Dans
les courants politiques dénonçant notre rattachement à l'Union
Européenne, l'euro et l'OTAN, deux en particulier se distinguent
d'une part, par la qualité de leurs analyses mais aussi par la
modération de leurs propos politiques. Il s'agit de l'UPR et du
M'pep.
Il n'est pas question ici de perdre du temps en combats de
coqs pour savoir qui a le plus de forces militantes disponibles. Je
vais me contenter en préambule, de perdre du temps uniquement sur
l'essentiel pour clarifier ce qui ne l'est pas dans certains esprits.
En
effet, certains au sein de l'UPR accusent le M'pep de ne pas vouloir
sortir de l'Union Européenne. Ils se basent pour cela sur de
vieilles publications datant de l'époque où le M'pep était plus un
« Think Tank » émanant du mouvement ATTAC, visant à
éveiller les consciences dans les milieux syndicaux et de « gauche »
sur la nécessité de sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN. Déjà à
l'époque la question était claire dans les têtes des sympathisants
du M'pep, mais la posture politique du fait de la mission que se
donnait le M'pep restait il est vrai, ambigüe.
Cette
ambiguïté n'existe désormais plus depuis le Congrès du 6
décembre, où deux événements importants dans la vie du M'pep ont
modifié les axes de sa logique de travail.
D'une
part, quelques dizaines de membres du M'pep très à cheval sur leur
attachement idéologique à « la gauche », ont quitté le
M'pep pour former un mouvement correspondant aux aspirations
initiales du M'pep. Ces derniers restent convaincus qu'il faut sortir
de l'U.E, l'euro et l'OTAN, mais tiennent à rester solidaires d'un
rattachement idéologique à « la gauche ».
D'autre
part, l'écrasante majorité des adhérents du M'pep qui sont restés
ont voté lors du Congrès différents textes, faisant du M'pep un
parti politique au-dessus des clivages politiques « gauche-droite »
proclamant la nécessité de sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN très
clairement.
Le
problème avec le M'pep, c'est que sa littérature est très
abondante et nous avons quelques difficultés à nous montrer
synthétiques. Aussi, j'isole expressément ici quelques extraits du
texte d'orientation politique adopté par le second congrès du M'pep
des 6 et 7 décembre 2014 à St Denis.
Page
145
Comme
nous le proposons au M’PEP, il faut s’émanciper du mythe du
libre-échange et repenser les relations internationales entre des
nations libres et indépendantes, coopérant entre elles, sur les
bases rénovées de la Charte de La Havane de 1948. Concrètement
il s’agit de sortir des institutions supranationales que sont
l’OMC, le FMI, l’OTAN, la Banque mondiale et l’UE pour
reprendre notre souveraineté (monétaire, industrielle, écologique,
culturelle, etc.). Les classes populaires et moyennes qui
souffrent des politiques néolibérales mises en œuvre par l’OMC
et l’UE ont tout à y gagner.
Page
134
Les
partis politiques reposent tous sur des courants d’idées,
plongeant parfois leurs sources loin dans le passé : orléanistes,
bonapartistes, libéraux et néolibéraux, gaullistes, fascistes,
trotskystes, communistes, socio-démocrates, chrétiens-sociaux,
écologistes… Le parti que se propose de devenir réellement le
M’PEP ne reposera sur aucun de ces courants d’idées. Il visera à
organiser le courant d’idées qui existe déjà dans la société
sous forme latente, et qui forme l’idéologie suivante : lutte
contre la mondialisation et le capitalisme dans la perspective d’un
socialisme du XXIè siècle, qui passe par le rejet de l’Union
européenne actuelle et de l’euro, ainsi que la sortie du FMI, de
l'OMC, de l'OTAN et de la banque mondiale qui constituent les piliers
de l'ordre néolibéral.
Page 135
Nos
fondamentaux sont suffisamment clairs et parlants d’eux-mêmes pour
nous situer politiquement sans avoir besoin de réactiver des
idéologies aussi floues et ambivalentes que celle du clivage
gauche-droite. Le clivage fondamental, classes dominantes contre
classes dominées, passe toujours par les institutions et les modes
de production et d’échanges concrets, selon des modalités
différentes bien sûr à chaque époque. C’est ce que doit relever
et expliciter chaque parti politique qui respecte son rôle. Nous le
faisons, et actuellement mieux que personne. Nous n’avons pas
besoin de montrer davantage patte blanche avec des gris-gris
symboliques qui ont dans l’histoire bien plus contribué à
combattre ce travail de clarification que l’inverse.
Le
programme du M'pep résumé de façon synthétique se trouve en
page 148.
Cette
assise sur le fonctionnement et les idées défendues par le M'pep
n'a aucune ambition prosélyte. Si je suis moi-même adhérent du
M'pep, je suis aussi de ceux qui pensent que la libération ne
viendra d'aucun parti politique. Que ce soit le M'pep, l'UPR ou toute
autre formation politique.
La
Libération à mon sens ne viendra que de l'insurrection, débat dans
lequel je ne vous entraînerais pas, pour ne pas perdre de temps sur
l'objet de cet article. Ce que je souhaite ici clairement établir,
documents internes à l'appui, c'est que les accusations portées
contre le M'pep sont infondées concrètement.
Maintenant,
venons-en à l'essentiel, à savoir la stratégie de diffusion des
idées
Comme
peut-être une majorité d'entre vous, je n'ai aucune considération
religieuse de ce qu'est un parti politique. Ils ne sont ni une fin en
soi, ni pertinents en toutes choses dans une quête de renversement
d'un ordre établi. Ils ne sont que des outils de propagande des
idées, et plus encore des réservoirs de main-d’œuvre bénévole
pour diffuser nos revendications à la population.
Le
M'pep il est vrai, de part son histoire – et quand bien même il
souhaite s'émanciper de cela aujourd'hui – est marqué à gauche
de l'échiquier.
A
l'inverse, l'U.P.R de part le parcours politique de son fondateur,
conserve son étiquette de droite, quand bien même cela est faux de
part ses statuts et sa charte, et discutable du point de vue
programmatique.
Mais
ici, nous ne nous intéressons pas à la réflexion que nous portons
sur l'identité idéologique de ces formations politiques. Ce qui
nous intéresse en premier lieu, c'est le fait que ces deux
formations politiques prônent la sortie de l'U.E, l'euro et l'OTAN
en refusant l'étiquetage « gauche-droite ».
En
revanche, le regard qui est porté par des personnes extérieures à
nos formations politiques respectives est très important !
Les
adhérents de l'UPR peuvent en témoigner, puisqu'outre une agression
recensée dans une manifestation parisienne, et toute une littérature
antifa ou gauchiste visant à qualifier l'UPR de parti d'extrême
droite, il est clair que la communication des idées – en tout cas
orientée vers les sympathisants de gauche – s'en trouve contrainte
grandement.
Pourtant,
il est essentiel de nous intéresser en premier lieu aux
sympathisants des formations politiques populistes que sont le Front
National et le Front de Gauche, car leur électorat pèse la
bagatelle de 11 Millions de Français qui s'intéressent encore à la
politique.
Tout
sympathisant de l'une de ces formations politiques qui finit par
rejoindre le parti de la sortie de l'U.E, l'euro et l'OTAN est un
militant de gagné dans nos rangs, qu'importe s'il décide d'adhérer
ou non à l'UPR, au M'pep ou dans une autre formation politique
eurolucide. En vérité, c'est moins leurs adhésions à un parti
politique qui nous intéresse, que la possibilité d'être écoutés,
entendus et finalement remporter la bataille des idées.
De
son côté, le M'pep comme je l'expliquais, même si quelques antifas
pondent quelques fatwas en « rouge-brunisme », reste
parfaitement interconnecté avec la gauche radicale et les syndicats.
Notre base de données (fichier mail) couvre même des centaines de
milliers de personnes. Les militants du M'pep sont aussi plutôt
actifs sur le terrain, souvent syndiqués et reliés à des
associations plus ou moins connotées à « gauche ».
Ce
qui signifie que dans les manifestations de « gauche »,
on ne casse pas la gueule à un sympathisant du M'pep, on le salue
avec sourire avant de prendre des nouvelles. Le M'pep dispose d'une
facilité que l'UPR n'a pas pour des raisons purement historiques, il
peut faciliter le débat avec des citoyens espérant une sortie de
crise et des réformes sociales importantes.
Voila
donc pour l'état des lieux qui amène à une conclusion logique :
Le
M'pep est une caution morale pour l'UPR rendant accessible à la
compréhension des sympathisants « de gauche » les idées
véhiculées. Stratégiquement, l'UPR a besoin de démystifier sa
réputation de parti « d'extrême droite » auprès d'une
frange de la population importante.
Soyons
clairs, même si je ne crois pas (et ne souhaite pas) que les partis
politiques seront à même de nous libérer, il y aura forcément un
moment où les insurgés que nous deviendrons tous, exigeront que des
représentants correspondant à nos idéaux deviennent l'autorité
légitime de la France.
Du
fait que l'UPR reste tout de même le moteur d'un mouvement plus
général et éclaté en de multiples officines, il paraît donc
évident que son président François Asselineau fera assurément
partie d'un Gouvernement de transition, et sans doute en très bonne
place.
Mais
pour que cela arrive, et en éludant ici tout l'activisme nécessaire
auquel j'appelle chacun d'entre vous, il est essentiel de comprendre
que les alliances de terrain avec les partenaires objectifs sont
cruciales. Ne serait-ce que pour faciliter certains échanges avec
des gens politisés, tempérer une image désastreuse générée par
des corbeaux du Système, et disposer d'un renfort de militants pour
expliquer les mêmes choses sur l'Union Européenne et l'euro aux
Français.
Si
en interne, le M'pep dit vouloir conserver la main-tendue à l'UPR,
nous souffrons tout de même d'une certaine lenteur d'exécution des
dispositions stratégiques au niveau national. A l'inverse, le
fonctionnement de l'UPR reposant sur la verticalité des décisions
permet d'obtenir une certaine célérité dans leurs applications,
mais c'est le caractère particulier du personnage qu'est François
Asselineau qui empêche ce genre de rapprochement.
Cependant,
au niveau local, ces contraintes ne sont d'aucun intérêt pour
nous. Nous sommes des adultes libres et indépendants, nous ne
prétendons à aucun mandat, nous nous battons pour la France et nous
avons besoin de renforcer sans cesse nos effectifs et faciliter nos
échanges avec les Français appréciant encore le débat politique.
Aussi,
je vous invite tous à utiliser une
plateforme permettant de créer les synergies nécessaires au
niveau local. Il s'agit du C.N.R-RUE (Comité National de Résistance
Républicaine à l'Union Européenne) qui est décentralisé sous le
sigle CDR-RUE (D pour départemental). Vous pouvez vous même créer
votre Comité Département de Résistance dans votre département
s'il n'existe pas encore.
Le
but est de rassembler le maximum de Français souhaitant la sortie de
l'U.E, en dépit de leurs positions partisanes. Le C.N.R-RUE a été
monté à l'initiative du M'pep et du PRCF, mais est distinct tant
dans les statuts que les aspirations programmatiques du M'pep et du PRCF.
L'axiome
est simple : ceux qui contribuent ou fondent un CDR-RUE peuvent
venir de n'importe où tant qu'ils s'engagent à vouloir sortir de
l'U.E, l'euro et l'OTAN, et sont prêts à s'investir sur le terrain
pour cela. Il ne s'agit donc pas de quitter nos formations politiques
respectives, mais d'utiliser notre savoir commun et nos forces
militantes pour créer les synergies utiles dans un régime de
censure et de « pensée unique » véhiculé par les
médias.
Les
CDR-RUE étant distincts de nos formations politiques respectives,
nous ne sommes pas soumis à leur préconisations quand nous militons
dans le cadre des CDR. Nous reprenons notre casquette de militant
pour l'UPR, le M'pep ou toute autre formation politique quand nous
souhaitons accorder du temps à ces nécessités. Mais rien ne nous
empêche d'élargir les possibilités offertes.
J'espère
que cet article suffira à d'une part démystifier certaines idées
reçues sur le M'pep, et vous convaincre que les synergies
sont nettement plus utiles à la cause nationale, que l'enfermement
dans l'entre-soi.
Mes
amitiés à tous,
Sylvain
Baron
(CDR-RUE
Gironde)
Je ne pense pas que l'on peut pas comparer le m'pep et l'upr
RépondreSupprimerle m'pep est un micro parti d’extrême gauche il suffit d’écouter la dernière vidéo de jacques nikonoff qui parle de classe dominante,d’ordre international liberal ect des termes qui parle a des gens de tentance tres a gauche
mais qui fait fuir la droite et même les gens de centre gauche
pour un parti au dessus des clivages politiques gauche-droite ?
L'upr est un parti politique en plein expansion qui compte 7181 adhérents plus que EELV ou NPA
L'upr rassemble des français de droite et de gauche .
Le site de l'upr est classé 2 eme site politique le plus visionnes de France
Les responsables et adhérents viennent de centre droit jusqu'au front de gauche et même du m'pep .
L'upr est bien le mouvement qui rassemble tout les francais de tendance et d'opinion divers.
Suite a la demande de l' UPR et après étude du programme,le ministère de l’intérieur a décider de classer les listes européennes de l'UPR en "listes divers" qui se situe au-delà du clivage gauche -droite.
Les listes DLF,divers droite par le ministère, étude basé sur le programme de DLF et pourtant dupont-aignant dit qu'il n'est ni de droite ni de gauche..
Le but est d'enfumer l'electeur evidement que le programme est de droite .
Il y avait déjà un mouvement proche de DLF qui prônait le rassemblement des souverainistes évidement de droite ,ils ont appelé l'upr a venir
Maintenant il y a votre CNR RUE proche m'pep donc très a gauche.
Le rassemblement que vous prônez existe déjà ,il s'appelle UPR.
Rappelons que le M'pep avait cru judicieux de lancer des appels a l’abstention aux élections européennes
Alors que l'UPR était présent dans les 8 circonscriptions .
Nikonoff avait pourtant signé en grece avec l'UPR, EPAM ,IPU ect un engagement que M'PEP n'a pas respecte "coordination d'athenes"
Notamment l'engagement d'une coopération stable et active entre les mouvements
L'upr ,EPAM,IPU on annoncé leur participation au election europennes et sur la base de la coordination d'athenes .
L'UPR a respecte sa signature alors que M'pep n'a jamais respecte sa signature.
Comment L'UPR avoir confiance en M'pep
PAUL
Eh voilà, déjà le clivage "les seuls bons, c'est nous"......
SupprimerIl y a des aspects de l'UPR, qui est un PARTI POLITIQUE avec les contraintes que cela implique pour un encarté, qui sont incompatibles avec ce que proposent les CDR-RUE : chacun reste libre de ses convictions, et seule la synergie concernant le rejet de l'union européenne, de l'euro par conséquent, mais aussi de l'OTAN et ses diktats, est demandée pour une efficacité optimale. Ces CDR-RUE ont donc vocation à regrouper un maximum de citoyens venant de tous les horizons politiques, déjà encartés, ou non. L'UPR est là-dessus bien trop contraignant, et en fera fuir beaucoup même s'il se targue de faire des adhésions.
L'UPR n'est pas de droite. Elle est classée "divers" par le ministère de l'intérieur. Il est prudent de constater que le M'PEP est manipulé par le Front de Gauche, et qu'à la fin des fins, c'est ce dernier qui mangera les quelques centaines d'adhérents du M'PEP. D'autant plus que le Front de Gauche est pour une "autre Europe". Décidément, M. Sylvain Baron, vous vous mettez à dos tout le monde. Vous preniez les noms d'éminents responsables politiques pour fonder un Conseil National de Transition, et cela à l'insu de leur plein gré. Vous finirez seul, M. Baron. C'est dommage que vous fassiez perdre le temps aux Français pour vos frasques. Quand serez-vous sérieux ?
RépondreSupprimerJe constate que vous ne savez pas lire correctement un texte. Vous balancez en outre toutes sortes de poncifs sur le M'pep du même acabit que ceux dont souffrent l'UPR. Enfin, ne vous en faites pas pour moi, je n'ai pas l'impression d'être "seul" dans ce travail.
RépondreSupprimer:)
Aie aie aie !
RépondreSupprimerIl est vraiment temps d’arrêter de se tirer dans les pattes, je suis adhérents UPR et je viens de ré-adhérer, mais soyons réalistes, il y a de fortes chances, que l'UPR arrivera au pouvoir après la bataille...
Laquelle ? C'est bien la question : spoliation des épargnes, guerre avec la Russie? Finalement ce jour là arrive à grand pas et si on ne fait pas preuve d'un peu plus de solidarité cela risque d'être du chacun pour soi, comme des rats quittant le Titanic !
Alors oui je suis preneur de toute suggestion qui permette de faire avancer la cohésion des anti-« supranationaliste ».
Que le Front de Gauche veuille récupérer le M'pep, cela est fort probable, mais il y aura forcement un schisme, les accords signés en décembre le montrent déjà, certains sont partis.
Je ne vois pas d'incompatibilité a soutenir toute initiative « sereine et légale » comme le dit Asselineau, et force est de constater que Sylvain Baron n'est pas un fou furieux et s'inscrit dans cette optique, son étude du droit le montre, il en connaît plus que moi en tout cas.
Le candidat UPR du Doubs aurait il décroché le drapeau UE et posé une main courante à la police pour inconstitutionnalité si Sylvain Baron n'avait pas montré l'exemple ? Je n'en suis pas sûr.
L'UPR est un parti qui nécessite de l'unité et de la communication entre ses adhérents, c'est important de se serrer les coudes, mais cela n'empêche pas de se nourrir de tout ce qui sert la libération de la France.
Je ne crois pas qu'une insurrection puisse un jour naître en France, et c'est bien le point sur lequel je suis pessimiste par rapport à Sylvain Baron, de même que je suis pessimiste sur l'élection de l'UPR aux affaires suprêmes (cela ne m'empêche pas de le soutenir, d'avoir une grande estime pour son fondateur et de parler autant que je peux à mes proches ou amis arguments à l’appui).
Les événements géopolitiques et économiques sont en train de s'emballer et il faudra être bien déterminé pour ne pas s'éparpiller pour sauver notre peau et faire front commun contre la dictature qui va bientôt se parachever, c'est une course contre la montre qui s'est enclenchée.
(je suis croyant alors que Dieu nous vienne en aide, mais cela ne nous empêche pas de l'aider aussi !).
La création d'un réseau ou chacun se connaisse en vrai et pas seulement sur internet est indispensable, que nous le fassions au sein de l'UPR, du M'pep ou du CNR-RU, qu'importe, l'important est de le faire et vite ! Cela pour pouvoir s'entre-aider en vrai quand arrivera la tempête, je ne parles pas de fin du monde, juste d'un événement majeur qui sera utile pour les tenants du pouvoir pour nous faire mettre les deux genoux à terre, la « frictions des contraires » et l'individualisme est leur moyen, la division leur objectif, la soumission de tous leur fin.
Toutes mes amitiés aux hommes et femmes de bonne volonté qui pensent que la France peut redresser la tête et revenir à la hauteur de son Histoire.
Alexei
PS : Petite astuce pour les décrocheurs de Paris, les grand poteaux avec publicité qui jalonnent les rues de la capitale ont une petite trappe ouvrable avec une simple clef Allen de 6 mm, une fois ouverte, il suffit de laisser filer la corde dedans pour mettre le drapeau UE à terre, par contre le drapeau est tenu avec des œillets, j'ai du improviser avec un couteau pour le déchirer, ça ne prend pas plus de 5 minutes, aucun passant ne m'a embêté.
Malheureusement il a été très vite remplacé.
La prochaine fois, je compte le remplacer moi même avec un drapeau français, préparé avec des œillets sur une des tranche cylindrique de l'insert du mat, et utiliser une pince pour le fixer sur les attaches en métal correspondantes.