourquoi il ne faut pas craindre ce genre d'accusations et les mépriser. Elles sont sans effet particulier que ce soit dans votre vie sociale ou même votre vie militante. Mieux encore, lorsque ces réseaux sectaires et paranoïaques publient sur internet leur fiel sur votre propre compte, ils assurent indirectement votre promotion. Car les curieux vérifient ce qu'il en est réellement.

Néanmoins, force est de constater que les Français ont perdu leurs défenses immunitaires contre ce genre d'ingénierie sociale. A tel point que lorsqu'ils se révoltent, ils ne sont plus capables de distinguer leurs alliés sincères de ceux qui veulent éteindre leur Révolution, ou à minima la faire converger vers leurs intérêts idéologiques pourtant hostiles à la France. C'est actuellement ce qui est en cours avec les Gilets Jaunes, et je suis l'un des très rares protagonistes de la Révolution qui assume refuser clairement et définitivement, de m'allier avec les cons. Ce n'est pas forcément bien compris, alors qu'un minimum de recul sur l'Histoire, témoigne que les épisodes insurrectionnels réussis, sont le fait de personnes qui assumaient leurs divergences politiques et opérationnelles avec "la chienlit" dont parlait si bien le Général de Gaulle en son époque. Même Lénine était véhément contre les gauchistes, preuve s'il en est, que le communisme et le socialisme n'ont strictement rien à voir avec l'idéologie portée par l'ultra gauche.

Face à la haine et la malveillance de cette dernière, une réponse violente pourrait être envisagée. Mais ce serait lui donner du crédit là où elle n'en a toujours pas. Qu'on se rappelle l'affaire Clément Méric, ce jeune militant talibantifa qui a trouvé la mort dans une rixe le 5 Juin 2013. Le jeune homme correspondait tout à fait au profil sociologique habituel des militants d'ultra gauche :

Blanc, issu de la classe moyenne supérieure (ses parents sont enseignants à la faculté de Brest) et très soucieux de son image sociale. Que ce soit par le discours convenu qu'il défendait idéologiquement, ou de part son intérêt pour les vêtements de marque. Lui et ses camarades avaient agressé de jeunes militants identitaires reconnus dans un commerce, selon le témoignage même du vigile de l'échoppe qui avait tenté de faciliter leur fuite. Cela ne suffisait pas à la petite bande de vrais fachos d'ultra-gauche dont le jeune Clément faisait partie intégrante. Leurs victimes inquiètes, avaient alors appelé des amis en renfort pour se défendre. Clément n'est pas mort d'un mauvais coup, mais parce qu'il s'est durement réceptionné dans sa chute. Le jeune homme (Esteban Morillo) contre qui il se battait, était pour sa part issu d'un milieu plus prolétaire. Fils d'un immigré espagnol artisan de son état, il était apprenti boulanger. Jamais les parents de Clément Méric n'ont revendiqué une quelconque colère contre les petits sectaires qui ont idéologisé leur gosse malade, au point de l'amener sur les sentiers de la violence politique. Non, les méchants de l'Histoire (et seuls fachos possibles), ce sont leurs victimes prolétaires qui se défendaient, et dont d'ailleurs la légitime défense ne sera pas retenue par une Justice elle-même corrompue par cette idéologie bien-pensante de "gauche".

Voila pourquoi la violence contre ces milices de crétins ne mène à rien, qu'importe leur propre part de violence contre les personnes qui ne partagent pas leurs opinions. La Justice et les médias étant totalement inféodés à l'idéologie dominante, les talibantifas savent avoir les institutions avec eux. Par ailleurs, puisqu'ils sont rarement agressés par des militants "d'extrême droite", ils peuvent difficilement se présenter en martyrs de leur propre cause et leur discours victimaire ne tient jamais. Il suffit uniquement de les mépriser et rejeter leurs infiltrations et "appels à convergence" pour s'en débarrasser. De même puisqu'il se trouve un grand nombre de sectaires dans les syndicats qui partagent cette idéologie anti-France mortifère, il ne faut pas s'associer avec finalement les collabos du Système. Attention cependant, il y'a des syndicalistes tout à fait sincères et bienveillants dans leur démarche. Mais il n'y pas besoin de faire montre de ses attaches partisanes ou syndicales pour rejoindre les Gilets Jaunes, et embrasser une lutte contre le Gouvernement et Macron lui-même, plutôt que contre les réformes que ce dernier nous impose.

Les Gilets Jaunes auraient dû refuser ces amalgames avec les syndicats et conserver leur pacte unitaire originel. A savoir la tolérance garantie à tous ceux qui viennent nous renforcer, mais le refus de s'associer à des groupes ou institutionnels dont on sait qu'ils collaborent avec le gouvernement. Le fait d'accepter une telle "convergence" est signe d'une corruption mentale des meneurs, d'un aveu de faiblesse et une incapacité à imposer nos méthodes et nos revendications à ceux qui voudraient nous rejoindre. En fait, ce sont les Gilets Jaunes qui rejoignent désormais la gauche institutionnelle en ayant perdu confiance en eux-mêmes et leurs principes de départ.

La suite des événements dépend essentiellement de l'attitude du gouvernement. Dans un premier cas, la grève et les blocages (notamment des dépôts pétroliers et raffineries) conduisent le gouvernement a abandonner sa réforme, et il est certain que l'écrasante majorité des syndicalistes cesseront leur grève et blocages, ayant obtenu ce qu'ils souhaitaient. Seuls les Gilets Jaunes resteront dans ce cas, déterminés à poursuivre la lutte. Car ces derniers savent toujours pourquoi ils se battent fondamentalement. Ils ne négocient pas le poids de nos chaînes, ils rejettent en bloc Macron et toute l'oligarchie qui l'accompagne.  Ce sera alors un moment intéressant de notre Histoire à observer, car les syndicats seront alors discrédités et accusés de complaisance avec le Gouvernement par la majorité des insurgés.

La seconde hypothèse (la plus probable selon moi désormais) est que Macron aille jusqu'au bout, en misant sur la colère d'une majorité de Français qui ne participe pas aux blocages et aux grèves, et tient à ne pas subir de pénurie de pétrole. Ce qui pourrait mener à un schisme, car si les Gilets Jaunes voient d'un très bon œil la grève générale et les blocages, indépendamment que les syndicats soient à la manœuvre, leur détermination sera sans doute renforcée y compris contre cette partie du peuple embourgeoisée ou acceptant son esclavagisme à la solde du monde de la finance prédatrice. La majorité des syndicalistes défendant tout de même plus leurs intérêts corporatifs et étant toujours prompts à faire des concessions au gouvernement, se trouveront alors le cul assis entre deux chaises. Les pertes de salaires étant ce qu'elles sont, en plus de subir le courroux d'une grande partie de la population, il n'est pas improbable que le pari de Macron soit finalement remporté avec une concession connue d'avance sur "l'âge pivot", pour permettre aux syndicats de conserver la face.

Dans tous les cas, je prédis la guerre civile comme à l'époque de "la Terreur" quelques années après le début de notre première Révolution, car la notre propre repose au final sur des paramètres politiques et chronologiques relativement similaires. Elle s'inscrit bien sur le temps long. Des intérêts idéologiques antagonistes s'associent provisoirement avant que l'un (à la solde de la bourgeoisie) tente de prendre l'ascendant en noyautant puis en chassant les prolétaires qui sont à l'origine de la crise, ce qui conduira ces derniers à comprendre sur le tard, le mauvais tour qui leur est joué, et à décupler leur colère.

Je continue cependant de considérer qu'il reste possible d'éviter cela en revenant au pacte initial qui forgeait l'unité des Gilets Jaunes, mais aussi en nous montrant habiles sur le plan opérationnel et politique. A ce titre et pour conclure, j'appelle tous les Gilets Jaunes qui ont parfaitement compris ce qui se joue à refuser d'une part les alliances qui n'en sont pas, et à nous rejoindre Samedi 11 Janvier 2020 sous les fenêtres de la Maison de la Radio à partir de 13h30, pour un cortège qui nous permettra de défiler sous les fenêtres de tous les grands médias parisiens. Ces derniers doivent être notre réelle cible opérationnelle. Nous nous devons de gagner la guerre de l'information contre Macron et son gouvernement, et certainement pas en dénonçant ses réformes, mais bien en justifiant notre appel à destituer le félon au pouvoir sur des motifs juridiques clairs.

Avec mes amitiés résistantes à tous (et mon mépris pour les gauchistes remplis de haine anti-sociale),

Sylvain Baron

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