lundi 29 août 2016

Regard sur la "Dissidence"

Voila près de six années désormais, je m’immergeais dans le bouillon de "la dissidence". A cette époque, je n'imaginais pas que j'y laisserai des plumes, que ce soit en matière financière, sociale ou encore même dans ce que j'étais en tant qu'homme. Aujourd'hui, une sensation de vide me gagne désormais, et je ne suis pas bien sûr que le grand brasier qui a brûlé en mon âme puisse à nouveau être ravivé. Il faut dire aussi que c'est moins la nécessité du combat que la dissidence elle-même qui a achevé de me pousser à la résignation...

Pour bien comprendre le regard que je porte aujourd'hui sur cette expérience de vie, encore faut-il savoir d'où je viens. En l'an 2010, j'étais encore chauffeur routier. Je venais de m'installer dans une maison que je louais avec ma petite amie de l'époque dans un village de 2500 âmes à quelques encablures de Bordeaux. A cette époque, l'essentiel de mon passe-temps, c'était la musique. Je sortais régulièrement dans des bars de la ville pour aller jouer et chanter avec des amis musiciens. C'était aussi une époque où j'envisageais d'économiser suffisamment pour acheter un voilier avec mon amie, pour un jour nous offrir un tour du Monde et fuir une vie un peu trop rangée. Je travaillais plus de 50 h par semaine, j'étais souvent épuisé quand je rentrais à la maison au vu de mes horaires semi-nocturnes, semi-diurnes ce qui affectait de plus en plus ma vie sociale.

Mais qu'importe, mes sujets de discussion autant que mes activités étaient nettement plus insouciants et j'avais le sourire beaucoup plus facile. 

Néanmoins, depuis l'enfance, j'ai toujours été un grand curieux. Petit, c'était d'abord les sciences naturelles qui me fascinaient. Je m'intéressais jusqu'à l'âge de 15 ans à la biologie et l'écologie (non en tant que vision politique mais bien en tant que science expliquant les interactions entre les êtres vivants). Puis je finis par me passionner pour l'astrophysique. Je voulais comprendre quels mystères se cachaient derrière ce ciel étoilé que j'aimais contempler le soir. J'ai lu tout ce qui pouvait avoir été écrit en termes de vulgarisation scientifique sur les quarks, les gluons, les trous noirs, les quasars et autres objets improbables de notre univers dont nous ne sommes qu'une résultante encore plus improbable. Puis je suis revenu à des centres d'intérêts plus terre à terre. Je m'inquiétais alors que j'entamais ma vie professionnelle, de constater les énormes gaspillages de matières premières qu'impliquaient notre système économique global. Alors le soir, sur les aires d'autoroute où je découchais, je continuais de m'informer pour savoir sur quelles limites physiques nous surfions en termes de matières premières énergétiques, minérales, biologiques et agricoles, mais aussi sur les technologies qui pourraient nous permettre des évolutions sensibles. Et plus j'avançais dans mes lectures, plus je commençais à m'intéresser à la politique. C'est à l'âge de 30 ans que je découvris alors l'UPR de François Asselineau. J'avais déjà rédigé un premier essai sur ce qu'il me semblait urgent de réformer, et encore aujourd'hui, je n'ai pas changé d'avis, je reste un "décroissant". Mais j'étais déjà assez informé pour faire la relation entre le système ultra-libéral promouvant le libre échange et le consumérisme, et l'Union européenne. A défaut d'apporter une vision qui corresponde à mes vues économiques propres, François Asselineau proposait pour commencer de sortir de l'Union européenne et de l'euro, tout en me permettant de mettre un pied dans le droit européen. J'ai donc pour la première fois de ma vie intégré un parti politique pour le soutenir et ce fut un aller sans retour dans la dissidence. 

Traquer les signatures pour un candidat, j'ai donné et vu ce qu'il en était. Des maires qui vous raccrochent au nez, une majorité qui vous signifient qu'ils n'accorderont leur signature à personne, et tout le reste qui séquestrent la leur pour les grandes formations politiques habituelles, même si elles n'en ont pas besoin d'autant. Le week-end, je tractais sur la place de la Victoire à Bordeaux. Je fini par organiser une conférence pour François Asselineau en réservant la salle, en collant des affiches pour annoncer sa venue, bref je turbinais comme un bon militant. Mais tout cela me semblait insuffisant et déjà j'imaginais de nouvelles formes de militantisme comme la Révolte Monétaire. Après tout, j'avais passé des années à composer des chansons, je pouvais bien placer ma créativité ailleurs. D'ailleurs, j'abandonnais progressivement ma passion pour la guitare et le chant. A la place, j'absorbais de toute urgence des quantités d'information sur la géopolitique, le droit, la démocratie, la monnaie et l'économie qui étaient restées hors de mon champs de réflexion jusque-là. Et plus je bouffais de l'information, plus j'étais virulent contre l'inertie de la population, mais aussi du bureau national de mon parti politique que je trouvais trop timorée. Ma petite amie d'alors vécut de plus en plus mal les changements qui s'opéraient en moi et constatait bien que je souffrais d'une forme de dépression. Un jour, je craquais sous ses yeux. Je pleurai à chaudes larmes ma peur panique que les fous de ce monde nous entraînent dans une nouvelle guerre mondiale tôt ou tard. Elle prit de haut mon angoisse, et notre relation pris fin à ce moment. De même que je claquais la porte peu de temps après à l'UPR qui à aucun moment ne semblait vouloir faire évoluer son militantisme. J'avais proposé que l'on crée un journal militant, mais jamais rien ne fut entrepris en ce sens. C'est à cette époque que je mis sur pied avec quelques amis le journal "Poil à Gratter !" que nous réussîmes à faire vivre sur pas moins de 12 publications. Mais le manque de soutien bénévole et financier finirent par avoir raison de ma motivation à continuer, et aujourd'hui encore, le journal reste en dormance à défaut de pouvoir obtenir les moyens nécessaires pour le faire vivre. A cette époque, j'avais aussi intégré le M'pep, formation politique de gauche prônant aussi la sortie de l'U.E constituée essentiellement d'anciens communistes et de militants d'ATTAC, qui ne se retrouvaient plus en adéquation avec les vues européïstes du PCF d'aujourd'hui. J'espérais que l'horizontalité des débats et décisions permettraient de meilleures actions militantes, et j'étais ravi à l'idée de pouvoir converser avec des gens comprenant mes vues éco-socialistes. Mais le M'pep était bien plus un mouvement intellectuel qu'autre chose. Certes, avec des camarades bordelais, nous tractions, boîtions, faisions du porte à porte, mais au final, nous ne sortions pas des sentiers battus. J'y resterais une bonne année avant de rendre ma carte, découragé.

Durant toute cette période, j'envoyais des courriers presque quotidiennement à des institutions ou des personnalités, tantôt pour leur demander du soutien, tantôt pour les engueuler vertement de nous trahir. C'était aussi l'époque où je décrochais mes premiers torchons. Mon éducation politique était déjà largement achevée, je ne suivais plus l'actualité comme c'est toujours le cas aujourd'hui, si ce n'est pour surveiller l'évolution de certains indicateurs importants sur l'économie et la géopolitique. Je structurais l'activité des "Décrocheurs" constatant que nous étions de plus en plus nombreux à décrocher du torchon, en créant une association ayant pour but de garantir pour commencer notre couverture judiciaire, mais aussi nous permettre de passer à l'offensive sur le terrain du droit. Là aussi, le soutien financier ne fut jamais à la hauteur des ambitions que j'avais pour instruire les procès qui pourraient nous aider à nous battre sur un sentier moins électoral et nous en arrivons à aujourd'hui. 

Il y a un peu plus d'un mois, j'ai terminé une marche de 430 km de Clermont Ferrand à Paris où j'ai pu rencontrer des centaines de Français et discuter avec eux, me permettant de prendre le poul de la nation. Je n'évoquerai pas ici ce qu'il s'en dégage, mais je suis désormais parfaitement conscient que sans entreprise d'envergure de la dissidence pour éveiller les consciences, nous sommes foutus. Je me suis acharné à organiser des mobilisations devant les grands médias nationaux, dans l'espoir que nous finirions à un moment ou à un autre à être nombreux à venir pour faire pression, mais jamais je ne fus entendu. 

Toute la philosophie militante qui m'avait accompagné jusqu'à aujourd'hui, n'était pas de réveiller dans un premier temps le peuple français, mais bien d'engager notre dissidence à se mobiliser sur des actions pertinentes et capables de changer la donne. 

Mais aujourd'hui je déchante totalement, et il me faut dire ce que j'ai vécu dans ces milieux que j'ai longtemps mystifié comme plus "ouverts", "militants", "engagés" ou même "conscients" des réalités géopolitiques actuelles.

La vérité est que si une petite frange de la dissidence est aussi active que saine dans ses interactions humaines, la majorité a de quoi faire relativiser notre intelligence collective. Si j'ai été harcelé sur les réseaux sociaux et même sur certaines manifestations par les antifas, je peux ajouter que c'est aussi dans les milieux dissidents que j'ai vécu les plus grandes désillusions. Des gens dont je tairais le nom ont raconté les pires saloperies à mon sujet sans qu'il y ait la moindre once de vérité derrière leurs accusations. Ils continuent encore de le faire aujourd'hui pour des raisons que j'ignore. D'autres n'ont cessé de m'emmerder avec l'horizontalité qu'il faudrait mettre partout, dans toutes les actions. Je n'y étais pas vraiment hostile et m'effaçais même lorsque j'avais l'impression que je prenais trop de place. Mais ça ne suffisait pas. On a été jusqu'à me reprocher de donner des conférences et de vouloir faire mousser mon ego, alors que j'ai toujours été à l'aise sur cette question là. J'ai beau ne rien chercher de particulier en terme de reconnaissance, on me prête des complexes et des désirs qui ne sont pas les miens. On m'a reproché et on me reproche encore de réclamer de l'argent pour faire tourner l'association "Les Décrocheurs". Argent que je ne touche pas personnellement sur mon compte, mais qui permet notamment d'assurer les honoraires d'un avocat ayant défendu des militants. Non pas que je n'aurai pas pu assurer cette défense moi-même, fort de mes connaissances sur le droit à ce sujet, mais je n'ai jamais voulu céder à un trop plein de confiance qui pourrait desservir la cause. Je ne suis pas diplômé en droit, je préférais laisser des professionnels faire. Dans ces mêmes réseaux dissidents, émettre une opinion sur des sujets sensibles m'a valu toutes les réflexions les plus stupides du monde. Me voila désormais raciste aux yeux de certains, alors que rien ne m'énerve plus que les xénophobes de tous poils. J'ai certes des avis tranchés sur certains sujets difficiles, mais qui restent de très loin mesurés par rapport à ce que je peux lire ou entendre, et ils n'engagent que moi. Le plus clair du temps, ce que j'ai constaté était un plaisir évident pour beaucoup de "dissidents", de s'intéresser plus aux personnes qu'aux idées. J'ai été mystifié par beaucoup sur ce que je pouvais penser, faire ou qui je pouvais fréquenter, mais lorsqu'il s'agissait d'entendre mes appels à se mobiliser sur des revendications simples et consensuelles, il n'y avait personne.

La "dissidence" passe finalement son temps à commenter l'actualité ; critiquer les personnes issues de ses propres rangs comme si les saloperies véhiculées par les antifas ne suffisaient pas ; appeler à ce que des "leaders d'opinion" travaillent de concert sans s'intéresser aux raisons humaines et politiques qui empêchent cela d'advenir ; mystifier l'horizontalité pour tout et n'importe quoi comme si cela était la seule voie possible pour organiser nos mobilisations ; mélanger des théories très "new age" à des considérations politiques et pleurer sur cette révolution qui ne vient pas sans comprendre qu'elle en est la principale responsable.

Bien sur, il y a tous ceux qui aident réellement, ne jugent pas, restent terre à terre sur la bataille à mener, mais combien sont-ils face à une masse de dissidents peut-être éveillés sur de nombreux sujets, mais se comportant au final comme les oligarques que nous dénonçons aujourd'hui ? La dissidence est un milieu où règne l'invective constante, la paranoïa, la passion de critiquer tout ce qui est entrepris et plus encore les personnes, tout en véhiculant un défaitisme constant sur l'avenir de la France.

Je pensais avoir été un dissident, mais au vu de ce que sont ces réseaux "méta-politiques", je préfère ne plus m'assimiler à ces derniers. J'ai bien trop bu dans le chaudron pour me sentir capable de revenir en arrière dans ma vie sociale et me ranger. Mais je doute de pouvoir continuer ce que j'ai entrepris. La colère m'avait donné le courage de supporter ma condition sociale pour rester dans la bataille, mais aujourd'hui, je sais ne rien pouvoir espérer d'une dissidence qui manque de hauteur de vue, de fraternité et de motivation à se lever.

Je préfère ne pas annoncer l'arrêt définitif de toutes mes activités ici. Il est encore trop tôt pour le dire, mais si je devais trouver en moi encore quelques flammèches à raviver, ça ne serait plus à la dissidence que je m'adresserais, mais bien aux Français directement. J'ai au moins eu l'occasion de discuter avec des centaines de gens qui ne sont pas aussi politisés que cette "dissidence", et je sais qu'il sera d'avantage plus facile de les convaincre que l'on peut tout changer, qu'à un gigantesque réseau de gens qui ont certes toutes les clés pour amorcer une révolution, mais préfèrent démolir ceux d'entre eux qui proposent de l'initier.

Nous avons la dissidence la plus stupide du monde...

10 commentaires:

  1. C'est hélas vrai, tout le monde commente parle et critique mais personne ne se bouge quand des actions réelles et concrètes sont organisés...
    Tu as eu bien du courage Sylvain pendant tout ce temps, tu devrais te prendre comme des vacances histoire de décrocher, juste 1 mois ou 2 déjà sans politique ni rien et tu verras que tu ira mieux après!

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  2. La dissidence, de par sa nature, attire tous les profils égalitaristes à l'extrême. Donc ceux qui ne supportent pas l'idée qu'une voix s'élève parmi leurs propres rangs.
    Et nous quelques bonnes âmes, pouvons-nous renverser en quelques mois une situation que les plus aisés ont installé en y investissant leur fortune depuis 200 ans ?
    Patience et longueur de temps ...

    Tout de bon.

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  3. Après avoir regardé quelques vidéos pour comprendre pourquoi la plupart de nos politiques au pouvoir défendent les idées contre le peuple, par exemple la loi sur le renseignement, notamment ces deux vidéos :

    https://www.youtube.com/watch?v=wl7mvtohGtk

    https://www.youtube.com/watch?v=zP6_h5Y42ak

    Je pense que le facteur humain principale qui maintient notre système tyrannique est l'attirance de la plupart des politiques au pouvoir d'accéder à des privilèges, comme les indemnités, que ce soit au niveau local par exemple au niveau des mairies, ou au niveau nationale ou au niveau supranationale.

    Il est vrai que les mauvais comportements de certaines personnes appartenant à la sphère politique dit "dissidente" sont un frein et contribuent sans doute aussi au maintient de notre système, tout comme le manque de capacité intellectuelle d'une grande majorité des français à ne pas croire naïvement à toutes les propagandes dans les médias de masses, y compris les propagandes les plus subtiles, mais il ne faut pas oublier qu'il y a des personnes néfastes dans toutes les sphères sociaux, y compris dans toutes les sphères politiques.

    Aussi, je pense qu'il ne faut pas uniquement parler à une seule sphère politique ou à une seule catégorie social si nous voulons qu'une révolution soit possible, mais à tous les français, mais je reconnais que avec Facebook qui a tendance à enfermer ses utilisateurs dans les silos par ses algorithmes, c'est très compliqué de parler à l'ensemble des français et très compliqué pour les personnes dans la sphère politique dite "dissidente" à parler aux français en dehors de cette sphère.

    Aussi, je pense que Facebook n'est pas forcément totalement innocent sur ce que tu as subi, en particulier le le fait que tu n'a pas été assez entendu.

    Depuis que je me concentre sur le réseau social Twitter, je constate une très grande différence avec Facebook que ce soit sur le fait que les trolls sont beaucoup moins nombreux, ou que ce soit le fait que les gens qui s'abonnent à moi ne sont pas uniquement des personnes de la sphère dite dissidente, dernièrement, il y a même eu un maire "Hougnon Raphaël" que s'est abonné à ma page Twitter :

    https://twitter.com/DiffuseurQ

    même si je critique la limite du nombre de caractères par publication sur Twitter qui complique la tenu d'un débat et qui oblige d'avoir un blog ou une page web à côté pour écrire et partager mes opinions.

    Aussi, il y a des études psychologique, notamment sur l'égo :

    http://www.michael-conti.fr/energetique/facebook/

    et des statistiques comme celui ci :

    http://www.slate.fr/story/122269/posts-facebook-opinion-amis

    qui montrent que Facebook est véritablement un réseau social néfaste, que ce soit pour la psychologie de ses utilisateurs ou pour l'opinion publique.

    Je ne mets pas toute la faute à Facebook, ni aux personnes dissidentes néfastes, ni aux politiques qui votent les lois néfastes et restent dans un parti manipulateur uniquement pour leur privilège, mais je pense que notre système se maintien grâce à tous les facteurs que j'ai cité dans mon commentaire, en premier lieux grâce à l'attirance de nos politiques au pouvoir aux privilèges, que ce soit l'argent ou le pouvoir, mais je pense que c'est surtout l'argent que procure leur carrière et leurs indemnités qui attire le plus nos politiques voter les lois contre l'intérêt du peuple et à rester dans les mauvais partis politiques :

    https://www.upr.fr/conferences/les-partis-politiques-respectent-ils-lintelligence-des-francais

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  4. Je pense que le processus pour changer le système sera encore long, mais avec le temps qui passe, et le fait que le nombre de personnes éveillé ne fait que augmenter, le nombre de possibilités pour lutter contre la tyrannie ne fera que augmenter.

    Pour augmenter nos chances de nuire au système et d'engendrer à un véritable bouleversement politique, nous devons avant tout diffuser des idées
    plutôt que de critiquer des personnes ou des sphères politiques ( sauf pour ce qui concerne les partis médiatisés principaux :
    https://www.upr.fr/conferences/les-partis-politiques-respectent-ils-lintelligence-des-francais et certains mouvements prétendus "antifa" ).

    Je trouve regrettable que certaines personnes passent leur temps à critiquer Sylvain Baron, voir à troller sa page Facebook.

    Malgré les échecs, je félicite Sylvain Baron pour sa ténacité, son courage, sa capacité à créer et proposer des stratégies, et à être patient face à autant de critiques et trolls.

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    1. les lâches c'est comme les cons, ça ose tout... mais en se planquant histoire de ne pas assumer leur connerie...

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  5. Vu mon âge, bientôt 78 ans, et mon occupation de "faire le bilan" de 55 ans de luttes sociales et culturelles variées, je n'ai ici qu'à saluer ta tentative de bilan personnel... et t'encourager d'OSER de nouvelles aventures, avec ou sans étiquette de "dissidence" !
    En confidence, ceci : la seule étiquette qui me colle à la peau est LA POÉSIE, qui m'a permis de sortir de tant d'ornières de luttes sociales casse-gueule !

    Rémi Begouen, dit Rém*

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  6. Il y a ton projet de pièce mettant en scène le jugement de nos traitres nationaux. Rien ne t'empêches de t'investir là dedans. Il y aura ceux qui voudrons en être, et les autres tu les emmerdes avec leurs "nuit de cons".

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  7. Heureux que tu y arrives enfin : abandonner la dissidence à Soral Dieudo & consorts...

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  8. je sais sylvain... je suis dans le circuit depuis plus longtemps et je sait l'effet du constat de l’état dans lequel est la soit disant dissidence...
    hélas malgré de nombreuses tentative de retraite, je n'arrive toujours pas a lâcher le morceau... bordel! c'est mon pays qu'on déchire- et l'avenir de nos descendants... j'arrive pas a lâcher...

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