lundi 23 février 2015

Les Synergies valent mieux que l'entre-soi...

Dans les courants politiques dénonçant notre rattachement à l'Union Européenne, l'euro et l'OTAN, deux en particulier se distinguent d'une part, par la qualité de leurs analyses mais aussi par la modération de leurs propos politiques. Il s'agit de l'UPR et du M'pep. 

Il n'est pas question ici de perdre du temps en combats de coqs pour savoir qui a le plus de forces militantes disponibles. Je vais me contenter en préambule, de perdre du temps uniquement sur l'essentiel pour clarifier ce qui ne l'est pas dans certains esprits.

En effet, certains au sein de l'UPR accusent le M'pep de ne pas vouloir sortir de l'Union Européenne. Ils se basent pour cela sur de vieilles publications datant de l'époque où le M'pep était plus un « Think Tank » émanant du mouvement ATTAC, visant à éveiller les consciences dans les milieux syndicaux et de « gauche » sur la nécessité de sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN. Déjà à l'époque la question était claire dans les têtes des sympathisants du M'pep, mais la posture politique du fait de la mission que se donnait le M'pep restait il est vrai, ambigüe.

Cette ambiguïté n'existe désormais plus depuis le Congrès du 6 décembre, où deux événements importants dans la vie du M'pep ont modifié les axes de sa logique de travail.

D'une part, quelques dizaines de membres du M'pep très à cheval sur leur attachement idéologique à « la gauche », ont quitté le M'pep pour former un mouvement correspondant aux aspirations initiales du M'pep. Ces derniers restent convaincus qu'il faut sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN, mais tiennent à rester solidaires d'un rattachement idéologique à « la gauche ».

D'autre part, l'écrasante majorité des adhérents du M'pep qui sont restés ont voté lors du Congrès différents textes, faisant du M'pep un parti politique au-dessus des clivages politiques « gauche-droite » proclamant la nécessité de sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN très clairement.

Le problème avec le M'pep, c'est que sa littérature est très abondante et nous avons quelques difficultés à nous montrer synthétiques. Aussi, j'isole expressément ici quelques extraits du texte d'orientation politique adopté par le second congrès du M'pep des 6 et 7 décembre 2014 à St Denis.

Page 145

Comme nous le proposons au M’PEP, il faut s’émanciper du mythe du libre-échange et repenser les relations internationales entre des nations libres et indépendantes, coopérant entre elles, sur les bases rénovées de la Charte de La Havane de 1948. Concrètement il s’agit de sortir des institutions supranationales que sont l’OMC, le FMI, l’OTAN, la Banque mondiale et l’UE pour reprendre notre souveraineté (monétaire, industrielle, écologique, culturelle, etc.). Les classes populaires et moyennes qui souffrent des politiques néolibérales mises en œuvre par l’OMC et l’UE ont tout à y gagner.

Page 134

Les partis politiques reposent tous sur des courants d’idées, plongeant parfois leurs sources loin dans le passé : orléanistes, bonapartistes, libéraux et néolibéraux, gaullistes, fascistes, trotskystes, communistes, socio-démocrates, chrétiens-sociaux, écologistes… Le parti que se propose de devenir réellement le M’PEP ne reposera sur aucun de ces courants d’idées. Il visera à organiser le courant d’idées qui existe déjà dans la société sous forme latente, et qui forme l’idéologie suivante : lutte contre la mondialisation et le capitalisme dans la perspective d’un socialisme du XXIè siècle, qui passe par le rejet de l’Union européenne actuelle et de l’euro, ainsi que la sortie du FMI, de l'OMC, de l'OTAN et de la banque mondiale qui constituent les piliers de l'ordre néolibéral.

Page 135

Nos fondamentaux sont suffisamment clairs et parlants d’eux-mêmes pour nous situer politiquement sans avoir besoin de réactiver des idéologies aussi floues et ambivalentes que celle du clivage gauche-droite. Le clivage fondamental, classes dominantes contre classes dominées, passe toujours par les institutions et les modes de production et d’échanges concrets, selon des modalités différentes bien sûr à chaque époque. C’est ce que doit relever et expliciter chaque parti politique qui respecte son rôle. Nous le faisons, et actuellement mieux que personne. Nous n’avons pas besoin de montrer davantage patte blanche avec des gris-gris symboliques qui ont dans l’histoire bien plus contribué à combattre ce travail de clarification que l’inverse.

Le programme du M'pep résumé de façon synthétique se trouve en page 148.

Cette assise sur le fonctionnement et les idées défendues par le M'pep n'a aucune ambition prosélyte. Si je suis moi-même adhérent du M'pep, je suis aussi de ceux qui pensent que la libération ne viendra d'aucun parti politique. Que ce soit le M'pep, l'UPR ou toute autre formation politique.

La Libération à mon sens ne viendra que de l'insurrection, débat dans lequel je ne vous entraînerais pas, pour ne pas perdre de temps sur l'objet de cet article. Ce que je souhaite ici clairement établir, documents internes à l'appui, c'est que les accusations portées contre le M'pep sont infondées concrètement.

Maintenant, venons-en à l'essentiel, à savoir la stratégie de diffusion des idées

Comme peut-être une majorité d'entre vous, je n'ai aucune considération religieuse de ce qu'est un parti politique. Ils ne sont ni une fin en soi, ni pertinents en toutes choses dans une quête de renversement d'un ordre établi. Ils ne sont que des outils de propagande des idées, et plus encore des réservoirs de main-d’œuvre bénévole pour diffuser nos revendications à la population.

Le M'pep il est vrai, de part son histoire – et quand bien même il souhaite s'émanciper de cela aujourd'hui – est marqué à gauche de l'échiquier.

A l'inverse, l'U.P.R de part le parcours politique de son fondateur, conserve son étiquette de droite, quand bien même cela est faux de part ses statuts et sa charte, et discutable du point de vue programmatique.

Mais ici, nous ne nous intéressons pas à la réflexion que nous portons sur l'identité idéologique de ces formations politiques. Ce qui nous intéresse en premier lieu, c'est le fait que ces deux formations politiques prônent la sortie de l'U.E, l'euro et l'OTAN en refusant l'étiquetage « gauche-droite ».

En revanche, le regard qui est porté par des personnes extérieures à nos formations politiques respectives est très important !

Les adhérents de l'UPR peuvent en témoigner, puisqu'outre une agression recensée dans une manifestation parisienne, et toute une littérature antifa ou gauchiste visant à qualifier l'UPR de parti d'extrême droite, il est clair que la communication des idées – en tout cas orientée vers les sympathisants de gauche – s'en trouve contrainte grandement.

Pourtant, il est essentiel de nous intéresser en premier lieu aux sympathisants des formations politiques populistes que sont le Front National et le Front de Gauche, car leur électorat pèse la bagatelle de 11 Millions de Français qui s'intéressent encore à la politique.

Tout sympathisant de l'une de ces formations politiques qui finit par rejoindre le parti de la sortie de l'U.E, l'euro et l'OTAN est un militant de gagné dans nos rangs, qu'importe s'il décide d'adhérer ou non à l'UPR, au M'pep ou dans une autre formation politique eurolucide. En vérité, c'est moins leurs adhésions à un parti politique qui nous intéresse, que la possibilité d'être écoutés, entendus et finalement remporter la bataille des idées.

De son côté, le M'pep comme je l'expliquais, même si quelques antifas pondent quelques fatwas en « rouge-brunisme », reste parfaitement interconnecté avec la gauche radicale et les syndicats. Notre base de données (fichier mail) couvre même des centaines de milliers de personnes. Les militants du M'pep sont aussi plutôt actifs sur le terrain, souvent syndiqués et reliés à des associations plus ou moins connotées à « gauche ».

Ce qui signifie que dans les manifestations de « gauche », on ne casse pas la gueule à un sympathisant du M'pep, on le salue avec sourire avant de prendre des nouvelles. Le M'pep dispose d'une facilité que l'UPR n'a pas pour des raisons purement historiques, il peut faciliter le débat avec des citoyens espérant une sortie de crise et des réformes sociales importantes.

Voila donc pour l'état des lieux qui amène à une conclusion logique :

Le M'pep est une caution morale pour l'UPR rendant accessible à la compréhension des sympathisants « de gauche » les idées véhiculées. Stratégiquement, l'UPR a besoin de démystifier sa réputation de parti « d'extrême droite » auprès d'une frange de la population importante.

Soyons clairs, même si je ne crois pas (et ne souhaite pas) que les partis politiques seront à même de nous libérer, il y aura forcément un moment où les insurgés que nous deviendrons tous, exigeront que des représentants correspondant à nos idéaux deviennent l'autorité légitime de la France.

Du fait que l'UPR reste tout de même le moteur d'un mouvement plus général et éclaté en de multiples officines, il paraît donc évident que son président François Asselineau fera assurément partie d'un Gouvernement de transition, et sans doute en très bonne place.

Mais pour que cela arrive, et en éludant ici tout l'activisme nécessaire auquel j'appelle chacun d'entre vous, il est essentiel de comprendre que les alliances de terrain avec les partenaires objectifs sont cruciales. Ne serait-ce que pour faciliter certains échanges avec des gens politisés, tempérer une image désastreuse générée par des corbeaux du Système, et disposer d'un renfort de militants pour expliquer les mêmes choses sur l'Union Européenne et l'euro aux Français.

Si en interne, le M'pep dit vouloir conserver la main-tendue à l'UPR, nous souffrons tout de même d'une certaine lenteur d'exécution des dispositions stratégiques au niveau national. A l'inverse, le fonctionnement de l'UPR reposant sur la verticalité des décisions permet d'obtenir une certaine célérité dans leurs applications, mais c'est le caractère particulier du personnage qu'est François Asselineau qui empêche ce genre de rapprochement.

Cependant, au niveau local, ces contraintes ne sont d'aucun intérêt pour nous. Nous sommes des adultes libres et indépendants, nous ne prétendons à aucun mandat, nous nous battons pour la France et nous avons besoin de renforcer sans cesse nos effectifs et faciliter nos échanges avec les Français appréciant encore le débat politique.

Aussi, je vous invite tous à utiliser une plateforme permettant de créer les synergies nécessaires au niveau local. Il s'agit du C.N.R-RUE (Comité National de Résistance Républicaine à l'Union Européenne) qui est décentralisé sous le sigle CDR-RUE (D pour départemental). Vous pouvez vous même créer votre Comité Département de Résistance dans votre département s'il n'existe pas encore.

Le but est de rassembler le maximum de Français souhaitant la sortie de l'U.E, en dépit de leurs positions partisanes. Le C.N.R-RUE a été monté à l'initiative du M'pep et du PRCF, mais est distinct tant dans les statuts que les aspirations programmatiques du M'pep et du PRCF.

L'axiome est simple : ceux qui contribuent ou fondent un CDR-RUE peuvent venir de n'importe où tant qu'ils s'engagent à vouloir sortir de l'U.E, l'euro et l'OTAN, et sont prêts à s'investir sur le terrain pour cela. Il ne s'agit donc pas de quitter nos formations politiques respectives, mais d'utiliser notre savoir commun et nos forces militantes pour créer les synergies utiles dans un régime de censure et de « pensée unique » véhiculé par les médias.

Les CDR-RUE étant distincts de nos formations politiques respectives, nous ne sommes pas soumis à leur préconisations quand nous militons dans le cadre des CDR. Nous reprenons notre casquette de militant pour l'UPR, le M'pep ou toute autre formation politique quand nous souhaitons accorder du temps à ces nécessités. Mais rien ne nous empêche d'élargir les possibilités offertes.

J'espère que cet article suffira à d'une part démystifier certaines idées reçues sur le M'pep, et vous convaincre que les synergies sont nettement plus utiles à la cause nationale, que l'enfermement dans l'entre-soi.

Mes amitiés à tous,

Sylvain Baron
(CDR-RUE Gironde)




5 commentaires:

  1. Je ne pense pas que l'on peut pas comparer le m'pep et l'upr
    le m'pep est un micro parti d’extrême gauche il suffit d’écouter la dernière vidéo de jacques nikonoff qui parle de classe dominante,d’ordre international liberal ect des termes qui parle a des gens de tentance tres a gauche
    mais qui fait fuir la droite et même les gens de centre gauche
    pour un parti au dessus des clivages politiques gauche-droite ?
    L'upr est un parti politique en plein expansion qui compte 7181 adhérents plus que EELV ou NPA
    L'upr rassemble des français de droite et de gauche .
    Le site de l'upr est classé 2 eme site politique le plus visionnes de France
    Les responsables et adhérents viennent de centre droit jusqu'au front de gauche et même du m'pep .
    L'upr est bien le mouvement qui rassemble tout les francais de tendance et d'opinion divers.
    Suite a la demande de l' UPR et après étude du programme,le ministère de l’intérieur a décider de classer les listes européennes de l'UPR en "listes divers" qui se situe au-delà du clivage gauche -droite.
    Les listes DLF,divers droite par le ministère, étude basé sur le programme de DLF et pourtant dupont-aignant dit qu'il n'est ni de droite ni de gauche..
    Le but est d'enfumer l'electeur evidement que le programme est de droite .
    Il y avait déjà un mouvement proche de DLF qui prônait le rassemblement des souverainistes évidement de droite ,ils ont appelé l'upr a venir
    Maintenant il y a votre CNR RUE proche m'pep donc très a gauche.
    Le rassemblement que vous prônez existe déjà ,il s'appelle UPR.
    Rappelons que le M'pep avait cru judicieux de lancer des appels a l’abstention aux élections européennes
    Alors que l'UPR était présent dans les 8 circonscriptions .
    Nikonoff avait pourtant signé en grece avec l'UPR, EPAM ,IPU ect un engagement que M'PEP n'a pas respecte "coordination d'athenes"
    Notamment l'engagement d'une coopération stable et active entre les mouvements
    L'upr ,EPAM,IPU on annoncé leur participation au election europennes et sur la base de la coordination d'athenes .
    L'UPR a respecte sa signature alors que M'pep n'a jamais respecte sa signature.
    Comment L'UPR avoir confiance en M'pep
    PAUL

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    1. Eh voilà, déjà le clivage "les seuls bons, c'est nous"......

      Il y a des aspects de l'UPR, qui est un PARTI POLITIQUE avec les contraintes que cela implique pour un encarté, qui sont incompatibles avec ce que proposent les CDR-RUE : chacun reste libre de ses convictions, et seule la synergie concernant le rejet de l'union européenne, de l'euro par conséquent, mais aussi de l'OTAN et ses diktats, est demandée pour une efficacité optimale. Ces CDR-RUE ont donc vocation à regrouper un maximum de citoyens venant de tous les horizons politiques, déjà encartés, ou non. L'UPR est là-dessus bien trop contraignant, et en fera fuir beaucoup même s'il se targue de faire des adhésions.

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  2. L'UPR n'est pas de droite. Elle est classée "divers" par le ministère de l'intérieur. Il est prudent de constater que le M'PEP est manipulé par le Front de Gauche, et qu'à la fin des fins, c'est ce dernier qui mangera les quelques centaines d'adhérents du M'PEP. D'autant plus que le Front de Gauche est pour une "autre Europe". Décidément, M. Sylvain Baron, vous vous mettez à dos tout le monde. Vous preniez les noms d'éminents responsables politiques pour fonder un Conseil National de Transition, et cela à l'insu de leur plein gré. Vous finirez seul, M. Baron. C'est dommage que vous fassiez perdre le temps aux Français pour vos frasques. Quand serez-vous sérieux ?

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  3. Je constate que vous ne savez pas lire correctement un texte. Vous balancez en outre toutes sortes de poncifs sur le M'pep du même acabit que ceux dont souffrent l'UPR. Enfin, ne vous en faites pas pour moi, je n'ai pas l'impression d'être "seul" dans ce travail.
    :)

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  4. Aie aie aie !
    Il est vraiment temps d’arrêter de se tirer dans les pattes, je suis adhérents UPR et je viens de ré-adhérer, mais soyons réalistes, il y a de fortes chances, que l'UPR arrivera au pouvoir après la bataille...
    Laquelle ? C'est bien la question : spoliation des épargnes, guerre avec la Russie? Finalement ce jour là arrive à grand pas et si on ne fait pas preuve d'un peu plus de solidarité cela risque d'être du chacun pour soi, comme des rats quittant le Titanic !
    Alors oui je suis preneur de toute suggestion qui permette de faire avancer la cohésion des anti-« supranationaliste ».
    Que le Front de Gauche veuille récupérer le M'pep, cela est fort probable, mais il y aura forcement un schisme, les accords signés en décembre le montrent déjà, certains sont partis.

    Je ne vois pas d'incompatibilité a soutenir toute initiative « sereine et légale » comme le dit Asselineau, et force est de constater que Sylvain Baron n'est pas un fou furieux et s'inscrit dans cette optique, son étude du droit le montre, il en connaît plus que moi en tout cas.
    Le candidat UPR du Doubs aurait il décroché le drapeau UE et posé une main courante à la police pour inconstitutionnalité si Sylvain Baron n'avait pas montré l'exemple ? Je n'en suis pas sûr.
    L'UPR est un parti qui nécessite de l'unité et de la communication entre ses adhérents, c'est important de se serrer les coudes, mais cela n'empêche pas de se nourrir de tout ce qui sert la libération de la France.

    Je ne crois pas qu'une insurrection puisse un jour naître en France, et c'est bien le point sur lequel je suis pessimiste par rapport à Sylvain Baron, de même que je suis pessimiste sur l'élection de l'UPR aux affaires suprêmes (cela ne m'empêche pas de le soutenir, d'avoir une grande estime pour son fondateur et de parler autant que je peux à mes proches ou amis arguments à l’appui).
    Les événements géopolitiques et économiques sont en train de s'emballer et il faudra être bien déterminé pour ne pas s'éparpiller pour sauver notre peau et faire front commun contre la dictature qui va bientôt se parachever, c'est une course contre la montre qui s'est enclenchée.
    (je suis croyant alors que Dieu nous vienne en aide, mais cela ne nous empêche pas de l'aider aussi !).

    La création d'un réseau ou chacun se connaisse en vrai et pas seulement sur internet est indispensable, que nous le fassions au sein de l'UPR, du M'pep ou du CNR-RU, qu'importe, l'important est de le faire et vite ! Cela pour pouvoir s'entre-aider en vrai quand arrivera la tempête, je ne parles pas de fin du monde, juste d'un événement majeur qui sera utile pour les tenants du pouvoir pour nous faire mettre les deux genoux à terre, la « frictions des contraires » et l'individualisme est leur moyen, la division leur objectif, la soumission de tous leur fin.

    Toutes mes amitiés aux hommes et femmes de bonne volonté qui pensent que la France peut redresser la tête et revenir à la hauteur de son Histoire.

    Alexei

    PS : Petite astuce pour les décrocheurs de Paris, les grand poteaux avec publicité qui jalonnent les rues de la capitale ont une petite trappe ouvrable avec une simple clef Allen de 6 mm, une fois ouverte, il suffit de laisser filer la corde dedans pour mettre le drapeau UE à terre, par contre le drapeau est tenu avec des œillets, j'ai du improviser avec un couteau pour le déchirer, ça ne prend pas plus de 5 minutes, aucun passant ne m'a embêté.
    Malheureusement il a été très vite remplacé.
    La prochaine fois, je compte le remplacer moi même avec un drapeau français, préparé avec des œillets sur une des tranche cylindrique de l'insert du mat, et utiliser une pince pour le fixer sur les attaches en métal correspondantes.

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