Je rajoute ici une
vidéo de présentation du projet, à travers l'interview du Cercle des
Volontaires. C'est la première fois que je m'adonnais à cet exercice et
cela dans des circonstances un peu "à l'arrache". Veuillez donc me pardonner une mèche rebelle et un discours maladroit, mais pour ceux qui n'aiment
pas lire, vous pourrez au moins écouter les explications.
La drôle de bestiole à côté là, c'est Orni ==>
Et Orni, c'est un canard un peu bizarre. Comme tous les canards, il pond des œufs, il a un bec et des palmes, mais il a aussi des poils et même un petit dard venimeux !
La drôle de bestiole à côté là, c'est Orni ==>
Et Orni, c'est un canard un peu bizarre. Comme tous les canards, il pond des œufs, il a un bec et des palmes, mais il a aussi des poils et même un petit dard venimeux !
On souhaite le lâcher dans la mare aux canards qui cancanent
beaucoup sur les mêmes sujets et avec le même point de vue,
histoire de rigoler un peu !
Mais attention, il ne s'agit pas d'introduire notre copain dans la
mare pour que lui-même se transforme en perroquet de la pensée unique au mépris de sa
nature profonde.
Non, « Poil à Gratter ! », c'est du canard
d'élite ! C'est de l'info qui décape et nettoie les neurones.
Ce seront des textes subversifs, pédagogiques et bien sourcés que
l'on déversera dans la mare pour dépolluer son eau.
Car
notre Ornithorynque, c'est pas un joueur de pipeau ! C'est le
messager de toute une dissidence éclairée...
Partie
1 : De la Naissance du projet
Poil à Gratter est d'abord l'histoire d'une rencontre. Des sympathisants de la mouvance eurosceptique Bordelaise, partageaient des cafés, des débats, des convergences de points de vue et un constat de déclin démocratique, avec des sympathisants d'une gauche plus internationaliste qui voudrait changer l'Europe...
A priori, si l'on veut adhérer
aux discours de certaines de nos personnalités politiques, les
« maréchalistes » et les « gauchistes » doivent se haïr mutuellement et être incapables de monter des
projets ensemble. C'était oublier que les partis politiques ne sont
que des outils, et que les êtres humains sont des entités complexes
dont la pensée profonde ne peut se résumer à un programme où à leurs
vues d'esprit partisanes. Nos amis, nos collègues, nos proches ont
tous des pensées politiques différentes des nôtres. Et pourtant,
nous savons nous respecter, refaire le monde ensemble et critiquer
vertement tout un système politico-économique de la même façon autour
d'une table. Finalement, seules les solutions de chacun diffèrent.
Si les fondateurs de Poil à
Gratter ont su se trouver, nouer une amitié malgré leurs
divergences politiques et réfléchir à la création de ce journal,
nous prenons le pari que les Français peuvent en faire autant grâce
à cet outil. C'est ainsi que nous avons tracé les grandes lignes de
ce qui fera l'essence de notre journal. Nous comptons rétablir
l'unité nationale, la démocratie, le respect mutuel et un débat
apaisé en France sur des sujets qui nous concernent tous.
Partie
2 : La ligne éditoriale de « Poil à Gratter »
Poil à Gratter sera un journal
papier qui sera distribué contre libre participation aux Bordelais
dans un premier temps, mais aussi par voie d'abonnement à tous les
Français qui le souhaiteront partout dans le pays. Son premier
tirage sera de 500 exemplaires, il démarrera sa vie en tant que
mensuel de 16 pages.
Son
contenu éditorial outre un peu d'infos locales pour établir notre
lien avec la population bordelaise, sera essentiellement composé de
dossiers de fonds sur les questions européennes, l'économie, la
géopolitique, et le système monétaire et financier. La vocation de
Poil
à Gratter sera de déconstruire le régime de propagande des journaux détenus
par Lagardère, Dassault, Rothschild et d'une certaine façon par un
État qui n'est plus réellement le notre, mais celui d'une synarchie
qui ne défend que ses propres intérêts.
Notre
objectif est pluriel : D'abord, expliquer aux Français la
vérité des traités, de la monnaie et des guerres au Moyen-Orient,
afin que ces derniers puissent comprendre la réalité sous-jacente à
notre rattachement à l'Union Européenne et à l'OTAN.
Nous
souhaitons aussi veiller à ce que tous les partis politiques
censurés ou diabolisés par les médias aient un droit de tribune,
dès lors qu'il s'agit de faire de la pédagogie et non pas de la
propagande imbécile. Ainsi, des partis politiques comme Debout la
République, l'Union Populaire Républicaine, le Pôle de Renaissance
Communiste Français, le Mouvement politique d'émancipation
populaire, Solidarité & Progrès, le Parti Ouvrier Indépendant,
mais aussi des mouvements plus « sulfureux » dans leurs
positions, pourront livrer leurs analyses et confronter leurs points
de vue dans notre journal.
Nous
considérons que la Liberté d'expression ne se
limite pas
par essence, sachant tout de même que la Charte de Poil
à Gratter
interdira tout langage de haine de quelques façons que ce soit. Les
Français sont intelligents et ont assez de sens critique pour juger
d'un argument ou d'un mouvement politique sur son extrémisme
probable ou avéré. Par ailleurs, la censure et la
diabolisation ont fait de toute la dissidence qu'elle soit de
« gauche » ou de « droite » une mouvance
qu'il faudrait qualifier « d’extrémiste ». Il serait
donc très mal venu pour ses représentants, qu'ils soient
responsables d'un parti politique ou simples sympathisants, de
dénoncer la censure d'un système d'un côté, et souhaiter de
l'autre que des voix discordantes soient interdites de parole sur
Poil à Gratter. De la même façon, les attaques ad hominem,
c'est à dire les jugements de valeurs sur les responsables
politiques, ne trouveront pas leur place dans Poil à Gratter.
Cela ne signifie pas que les débats seront impossibles entre les
différentes représentations politiques existantes. Mais notre
journal privilégiera les débats de fond sur les incohérences
programmatiques, et sur les réflexions économiques, sociales et
géopolitiques antagonistes. Notre parti pris est clairement
l'ouverture au dialogue et la confrontation des idées, et non permettre
d'encenser les haines partisanes qui pourrissent l'unité de la
Nation quand les enjeux sont trop importants. A ce titre il convient
de rappeler que Poil à Gratter sera bien
un organe de presse indépendant.
Il
appartiendra donc à chacun en fonction de ses opinions partisanes,
d'avoir l'intelligence d'utiliser l'outil de communication que sera
notre journal, pour se démarquer de ses « opposants » et
ainsi attirer l'attention de façon positive sur son propre parti ou
ses propres idéaux.
Poil
à Gratter aura aussi vocation à développer des thématiques
sur l'histoire, la décroissance, la démocratie et les sciences et
technologies. Deux pages seront réservées à une lettre au
Président qui pourra être découpée par les lecteurs et envoyée à
la Présidence de la République. Nous varierons aussi avec d'autres
institutions afin que Poil à Gratter permette aux Français
de se rebeller par le courrier vis à vis de nos dirigeants. Notre
journal sera donc clairement une agora populaire et les Français qui
publieront sur notre site internet, verront leurs articles
sanctionnés ou approuvés par les votes des internautes. Les
articles les mieux notés pourront être publiés sur la formule
papier, dès lors qu'ils respecteront la charte de notre journal tant
sur la modération du propos, que sur les éléments factuels et
vérifiables des analyses produites par l'auteur. Notre comité de
rédaction qui sera le plus diversifié et ouvert d'esprit que
possible, se réservera toutefois le droit de ne pas sélectionner un
article plébiscité par les internautes sur des motifs de forme où
si nous avons l'impression que le vote massif en faveur d'un article
est clairement orienté par une forme de spam politique.
Enfin,
Poil à Gratter publiera des caricatures de tous les
dessinateurs qui le souhaitent. Nous visons dans nos textes un ton
caustique pour alléger une pédagogie de fond par le sourire suscité
au lecteur, et il n'est pas de meilleur accompagnement graphique que
des dessins explicites et humoristiques pour imager une réflexion de
fond.
Partie
3 : la distribution et le développement de Poil à Gratter
Poil à Gratter sera
essentiellement distribué par colportage, notamment dans les
stations de Tramway et les rues commerçantes. Le journal étant
vendu au prix minimum de un centime d'euro, il s'agira donc pour nos
colporteurs de se montrer efficaces, car la libre participation
récoltée leur sera reversée. Pour cette raison, nous envisageons
de nous rapprocher de jeunes amateurs de théâtre et leur proposer
de transformer cet
exercice de colportage en véritable spectacle de rue.
Nous souhaitons attirer l'attention des Bordelais par l'humour et la
scénographie de notre distribution. Ce sera en outre une façon de
nous rapprocher intelligemment du monde artistique et développer une
communication positive sur notre journal.
Outre
ce colportage direct, Poil à Gratter
sera distribué par PLV dans les universités, associations, antennes
syndicales et petits commerces. Nos mécènes (et annonceurs) se
devront aussi de disposer de PLV avec deux contreparties :
- Ils récupéreront la libre participation récoltée dans leurs locaux, et pourront ainsi amortir leurs investissements publicitaires dans notre journal. Si par exemple, un annonceur loue un huitième de page pour 500 € et qu'il récupère 200 € de libre participation, la location de l'espace publicitaire ne lui coûtera en définitive que 300 €
- Poil à Gratter organisera régulièrement des événements comme des débats publics, des concerts, des conférences et toutes autres initiatives pour faire connaître nos annonceurs autant que notre journal, et favoriser leur développement économique. Ainsi, un bar alternatif louant des espaces publicitaires sur Poil à Gratter, pourra accueillir un conférencier et engranger des bénéfices sur la consommation de boissons des lecteurs de notre journal, venus assister à cette conférence.
Tous
nos mécènes seront des acteurs économiques locaux et alternatifs
(biocoop, cafés-philo, bouquineries, etc). Nous privilégions la
pluralité d'annonceurs faisant bouger intelligemment la ville, à de
gros annonceurs institutionnels ne respectant pas une certaine
éthique sociale et environnementale que nous défendons. Nous
garderons toutefois une certaine liberté commerciale si de gros
annonceurs devaient s'intéresser à notre journal, à condition que
ces derniers prouvent qu'ils investissent dans des projets altruistes
qui plairaient à notre lectorat, et ne font pas concurrence à notre
véritable clientèle par leurs activités.
Évidemment,
plus les tirages seront importants, plus le prix de la location
d'espaces publicitaires se renchérira. Cela sera bien signifié à
nos partenaires, d'où l'intérêt pour Poil à Gratter
d'être efficace tant sur les événements réguliers à créer, que
sur la communication publicitaire. Ainsi, nous souhaitons innover
aussi dans ce domaine, par la création d'objets publicitaires
favorisant le teasing et la répétition du nom de nos annonceurs,
comme par exemple la location de deux ou trois fois un huitième de
page avec une devinette, une charade, un rébus, etc... en plus d'un
produit graphique esthétique et favorisant l'humour.
Nous
serons donc interdépendants avec nos annonceurs. Nous devrons
réussir le pari de faire croître leur activité pour que ces
derniers puissent investir des sommes plus fortes dans notre journal.
Poil à Gratter
souhaite ainsi respecter ses propres objectifs de croissance, d'abord
par l'augmentation du tirage de nos publications, pour atteindre en
une année d'existence, un chiffre supérieur à 10.000 tirages pour
la région Bordelaise. En outre, nous souhaitons que notre
périodicité évolue de mensuel à bi-hebdomadaire et hebdomadaire
au fil du temps.
Par
ailleurs, Poil à Gratter
aura vocation à créer de l'emploi et s'étendre au niveau national.
Cela d'une part par une formule abonnement, et d'une autre part, par
la constitution de cellules nouvelles dans chaque ville de France, où
les personnes intéressées à s'intégrer au projet, se devront de
trouver des annonceurs et des rédacteurs d'actualité locale pour
rejoindre notre maison d'édition et recevoir des tirages
spécialement dédiés à leur ville. Nous viendrons alors à eux
pour les accompagner dans cette démarche, de telle façon à leur
faire bénéficier de notre retour d'expérience, de notre
communication commerciale, et des outils marketing existants pour
développer un nouveau marché.
Poil
à Gratter naît donc à
Bordeaux, mais à vocation à devenir une revue distribuée au niveau
national à terme.
Partie
4 : Les éditions de l'Ormée
Un
journal, c'est d'abord et avant tout une maison d'édition. Nous
avons réfléchi longuement à sa forme et à son nom, et nous avons
décidé de nommer notre entreprise « les éditions de
l'Ormée ». Cela en référence à un mouvement insurrectionnel
(paradoxalement bourgeois) sous Louis XIV à Bordeaux. La révolte de
l'Ormée fait ainsi référence à un esprit plus actuel de notre
refus de l'oppression d'un système que combattra notre journal.
Notre
maison d'édition sera aussi une SCOP. Nous ne comptons pas faire de
l'argent, bien que nous souhaitons vivre de notre activité, mais
bien développer un projet démocratique tant sur le produit
développé que dans notre façon de fonctionner. Tous les
protagonistes du projet seront donc actionnaires du journal, et la
politique d'entreprise sera décidée en commun. Une voix signifiera
donc un vote sur nos décisions.
Nous
considérons que chacun apporte son savoir faire, et que nous sommes
interdépendants. Cependant, en considération des absences possibles
de nos collaborateurs, nous devrons tous nous auto-former à tous les
aspects de la vie de l'entreprise. Nous souhaitons devenir
polyvalents tout en conservant nos propres spécialités, afin de
veiller à ce que le journal ne subisse jamais de difficultés liées
à une vacance de l'un d'entre nous.
Au
début de la vie du journal, seuls les dessinateurs et colporteurs
seront rémunérés. Progressivement, nous nous verserons ensuite une
rémunération qui sera le fruit d'un vote et ne contraindra pas nos
investissements. Nous communiquerons en toute transparence nos
chiffres sur le site internet, afin que nos lecteurs sachent ce que
coûte la vie d'un journal, et nous fassent confiance sur notre sens
de la mesure.
N'importe
qui pourra intégrer notre maison d'édition, dès lors qu'il y'aura
une motivation réelle à faire vivre le journal. Enfin, sur le long
terme, les éditions de l'Ormée auront vocation à publier d'autres
revues, mais aussi des livres, tant pour développer notre marché
que transmettre des idées sous différentes formes.
Partie
5 : Sur le financement de Poil à Gratter
Pour
démarrer un journal, il y'a certes la question du contenu à gérer,
mais plus fondamental encore, il est nécessaire de créer la charte
graphique de celui-ci. Nous avons beaucoup démarché les étudiants
spécialisés et initié des appels aux talents sur internet, sans
succès. Pour toutes ces raisons, nous avons décidé de passer par
un prestataire de service pour créer notre site internet, notre
charte graphique, les objets publicitaires, et la sérigraphie de nos
PLV. Tout cela à un coût, et il faudra compter entre 5000 et 7000 €
d'investissement pour que la forme du journal et ses outils de
diffusion puissent exister définitivement. En outre, le premier
tirage nous coûtera aux alentours de 1500 € en fonction des devis
à notre disposition. Nous devrons conserver un petit fond de réserve
supplémentaire pour être en capacité de faire imprimer un nouveau
tirage et pallier à tous problèmes qui pourraient se poser à nous.
Il
est essentiel qu'une maquette disposant d'un contenu graphique et de
publicités soit crée au préalable, pour obtenir une vitrine
commerciale concrète à présenter à nos annonceurs. Nous avons de
nombreux commerçants intéressés par le projet, mais nous ne
pourrons conclure de contrats avec eux, que sur la base d'un produit
fini qu'ils pourront feuilleter à loisir pour croire au sérieux du
projet.
Pour
toutes ces raisons, nous faisons appel à la générosité et à
l'intelligence de la dissidence de France. Nous souhaitons développer
un organe de presse qui lui sera dédié, mais nous ne pourrons
réussir ce pari que par l'investissement de chacun. Un
site de collecte de fond permet à tout le monde de mettre un peu
de monnaie au pot, à la mesure de ses moyens (mise minimum de 1 €
seulement). Un autre site permettant les paiements par le système
Paypal sera bientôt disponible pour ceux qui le souhaitent. Nous
arrêterons l'appel à capitalisation dès que nous aurons atteint la
somme de 10.000 €, permettant de lancer le journal.
Après
quoi, vous jouirez tous de votre vitrine politique et plus encore de
vos idéaux particuliers. Tous les étudiants et chômeurs qui
souhaiteront nous rejoindre seront bienvenus, dès lors qu'ils seront
conscients qu'un tel projet ne se rentabilisera que sur le temps, et
qu'il faudra s'investir de façon bénévole les premiers mois. Si
vous souhaitez ré-informer les Français, il ne tient qu'à vous de
faire émerger Poil à Gratter.
Historiquement, la
révolution française, ainsi que la prise de pouvoir des bolcheviques en Russie, a commencé par la création d'une presse populaire...
Salut alexi, je un ami a ton pere,les thèmes sur la manipulation politique médiatiquement,mondialement,qui manipule quoi et qui?a l'inverse du canard enchainer qui se veux soit-disant militante,indépendant et apolitique qu'en réalité il dépende aussi d'un mouvement international?a vraie je vous soutiens dans vos démarche que votre liberté de conscience ne soit plus emprisonner et filtrer?vois-tu?je me bas aussi sur la manipulation culturel par les allies du dollars?car comme disait Voltaire:"lorsqu'il s'agit d'argent,on a la même religion?".lol!si cela t'intéresse je vous invite a voir mon site si cela peux vous éclaircir au niveau mondial?mouvements des sarrasins.un blog.fr.vois la rubrique théorie du genre,j'ai vendu ma carte d'électeur a l'État?suite a l'affaire de la théorie du genre a joue les tours,j'ai retirer mon fils définitivement de l'école maternelle car j'ai plus foi a l'éducation national,et ne veule pas admettre qu'en réalité la "laïcité"est bien morte depuis que ce poison du rendre a été mis en place par ce gouvernement?sache que cela n'intéresse aucun medias qu'il existerait une désintégration social?plusieurs famille ont fait les même démarche que moi.je vous lance une alerte national par un journal indépendant de libre penseur!
RépondreSupprimerAmicalement.marzouk nabil ex-président d'sos-racisme37 de 99a2004.
Correction:depuis que ce poison de la théorie du genre a été mis en place etc.......désolée!
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